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 Fonctionnement de la Rebellion[11/11/08]

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Yuki Shaniatwel
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Yuki Shaniatwel


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MessageSujet: Fonctionnement de la Rebellion[11/11/08]   Fonctionnement de la Rebellion[11/11/08] Icon_minipostedJeu 27 Déc 2007 - 16:04

Fonctionnement général de la Rebellion :

La Rebellion n'est pas un état en soi, mais elle se comporte comme telle dans les territoires qu'elle occupe. Elle positionne de nombreux camps dans lesquels sont concentrés l'essentiel des ressources militaires du mouvement. Ces camps sont cachés et trés difficiles d'accés pour les forces impériales. En revanche, les Rebelles n'hésitent pas à occuper les territoires dans lesquels ils se savent populaire auprés du peuple. Ils defendront ces territoires contre les forces impériales, se sachant soutenus par le peuple, mais abandonneront à l'ennemi une ville ou un village dans lequel ils sont impopulaires. La logique rebelle est en effet de perdre un minimum de materiel et d'hommes au combat.



La politique d'éducation :

Les enfants vivant dans les territoires sous controle rebelle doivent rejoindre les écoles primaires dés 6 ans. Ils y suivent alors un cursus général trés standard pendant 6 ans. Ces écoles sont financées par les mairies locales.

Le cycle scolaire secondaire, dans les territoires rebelles, se déroule au lycée. Il dure 6 ans également pendant lesquels l'adolescents suit un programme de spécification le formant à son entrer dans les collèges de la République. Ces lycées sont financés directement par le conseil supérieur de l'éducation (ministère de l'éducation).

Le cycle supérieur se déroule dans différentes instances d'éducation : les Ecoles supérieures, les collèges de la République et les Universités. Chacune de ces instances reste financée par l'Etat. En effet, même si les rares PME qui éxistent sur les territoires controlés par la Rebellion, develloppent des partenariats avec ces écoles supérieures, elles restent souvent des organismes secondaires servant uniquement au financement en échange de services rendus par les professeurs et Etudiants des dernières années (par exemple Etudes de marché, création du design de tel ou tel objet). Ces trois types d'écoles n'ont pas le même niveau de prestige :

Les universités restent les moins prestigieuses de ces écoles : elles forment souvent à des cursus trés généraux et trop peu spécialisés. Néanmoins, les partenariats dévelloppés avec les entreprises en fin de cycle constituent souvent d'exellentes formations. Par ailleurs les élèves ayant participé à ses partenariat se retrouvent souvent avec une place réservée dans l'entreprise partenaire en fin de parcours.

Les grandes écoles sont des institutions d'enseignement trés spécialisées, fournissant des diplomes de trés grande qualité qui ne sont malheureusement pas valables hors du territoire Rebelle.

Enfin, les collèges de la République sont des institutions généralement littéraires et politiques, fournissant une éducation de trés trés haut niveau, extremement spécialisée et visant à former les élites dirigeantes de la future république.

Malheureusement, il faut garder à l'esprit que ces enseignements, même s'ils sont de trés bonne qualité, ne sont pas desservis dans de trés bonnes conditions : guerre oblige, les classes sont surchargé, les locaux ne sont pas réstaurés et les élèves sont souvent contraint à un travail extremement autonome car les professeurs n'ont pas de temps à leur accorder. La Rebellion éspère combler rapidement ce problème en formant de nombreux professeurs, mais l'éxtrème précarité de leurs positions ne leur permet pas ce genre de chose dans les régions frontalières. Et si les bastions rebelles beneficient souvent d'une éducation de qualité passable, plus l'on s'approche des zones des combats, moins il y a d'écoles. Dans les villages situés dans les 30 kilomètres précédant les lignes de front, il n'y a même plus d'éducation, d'école ou de services hospitaliers.

