Hegemony
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 Aëlingen Dun Ignis

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MessageSujet: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_minipostedMar 30 Nov 2010 - 12:33

Fiche de Personnage :


Identité :


  • Type de Personnage : Militaire (pirate)


  • Autre compte : Aucun
  • Nom : Dun Ignis
  • Prénom : Aëlingen
  • Âge : 46 ans
  • Faction : Pirate
  • Race : Tieffelins
  • Nationalité : Serraniens
  • Langues Parlées : Galactique Standard, l'Irkuunaouktut de Renaaq, Grec Seraniens et Latin Seranien.

Informations du RP :


  • Description psychologique :

    Une machine à tuer, ce n'est pas ainsi qu'il fut élevé mais s'est ce qu'il est devenu, semblable à un cyborg sans la moindre once de pitié ou de sentiment, avançant au milieu des cadavres des siens sans leurs accorder ne serais ce qu'un regard. De toute façons ils sont tous fauchés par la Mort, l'un après l'autre tombe à ses côtés tandis qu'il avance seul miraculeusement indemne. Combien de temps accords la faucheuse se jouera t-elle ainsi de lui?? Il ne le sait pas, mais en quittant ce monde il compte bien lui cracher son mépris à la figure, le mépris et le poids des remords portés par celui qui survie. Le passé vous hante et vous poursuit, les gestes de la vie quotidienne deviennent lourds et pesant, comme si les âme de ceux tombés continuaient depuis l'au delà à vous torturer pour avoir osé leur survivre. Pourtant tout avait si bien commencé, si bien commencé... Puis l'enfer était arrivé, inéluctable, l'horreur de ceux à qui on ne laisse pas le choix de survivre mais seulement de mourir.

    Il avait réussit, se cachant pour la première fois de sa vie, il en a encore honte même s'il sait que s'était la seule chose à faire pour survivre, survivre et continuer la lutte. De ces idéaux anciens, bien peu restaient, eux aussi ruine de la guerre, horreur de voir ses frères d'armes se retourner contre eux. On ne peut faire confiance à personne, à personne, tous sont des traîtres, des êtres vil n'attendant qu'une seconde d'inattention pour vous transformer en macabre silhouette. Les sentiments sont inutiles, des poids immondes que les hommes trainent derrière eux comme si cela pouvait devenir leur force, chose illusoire qui les poussaient vers leur tombe ou leurs assassins dansaient en fêtant leur victoire.

    Ceux qui ont des rêves les voient se briser, ceux qui ont des êtres aimés les perdent, ceux qui n'ont rien deviennent fort car la vie leur a déjà tout arracher, même si des ruines restent elles ne font que mettre en valeur ce qu'un être peut devenir lorsque la vie et le destin ne lui laissent d'autre choix. Son intérêt relatif pour la vie n'est sauvegardé que par son goût prononcé pour la gente féminine à laquelle il accorde une once de bienveillance et de douceur. Il finit toujours par se relever, allégeant ses principes des inutilités qui ont faillit lui couter la vie, gardant une courtoisie apparente pour rester cacher parmi les autres. Un loup dans une bergerie, attendant son heure...

  • Description Physique :

    Grand, impressionnant et d'une présence imposante. Voilà la première impression que laisse Aëlingen à ceux qui le croise, le souvenir d'un colosse respirant la menace latente, telle une arme n'attendant qu'une chose avec impatience: d'être utilisé pour faucher des vie. Sa chevelure sombre, des cheveux noir et fin coupé de manière courte selon la tradition militaire qui régnait sur Serranon avant la guerre avec Erikea. Une ancienne habitude qu'il n'a au fond jamais vraiment perdu. Son visage aurait put être beau, magnifique même si tous ses traits ne reflétaient pas une dureté aussi exacerbé. Ses yeux sombre, puits sans fonds ne reflétant pas plus de sentiment que la gueule d'un canon sont cachés au monde par une paire de lunette de soleil aux teintes sombre totalement démodés certes, mais collant au personnage de manière parfaite. Ambidextre il se montre habile de ses mains dans la tâche qu'il a le plus pratiqué, l'élagage des existences inutiles.

    Ce sombre être porte pour effet une veste descendant à mi cuisse entièrement de cuir lustrée et polie, renforcée en quelques endroits stratégique par un alliage argenté récupéré lors de la Guerre Civile Serranienne et refondue avec les moyens du bords. Entourant sa taille et retenant le pantalon noir assez large qui descends jusqu'à ses pieds, couvrant le haut de ses rangers, une ceinture comme on peut en trouver partout. Sous son manteau, notre bonhomme porte généralement un t shirt noir orné d'une tête de mort stylisé blanche occupant tout le torse. T shirt servant à recouvrir avec brio une tenue mk II emprunté à un gardien de l'ordre publique.

