Abigail-Tiberia di Pallavicini-Strabia

Fiche de Personnage :

Identité :

Type de Personnage : Journaliste

Autre compte : anciennement Caius Octavius
Nom : di Pallavicini-Strabia
Prénom : Abigail-Tiberia
Âge : 34 ans
Faction : République seranienne
Race : humaine
Nationalité : seranienne
Langues Parlées : latin de Seranon, grec de Seranon, Italien et Galactique

Informations du RP :

Description psychologique : Abigail est très marquée par sa double appartenance aux cultures seranienne et kryptonne : notamment justement par un attachement particulier à la Culture et à l'étude de celle-ci, ainsi que par sa passion pour la (et le) politique.
Très attachée à ses principes libéraux (autant politiquement que socialement ou économiquement), elle tente par tous les moyens de les faire progresser.
Très fière d'avoir appartenu par alliance à la famille impériale, elle l'est d'autant plus que l'Empereur s'est révélé un authentique démocrate, au sens où elle l'entend du moins c'est-à-dire une démocratie exigente vis-à-vis de ses citoyens. Elle s'estime à ce titre redevable à Seranon de la réussite sociale qu'elle a atteinte et sa fidélité viscérale appartient à cette planète, quel que soit son gouvernement pour peu qu'il respecte les droits de l'Homme.
Description physique : Cette grande rousse arbore des traits d'une grande noblesse qui laissent peu d'hommes indifférents. Sa taille mince et son maintien impeccable hérités de son éducation et de son mode de vie aisés lui permettent d'être aisément identifiable comme appartenant à la bonne société, ce qui n'est jamais démenti par ses tailleurs ou ses robes toujours de bon goût.
Histoire : Abigail-Tibéria est née dans la petite noblesse kryptonne, d'une branche encore plus cadette que cadette des di Strabia dont Marc-Tulle de Cicère était le représentant le plus connu.
Eduquée cependant avec la rigueur et l'ambition qui caractérisent cette famille, elle apprend très vite l'ensemble des langues des différentes élites culturelles galactiques et si elle possède de bonnes bases des principales, c'est vite vers la culture seranienne qu'est allée sa prédilection et elle maîtrise presque aussi bien le latin et le grec qu'un Seranien de haute naissance, et en tout cas mieux que la plupart des homines novi qui ne les ont appris que pour servir leurs ambitions.
C'est donc naturellement que, lors du choix de ses études universitaires, son choix se porte sur la Faculté de Lettres seranienne où elle effectue sa Licence de Lettres anciennes avant de se tourner vers la Philosophie en second cycle et faire à nouveau un saut de puce pour un Doctorat de Philosophie politique au Lycée de Seranon.
Sortie de ses études avec de brillants diplômes d'une utilité modérée en temps de guerre civile, elle n'a d'autre choix que de faire jouer les relations qu'elle a su nouer avec d'autres étudiants (qui comme elle appartiennent à la bonne société : les pauvres font rarement des études de lettres pendant une guerre) pour obtenir un poste de conseillère dans le cabinet d'un obscur élu local. Jouant d'éloquence et de charme, elle gravit vite les échelons, aidée en cela par un jeune homme rencontré pendant ses études qui est devenu maitre de conférence à Seranon : Lucius Octavius Thurinus qu'elle épouse à leurs 27 ans. Lorsque Thurinus - grand frère du précédent - devient Empereur, Abigail fait un bond dans sa carrière pour intégrer le gouvernement en étant déléguée aux relations avec les membres de l'AIS. Elle n'y jouera pas de rôle marquant mais sera remarquée par les médias : benjamine du gouvernement et très belle, belle-soeur de l'Empereur.
Elle reste cependant discrète et s'ennuie un peu à ce poste un peu trop subalterne à son goût. Elle était du genre à préférer diriger un exécutif local qu'à être une ministre de troisième rang. Lors de la proclamation de la République, elle renonce à la politique pour se lancer dans le journalisme et ne tarde pas à trouver une place au sein de l'organe de l'UCD : Démos !, et une belle place puisqu'elle est leur éditorialiste et qu'il ne lui est pas interdit de proposer des articles de fond ou de participer à des dossiers spéciaux de temps en temps.
Inventaire : peu de biens particuliers à part ses habits et un bloc-note électronique.
Vaisseau :-

Bon j'accepte le perso.