Quoi qu'il en soit, tout les programmes scolaires sont à la charge du conseil supérieur de l'Education (du moins pour ce qui touche aux cycles primaires et secondaires). Les programmes scolaires de l'enseignement supérieur sont entierement le fait des presidents d'université qui doivent toutefois suivre un cahier des charges trés strict imposé par le conseil supérieur de l'Education (ministère de l'Education en somme). Par ailleurs, une certaine autonomie est accordée aux universités, grandes écoles et collèges, qui reçoivent en début d'année une envelloppe avec laquelle ils doivent payer les professeurs, restaurer leurs locaux et financer de possible partenariat. Qui plus est, une institution d'éducation supérieure est libre de demander au recteur académique locale le changement d'affectation d'un professeur dont elle est instatisfaite. Les professeurs gardent des moyens de défense (visant notamment à éviter les reglements de compte) mais dans 70% des cas l'université triomphe d'une eventuelle procédure judiciaire.



Les services hospitaliers :

Au sein de la Rebellion, la plupart des hopitaux gouvernementaux sont des hopitaux de campagne, donc des installations sous tentes, situées à la périphéries des villes et villages. Et les medecins sont souvent des medecins militaires, manquant sérieusement de materiel et ne pouvant souvent rien faire d'autre pour soigner leurs patients que de leur injecté une dose de morphine. Néanmoins, on rencontre, dans les grandes villes occupées, des services de soin plus efficaces. Certains batiments ont parfois été réquisitionnés pour servir d'hopitaux, et même si les lits ne sont souvent rien de plus que des brancards, les soins qui y sont dispensés sont largement meilleurs que dans les hopitaux de campagne.

Le gouvernement ne pouvant financer en suffisance les hopitaux locaux à fortement encourager la création de cliniques privées. Celle-ci sont souvent chères et résèrvées à une élite, mais elles peuvent être éxonérées de certaines taxes si elles créent des "cliniques de charité". Ces hopitaux sont encore plus efficaces que les hopitaux publics, quasiments gratuits et dispensent des soins trés corrects. Le problème, c'est qu'il y en a trés peu, et donc que ces cliniques sont vites bondés, devenant des usines à soins enchainant les patients et les expulsant sitot guéris (sans tenir compte de leur courte période de convalescence et de surveillance hospitalière.


Le rôle de l'armée :

L'armée Rebelle n'est pas sensée jouer un rôle omnipotent dans les territoires qu'elle occupe. Néanmoins, elle fournit, dans les territoires ou la Rebellion est populaire, un entrainement paramilitaire aux jeunes de 18 à 30 ans. Hormis cela, son rôle reste trés simple : reconquérir la liberté nationale.

Cette jeunesse formée représente néanmoins la 1ere ligne de défense de la Rebellion, car en cas de siege d'une ville, ces jeunes sont appelés au combats et constituent des groupes de défenses qui complètent leur entrainement sur le tas. Et généralement, aprés un seul siege, ces recrues sont aussi efficaces que des soldats normaux.



La sécurité nationale :

Elle est garantie par deux organismes d'ordre :

- La police Municipale : Ces forces de polices sont chargées d'assurer la sécurité des biens et des personnes dans les rues des villes Rebelles. Elles sont assez fréquement rencontrées dans leurs voitures de patrouille et luttent principalement contre les criminels de droit communs. Elles sont financées par la municipalité.

- La police Nationale : Ces forces de police d'élite constituent des sections de choc, aux interventions souvent violentes et n'hésitant pas à tuer purement et simplement les terroristes ou espions de l'empire qu'elles peuvent rencontrer. Elles sont financées directement par la Rebellion.

En outre, les Rebelles font travailler dans leurs prisons, les detenus de droit commun à la réparation et à la construction des infrastructures détruites par la guerre. Ainsi servent-ils la collectivité qui les nourrit et les logent (malgré le fait que ces logements soient généralement sombres et peu chauffés). Les detenus des prisons constituent l'une des principales mains d'oeuvre utilisée par la Rebellion. Il est bien évident qu'ils ne travaillent pas seuls et sont encadrés par des architectes, maçons, et ouvriers qui leur apprennent le métier, en plus des forces de police qui s'assurent qu'ils ne fuient pas.