    Si l'on devait décrire le corps d'Aëlingen, on pourrait donner un bon résumé en disant tout simplement: culturiste. Mais loin d'être des gens qui se contente de faible mots, nous passerons donc à une description plus poussée des muscles savamment dessiné par des heures de dures labeur avec même quelques tentative d'utilisation de matériel anti-G inversé (augmentant donc la gravité) pour complexifier l'entraînement. Pratique qui se solda par quelques muscles déchirés et des os ressoudé avant d'être abandonné, le teint basané de sa peau est en plusieurs endroit tranchés par le blafard d'une ou l'autre cicatrice courant sur ses bras, ou impact de balle sur son torse. Marque d'ancien combat mais aussi de vengeance à perpétrer dans le futur. S'est un plat qui se mange froid, or qui y'a t-il de plus froid qu'un cadavre?

  • Histoire :

    Ce fut en l’an de grâce deux mil sept cent douze du calendrier galactique que naquit Altius Dun Ignis à SerranCity (Serranon), dans l’une des aristocrate famille dont la pureté du sang Tieffelins ne saurait encore aujourd’hui être mise en doute. La famille Dun Ignis dont Altius fut le fils cadet était composé pour tous membre de ses parents et de son frère ainé Titus, l’on ne leur connait en effet point de lignée latérale. Cette famille comptais toutefois de manière plus ou moins officielle en son sein un personnage du nom de Jorg Elin’Gun, serviteur de son état mais également ancien militaire désormais handicapés que le père de famille avait pris avec eux en reconnaissance de la vie que ce dernier lui sauva. Ce vieil homme attentif au besoin de ses maîtres, et en particulier du plus jeune des deux frères, reçut la charge de fournir une éducation digne d’un noble Tieffelins, comprenant en plus de la scolarité obligatoire que tous suivaient un entraînement et une éducation civique poussée. Toutefois, attachés qu’il était à celui qu’il en venait presque à considérer comme son fils, il lui inculqua aussi par sa mémoire et les récits des hauts fait du passé une vision du monde légèrement altérés mais aussi de bien grande vertu que sont l’honneur et la loyauté.

    Mais ce qui est petit ne saurait le rester éternellement sans disparaitre et Altius grandit bercé par les récits de bataille et haut faits du passé, sans distinction nationaliste même si l’on pouvait sentir chez le vieil homme de vieille rancune et des blessures qui ne sauraient jamais se refermer. Et il atteins l’âge de 12 ans en l’an 2724, terrible année s’il en fut. La guerre fut déclaré et le monde calme du petit être fut bousculé, l’enivrant d’une propagande et d’un nationalisme exacerber que ce dernier avala goulument, avec la même timide naïveté qu’il ingérait les récits des héros du passé. Il s’en souvient encore, de cette machine écrasante partant à la guerre, les soldats innombrable étalant leurs rangs jusqu’à l’horizon lointaine, la cadence rythmé de leurs pas faisant vibrer l’air de leur poids, le poids d’une nation et de ses croyances Ils ne sauraient être défait par le vil adversaire se dressant contre eux depuis les terreur du passé. A ses yeux innocents, ses chevaliers revêtu de blanc brillant d’une aura si particulière dans le couchant ne saurait être vaincu, ils iraient anéantir l’ennemi qui menaçaient les leurs et reviendraient sur leurs terres acclamer en héros.

    Mais la réalité cruelle fut fort différentes, car si les premières années de la guerre furent un succès pour les forces Serraniennes, qui purent repousser l’ennemi lui infligeant par là de grave blessure l’obligeant à se terrer dans sa tanière telle un dragon à la blessure mortelle, il fut oubliés qu’il n’y a de pire adversaire que celui mortellement blessée. La situation changea en quelques mois du tout au tout, créant une débâcle sans nom parmi les fier Tieffelins. La victoire n’étaient plus assurée, l’avenir étaient devenu trouble et sans cesse changeant, comme recouvert d’un voile obscur qui ne permettait à chacun de n’entrevoir que ce qu’il désirait apprendre. Lorsque commença l’invasion de Serranon, Altius excédé et porté par sa jeunesse allait alors mentir sur son âge pour intégrer les rang de la fière armée Serranienne au sein de la XXIème Hastatii, placé dans les régions côtière.

