Ministère de l'Intérieur

Le gigantesque bâtiment ministère de l'Intérieur fut construit sous l'ère Vénator lors de la réforme des forces de police. Conçu pour la force de maintient de la paix de l'Ordre Nouveau, l'édifice est blindé, doté de systèmes évolués de protection balistique Sekorski-Baum de fabrication skeïb. L'intérieur abrite plusieurs pièces secrètes, les renseignements généraux et le quartier général des Groupes Spéciaux de Sécurité (G.S.S.), force antiterroriste formée sous Vénator, héritière de la Police d'Intervention de la Républqiue, entrainée par les forces de sécurités valiennes, alttoriennes et solariennes...

Prenant rapidement ses dispositions en cas d'une défaite seranienne et une nouvelle occupation érikeanne, le préfet Claudius recontacta rapidement les groupes spéciaux des G.S.S. qui vous Vénator servaient à la répression anti-républicaine, le terrorisme vénatoriste parfois, et procédaient aux interrogatoires au troisième degré dans les caves du ministère et de ses autres bâtiments ainsi qu'à des incursions en territoire rebelle. Des procédures visant à cacher des armes et du matériel. Les hommes furent rapidement mutés dans des circonscriptions de manière à pouvoir rapidement quitter leurs unités en cas de capitulation et former des groupes clandestins. On s'inspirait également de la constitution des réseaux rebelles de la guerre précédente. On ne contacte cependant pas les officiers rebelles pour d'obscures raisons.

En réaction à ceci, le ministère de la Défense sorti un magasine (également disponible sur l'holoweb) se consacrant aux actions du ministère de l'Intérieur et à sa mission. Le magasine répond aussi à la partie III dernier livre du front populaire "Pour une Défense d'avance". En effet la conception de l'armée prônée dans cette partie du livre, est incompatible avec les missions de la police et les cadres d'engagement opérationnels de l'armée et démontre que la Police et les G.S.S., preuve à l'appui, étaient parfaitement capable de remplir ses missions de lutte contre le terrorisme. Le premier numéro insiste également sur la différence de formation d'un militaire et d'un policier, même membre des G.S.S. et souligne l'importance de ces différences.

Un article à thème fait la différence entre le terrorisme et la guerilla et insiste sur la nécessité de ne pas confondre les deux. Dans tous les cas de figure le menace terroriste se devrait d'être traitée par les Groupes Spéciaux de Sécurité, l'armée ne pouvant agir que sous commandement policier et dans un cadre qui est radicalement de ce pourquoi elle est entrainée. La guérilla relève d'une autre doctrine, plus militaire et là dépend bien de l'armée impériale, bien que la police et en particulier les G.S.S. puissent apporter leur concours, notamment pour identifier la menace. L'on admet que les concepts peuvent s'interpénétrer mais les articles du premier numéro, à thème, insistent sur la nécessite de la coopération interdisciplinaire.