La prison joue ainsi également un rôle formateur : certains detenus (ceux qui se comportent le mieux et témoignent d'une volonté à se réintégrer dans la société) peuvent même suivre des cours d'universités. Ainsi, lorsqu'un délinquant quitte la prison alors qu'il y était entré sans rien, il a une formation qu'il peut poursuivre dans les écoles et universités. Son soucis serra ensuite de trouver du travail ...



La politique sociale :

La Rebellion n'a pas les moyens d'entretenir une véritable politique sociale. Les aides qu'elle peut donner sont généralement le fait d'oeuvres de charité et à vrai dire, elle a plus souvent un sérieux besoin de financement. Néanmoins, n'importe qui peut trouver auprés des rebelles, des moyens de subsister, qu'il sagisse de ration militaires de l'armée, d'eau, de savon et de bandages ou d'un toit, la Rebellion prétera toujours tentes et moyens de survie aux plus démunis, quite à s'endétter. Mais de manière générale, il n'éxiste aucune allocations familiales ou chomage que puisse fournir la Rebellion.

La encore, la politique sociale est malheureusement le fait de sociétés privés qui mettent à disposition des centres d'accueil pour les sans-abris, financent des orphelinats, et pour cela, son éxonérés de certaines taxes.



La politique économique

La politique économique Rebelle est assez simple : il sagit d'un liberalisme total et d'une totale liberté accordée à la création d'entreprises, peu de charges pèsent sur les sociétés, les normes de protection des salariés restent trés peu strictes, mais cela est surtout le fait de manque de moyens plus que de découragement et d'ideologie du gouvernement. En revanche, tout ce qui touche à la création d'argent reste trés Keynesien : on crée beaucoup de monnaie afin de résorber le chomage et de créer de l'emploi. La rebellion est généralement trés endéttée et c'est l'emprunt national qui finance les armées rebelles.

Le seul endroit ou l'économie est planifiée, c'est dans le secteur militaire. La rebellion ne dispose pas d'ingenieurerie lourde, et malgré le fait qu'elle controle un vaste territoire, elle évite les armées impériales et livre une guerre de guerilla. Par conséquent, les Rebelles produisent en masse des véhicules de transport d'infanterie et des jeeps légères. Leurs soldats sont leur principale arme. C'est pour cette raison que l'Etat maintien une production militaire trés controllée et trés stricte. De plus, ils sont les seuls clients des entreprises d'amement, et celle-ci n'ont pas le droit de vendre des armes à qui que ce soit d'autres que les forces armées de la Rebellion.


Dernière édition par le Dim 30 Déc 2007 - 12:51, édité 2 fois
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Yuki Shaniatwel
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MessageSujet: Re: Fonctionnement de la Rebellion[11/11/08]   Fonctionnement de la Rebellion[11/11/08] Icon_minipostedSam 29 Déc 2007 - 10:47

La politique éxtérieure :

Légende des couleurs :
Pacte de Valen
Pacte d'Arkilia
Ancien pacte de Seran
Pacte de Jadis
Autres

Relations avec Seran : C'est la guerre civile. Les rebelles ont établi un territoire qu'ils controlent d'une main de fer et dans lequel la république libre de Seran n'est pas qu'une utopie, bien que les moyens soient faible. Depuis ces bases arrières, ils lancent des attaques régulière contre les forces de l'empire qui occupent leurs terres.


Relation avec la Revolution : C'est encore une fois la guerre civile. Les Revolutionnaire sont une faction extrémiste de la Rebellion qui veut voir instaurer un gouvernement communiste une fois l'empire vaincu. Mais aujourd'hui, ils ne sont rien de plus que des voyous et des assassins pour les Rebelles : leur combat a perdu toute forme d'ideologie.