Juste pour savoir. Étant journaliste, je supose que tu prévois aussi d'être directement envoyé sur le terrain pour receuillir des infos. Mais il faudrait définir qu'est devenu le journalisme en 2758. Puisque les éditoriaux en papier n'existe assurément plus, j'imagine qu'ils sont publié sur l'Holoweb. Si on fait des supositions sur l'évolution des médias en 700 ans, j'imagine que tout c'est centralisé. Un éditorial réunit donc maintenant de la presse écrite (article), mais aussi des reportages (visuel) et de l'information en direct. Le tout présenté sur l'Holoweb.

L'holoweb serait la base de la communication, la circulation de l'information. L'évolution d'internet. J'Imagine bien l'internet surpassé la télévision qui fût amener à disparaître, remplacé par l'Holoweb. Au lieu de regarde des chaînes présentant un programme continue, l'On choisit ses propres émissions sur des pages de l'holoweb, ses propres chaîne d'information à écouter, peu importe l'heure et l'ordre. C'est ainsi que tout ce qui concerne l'information se serait alors centralisé en des blocs corporatiste d'éditorial touchant aux articles, reportages et du direct.

C'est une réflexion que j'ai eut en voyant ton personnage de journaliste, puisqu'il serait aberrant de penser que le journalisme n'ait pas évolué en même temps que la civilisation humaine.

Je ne sais pas ce qu'il en est au Québec, mais en France l'éditorial n'est pas une publication, c'est juste un type très particulier d'article parfois assez proche du billet d'humeur. Généralement en début ou en fin du journal (que le journal soit une émission radio ou une publication papier), il permet à l'éditorialiste d'exprimer un point de vue sur un sujet d'actualité qu'on lui laisse généralement choisir, avec une grande liberté de ton et sans que l'éditorialiste soit allé chercher ses propres informations, généralement il reprend celles de son journal ou d'autres publications.

Parce que l'éditorial est la rubrique qui exprime le point de vue du journal, en particulier quand celui-ci tente d'être impartial dans ses autres rubriques, sur des sujets d'actualité, l'éditorialiste est souvent considéré comme un journaliste privilégié, un peu le numero 2 derrière le rédacteur en chef quand il n'est pas aussi le rédacteur en chef.

Il ne faut pas oublier qu'Abigail n'a pas de formation journalistique : au début du moins elle ne pourrait pas aller correctement chercher l'information à sa source. En tous les cas, elle ne s'occupe que d'affaires culturelles et politiques et ne saurait être utilisée comme reporter de guerre ou des trucs dans le genre.

Voici un exemple de bon éditorial : LIEN

Joli, comme d'habitude. Content de t'avoir de retour.

Pour le journalisme tout dépend de quel côté l'on se place. Du point de vue du lecteur (on rejoint ce que tu développes) ou du rédacteur. Là cela devient plus compliqué et l'on peut se demander ce que l'on trouverait. Vu le personnage je dirais que l'on est plus dans le style de journaux du niveau du monde diplomatique ou du monde (j'accentue ici la tendance de la presse spécialisée), fonctionnant selon un procédé à deux niveaux, l'un pour le grand public, agissant en guise de publicité, et l'autre, pour des abonnés et donc un club, proposant des études, articles et enquêtes de très haut niveau, rendus possible à réaliser grâce à la contribution des lecteurs (mais aussi des subsides gouvernementaux ou privés et donc entrainant une perte d'indépendance) qui paient ainsi des chercheurs, rédacteurs, pour leur présenter une information vérifiable.

Bon après on pourra parler des journaux populaires, de grande public, subventionnés par un gouvernement ou un groupe privé, blogs (généralement douteux, n'engageant que leurs auteurs ou de bonne qualité car tenus par ces mêmes écrivains du paragraphe ci-desssus) ou assimilables.

Enfin Seranon me parait en effet comme étant un endroit où l'on a pas besoin de jouer les journalistes immergés dans une armée pour avoir des choses à raconter, vu la situation politique. Les reporters de guerre, les vrais, peuvent passer des semaines voir des mois sur un champ de bataille. Grosso modo ils n'existent plus aujourd'hui et ont disparu dans la fin des années 70 (le dernier doit être Michael Herr). Et je vois mal ce personnage jouer à ça ^^.

Sinon en effet les éditos sont un bon moyen de faire passer ce qu'on pense.

Un personnage soigné, comme d'habitude, et je suis sûr que tu auras de quoi faire du remplissage en ce qui concerne sa personnalité et ses relations. Après, naturellement, il faudra trouver des endroits où le faire agir. Hum... je suppose en effet qu'éditorialiste ou pas, elle alliera le journalisme au politique en étant envoyée sur place alternativement par les deux milieux. Bref, à voir (je n'ai pas le temps de disserter davantage, étant sur une connexion d'emprunt).

Est-il seulement besoin de le valider?