    Et l’enfer se déchaina, la fière armée se révéla être un lieu de torture de tous les instant, soumis à un entraînement rude et accéléré, sans qu’il ne puisse jamais se reposer. La boue qui ne semblait jamais vous quitter, les blessures qui ne se refermaient jamais vraiment et les bras douloureux qui devaient continuer leur travail encore et encore sous les ordres d’une vache immonde beuglant des ordres incompréhensible pour le commun des mortel. Puis finalement vint l’ordre de se mettre en marche, et ils marchèrent droit devant eux par tous les temps, n’utilisant les Gunship que lorsque le vol s’avéraient sans danger, chose rare qui tint au final du miracle. Obligés d’avancer à couvert, couché dans la boue ou sous l’eau, la fatigue vous tenaillant sans cesse sans pour autant voir un seul ennemi. Ils y arrivèrent pourtant enfin, ils y arrivèrent et firent face. Altius ne garde de ses jours que peu de souvenir, tant le chaos fut important, le combat se poursuivant de long jours alors que le ciel clément refusaient de laver de sa pluie les terres désolés, rendu boueuse du sang des hommes alors que les carcasses fumantes de droïdes, tel des squelette risible s’échappaient ci et là de cet enfer. On livra combat pour chaque parcelle de terrains bien après que la défaite fut certaine, les pertes ennemis devaient être effroyable pour permettre aux autres divisions de prendre l’avantage lors des affrontements futur. Des jours long où la vie coulaient dans vos veines comme si votre être tout entier accélérait alors que le temps ralentissait sa course pour vous permettre d’apprécier chaque moment, chaque instant volé à la faucheuse.

    Les jours se suivirent et se ressemblèrent, reculant un peu plus à chaque fois jusqu’à ce que l’ordre de retraite fut donné, un ordre inutile au vu du peu de personne encore apte à le recevoir. Mais ils le firent, reculant devant l’ennemi essayant de lui laisser quelques surprises en cas de poursuite et repartant vers les côtes qui les avaient à peine vu partir. Ils étaient plus vieux désormais, plus usée mais aussi plus aguerri. Certains étaient changés de manière irrémédiable, Altius en faisant partit comprenant pour la première fois de son existence que dans une bataille il n’y avait pas de gentil ni de méchant, ni bien mais seulement du mal, et qu’une victoire se payait chèrement en sang et en vie. Cela n’ébranlait toutefois pas leurs volonté de combattre l’envahisseur, cette volonté qui était un peu la dernière chose qui leur restait, le dernier lien les raccrochant encore à l’humanité et ses faiblesses. Ce fut la principale raison pour laquelle alors qu’il atteignait son dix-huitième anniversaire il put avec ses frères d’armes entendre la terrible nouvelle de la reddition du gouvernement dont il avait payé la protection de son sang et son remplacement par une caricature d’empire. Incompréhension et colère, trahis par sa patrie les soldats ne devaient avoir d’autres choix que de déposer les armes, ce qu’ils décidèrent d’un accords commun de ne point faire et de continuer la lutte avec plus d’acharnement encore. Une nouvelle guerre commençait…

    Les premiers temps ils se contentèrent d’attaquer des convoi de ravitaillement de la nouvelle armée, alors que parmi le peuple certains leur apportaient soutien et aide à travers des médicaments et de fournitures. A son tour, Serranon pourléchait ses blessures attendant le bon moment pour sauter à la gorge du nouvel ennemi, traître et envahisseurs qui mains dans la mains ourdissaient la ruine d’un peuple. La reconstruction de la planète commençait, enrichissant ceux responsables de sa destruction, intolérable situation. Ils se portèrent alors en une marche victorieuse, bravant l’empereur fantoche au service de l’ennemi, escaladant la naïveté du peuple ingénue en direction de Morea pour la libération symbolique qui ferait souffler le vent de la liberté. Là, ils s’installèrent en ville défiant le pouvoir au nom du drapeau qu’ils avaient jurer de servir. Et la riposte vint, la bataille de Zel se rejouant quelques parts sans que l’on puisse jamais reculer.

    Parmi les lignes avancés, Altius subit dès le premier jours des combats la pression constante de soldats arrivant l’un à après l’autre telle le blée mur à la moisson qui tombe sous les coup du moissonneur zélé qui pourtant ne voyant point la tâche diminué finit par fatiguer. S’éternisant et étant déborder pour ne finir par ne plus être qu’une poche de résistance parmi d’autres dont vivre et munition diminuant à vu d’œil rendait la situation pour le moins critique, le nombre de compagnons épaulant fusil à vos côtés diminuant d’assaut en assaut plus rapidement qu’une glace n’eut fondu en Botmélie. Finalement lorsqu’il porta son regard à ses côtés il ne vit que cadavre dernier survivant présent, coupé du monde par le sifflement des balles qui fusaient lorsqu’une voie humaine le tira de sa léthargie meurtrière, une voie reconnaissable entre toute. Se dressant là au milieu de la folie meurtriète Titus Dun Ignis semblait écarter les fils du destin, et arrêter la machine le menant à sa mort. Lâchant son arme, un sourire aux lèvres il se redressa pour faire face à son frère bien aimé.