Relation avec Arkilia : Elles sont quasiment inexistante, pour la simple et bonne raison qu'Arkilia ne reconnait pas la RLS comme un Etat (grand bien leur en fait, ils risqueraient une guerre avec Erikea). On ne peut pas négocier avec quelque chose ou quelqu'un qui n'éxiste pas.

Relation avec l'Union : Bien que l'Union ne reconnaisse pas non plus les Rebelles, ceux-ci s'efforcent de nouer des contacts avec la puissante nation (sachant parfaitement que l'Union ne supporte pas les Erikeans) afin d'obtenir d'elle, soutien financiers et armes.

Relation avec Jadis : Jadis soutient aussi secretement qu'elle la désapprouve publiquement la Rebellion. Les jadeens restent encore le meilleur allié des Rebelles aprés Alganzaar.

Relation avec Erikea : Guerre. Erikea a envoyé sur Seranon un corps d'armée expeditionnaire afin "d'aider les forces impériales à ramener le peuple au calme". En réalité, seul Erikea lance des attaques contre les Rebelles, l'empire se cantonne à un rôle défensif.

Relations avec Apel : Soutien moral, mais pas physique ... Apel ne fait rien pour les rebelles. Mais elle a reconnu, du moins secretement, la legitimité de leur combat, quelques politiciens Apiens s'efforcent ainsi de concrétiser ce soutien mais ils doivent faire face à la vive opposition de la presidente du conseil.

Relation avec les autres nations : Alganzaar, la lune de Mazaharpet, est une des nations qui prend le plus de risque pour la Rebellion. Non pas qu'elle soit profondément convaincue de la justesse de leur combat, mais elle éspère, par cette Rebellion, plongé Erikea dans un véritable bourbier qui lui laissera le temps de reconstituer ses forces. Ainsi, Alganzaar fournit-elle argent et armes aux Rebelles ... Elle est l'une des seules nations de la galaxie à le faire ...

Fonctionnement de l'information :

Généralement, lorsque les rebelles arrivent dans une ville, il n'y a plus le moindre journaux de fonctionnel et de distribué. Par ailleurs, les nombreuses pénuries n'épargent pas le papier, et de ce fait, l'occupation d'une ville par les rebelles amène généralement la mort des journaux de papier locaux.

Néanmoins, l'information radio et visuelle peut continuer de fonctionner. La rebellion y exerce un controle minimal : lorsqu'un journal incite au combat, à la prise des armes, lorsqu'il devient dangeureux pour la paix civile, il est déprogrammé. Mais la
Rebellion se veut favorable à la liberté de la Presse, et n'y exerce pas de controle reel. Hors, les journaux d'opposition sont quasiment inéxistant sur Seran, et par conséquent la presse débite alors bien souvent des discours favorables à l'empire.

Afin de se faire écouter, la Rebellion à toutefois créer un journal, clandestin dans les territoires impériaux, officiel dans les territoires Rebelles : "La voie Républicaine". Ce journal est composé de tracts, que l'on jette au vent, ou de journaux de papier, que l'on peut acheter si l'on a des contacts avec la Rebellion, au sein des territoires impériaux. Au sein des territoires Rebelles, plusieurs camions militaires font office de station d'emission de radio ou de télévision, et les journaux impériaux les plus virulents et les plus dangeureux pour la paix civile sont souvent déprogrammés au profit de cette emission.



Le sentiment national dans le pays :

Dans les territoires Revolutionnaires, il n'y a pas de sentiment d'appartenance à un peuple, mais simplement la volonté de défendre un ideal. Cette volonté est partagée par à peu prés tout le monde dans la majorité des territoires occupés. Néanmoins, il reste des zones ou les impérialistes sont majoritaires. Ces zones sont souvent les plus troublées et celles ou la guerre civile montre ses plus vives horreurs (dans chacun des camps ...)


Le fonctionnement des institutions nationales :

Il éxiste dans la Rebellion, deux institutions de direction éxécutives et législatifs ainsi que deux conseils régulierement consultés par les deux autres organisations. En ce sens, la Rebellion n'est aucunement démocratique, du moins de son mode de fonctionnement. Mais cette absence de démocratie est imputée à la guerre.

Les deux institutions directives éxécutives de la Rebellion sont donc :

1) La presidente-générale des territoires libérés :

Il sagit de Yuki Shaniatwel. Son seul rôle est de diriger l'armée et de lui faire assurer ses devoirs de défense et de liberation envers les habitants des régions rebelles. En théorie, elle n'a aucun pouvoir au sein de la société civile Rebelle, en pratique, le fait qu'elle
controle d'une main de fer l'armée rebelle lui donne à peu prés tout les droits (qu'elle n'utilise par ailleurs qu'en cas d'éxtrème urgence).

2) Le conseil executif des territoires libérés.

Ce conseil se compose de huit membres. Tous avec un rang de conseillés, ils sont élus par les citoyens des territoires libérés pour un mandat de 5 ans. Du moins en théorie ... Actuellement, ces membres du conseil executif n'ont quasiment pas changé depuis la déclaration de la guerre civile, pour raison de ... guerre civile. Le rôle de ce conseil est assez simple : il rempli le contrat d'un gouvernement standard, avec ses ministres et ses secretaires d'Etats (ceux-ci étant appelés commissaires, et n'ayant pas le droit de sieger au conseil).

Ces conseillers ont pour mission de gérer leurs différents domaines afin qu'ils fonctionnent au mieux. Les commissaires ont eux pour rôle de les assister et de veiller à ce qu'ils n'abusent pas de leurs pouvoirs.

Les différents membres du conseil executif sont (aucun de ces postes ne sont assignés, un joueur peut choisir de prendre l'un d'eux :

Conseiller à l'information
- Commissaire à l'information :
Conseiller à la paix civile
- Commissaire à la Paix civile
- Commissaire à la paix civile
Conseiller à l'Education
- Commissaire à l'éducation
- Commissaire à l'éducation
Conseiller à la Diplomatie Extérieure : Alienor Danton (PNJ Yuki Shaniatwel)
- Commissaire à la diplomatie éxtérieure : Sarah Washlar (PNJ Yuki Shaniatwel)
Conseiller à la cohésion sociale
- Commissaire à la cohésion sociale
Conseiller aux finances
- Commissaire des finances
Conseiller-Garde des sceaux
- Commissaire à la Justice
Conseiller à la Recherche
- Commissaire à la recherche
Par ailleurs, il éxiste deux conseils consultatifs :

1) Le conseil consultatif du peuple :

Il sagit d'un conseil regroupant des membres élus par le peuple à travers tout le pays. Son rôle est, normalement, de voter les lois. Mais en temps de guerre, il n'a plus que le pouvoir de voter des lois mineures. Aujourd'hui, il se compose de 222 membres élus pour cinq ans.

2) Le conseil des Etats-Généraux :

Ce conseil est constitué de délégués. Il sert d'organe aux Etats-généraux qui circulent à travers le territoire. Il emet des cahiers qui circulent dans les mairies et les boites mail et son remplis par les citoyens, puis fait le tri dans les idées ainsi reçue (il éxiste un conseil consultatif par ville, un par region, et un par territoire administratif), et les transmet ensuite au conseil consultatif du peuple.



La devise nationale :

Senatus PopulusQue Seranus est la devise officiellement adoptée par les institutions rebelles. Néanmoins, au combat et lors des victoires et des défilés militaires, les Rebelles ont tendance à scander : "Pour la liberté, la Démocratie, et La République !". Du temps de Vénator, on les entendait scander : "Mort à l'empereur !". Ce cri de guerre est maintenant proscrit afin d'éviter de briser l'image que la Rebellion essaie de donner d'elle ...


Les symboles du pays :

La Rebellion arborait autrefois le drapeau rouge des communistes, aujourd'hui il sagit d'un simple étendard bleu orné d'une étoile blanche : comme la liberté.
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