    Ainsi périssent les traîtres !

    Un claquement et un choc, partant en arrière et observant les étoiles envahissant le ciel de leur pur lumière alors que doucement le froid quittait son corps, un froids qu’il ne se souvenait pas avoir ressentit alors que le monde doucement sombrait dans le sommeil sous un linceul de noirceur tranquille et silencieuse. Puis vint le clignotement et l’agitation comme si le monde infâme reprenait ses droits en même temps que la douleur lui déchirant langoureusement l’épaule gauche. Il les entendit, tout proches et se cacha parmi les cadavres de ses camarades, puis il se traina à la faveur de la nuit abandonnant là ses armes et son honneur pour sa vie, semant derrière lui son sang comme autant de preuves de sa lâcheté. Ce fut au sortir de la ville que son salut arriva, une personne le connaissant et l’ayant vu grandir ne pouvant se résoudre à la regarder mourir. Un vieil homme handicapé par la vie et la guerre qui le soigna avant de lui permettre de s’enfuit vers des régions occupés par les rebelles, un homme ayant gardé sa fierté et la mémoire de ce qu’il fut.

    Mais cela n’empêcha pas Altius brisé et ne comprenant point la réaction de son frère mais aussi de sa famille qui de fier défenseur étaient devenu les oppresseurs de leurs frères au seul nom de leur avantage présent et futur, au mépris de la base même de leur culture. Cet héritage il le rejetta, ne désirant garder que la défense des plus faible, et son esprit obscurcit par le nuage de la haine et les prémices de la folie le dévorant il rejeta son existence pour en changer, Aëlingen était née tel un tas de cendre dont les flammes sont ravivés renaissant dans leur splendeur originelle mais à jamais transformé.

    Mais cela n’empêcha pas Altius brisé et ne comprenant point la réaction de son frère mais aussi de sa famille qui de fier défenseur étaient devenu les oppresseurs de leurs frères au seul nom de leur avantage présent et futur, au mépris de la base même de leur culture. Cet héritage il le rejetta, ne désirant garder que la défense des plus faible, et son esprit obscurcit par le nuage de la haine et les prémices de la folie le dévorant il rejeta son existence pour en changer, Aëlingen était née tel un tas de cendre dont les flammes sont ravivés renaissant dans leur splendeur originelle mais à jamais transformé.

    De là, il rejoignit la rebellions s’entrainant encore et toujours, participant aux escarmouches, machine sans pitié fauchant des vie sans état d’âme, transformant la vie des impériaux en une terreur de tous les instants. Les moments où il ne rodaient pas non loin de position ennemi, il les passaient en zone d’entraînement et sur les champs de tir, cherchant toujours à améliorer ses compétences de jardinier humains, à peaufiner ses gestes jusqu’à être capable de combattre de manière parfaite, puis d’essayer de se dépasser de nouveau. Puis vint la surprise en la personne d’une frêle jeune fille à peine plus jeune que lui, Aëlingen était sélectionner pour intégrer le Shield, les Forces Spéciales de la Rebellions dans la section Combat. L’entraînement qu’il suivit et les missions qu’il accomplit, il les garda secrète et par respect pour cet être nous garderons également le silence sur ces activités, la seule chose que l’on doit souligner fut qu’il s’enfonça de manière irrémédiable dans ses ténèbres, submergé par les flots négatif de la tumultueuse vie.

    Lorsque la rébellion prit fin, loin de vouloir poursuivre son service dans les rang de l’armée, il décida de se retirer invoquant son âge croissant pour enfin prendre du repos, devenir un vétéran croulant parmi d’autres ayant put affronter l’horreur de la guerre et pouvant sans crainte transmettre des flots de niaiserie héroïque. Par mesure de sécurité, il décida par contre de garder une part de son matériel avec lui, obtenu et rassemblé par les années de combat lorsqu’avec plusieurs des leurs il réintégra la vie civile, essayant de se fondre dans la masse populaire. Ce fut ce qui le perdu comme tant d’autres, l’inactivités nouvelle le rongea jusqu’à la moelle de manière plus sûr encore que l’alcool dont il s’abreuvaient, compagne plus tenace que les femmes qui partageaient sa couche. Tout commença lorsqu’il vérifia leur état, puis continua lorsqu’il le fit pour la seconde fois puis il finit par hanter les rue sombre de SerranCity à la recherche d’une activité quelconque.

    Se rendant compte que la situation échappait à tout contrôle, il se rendit chez un ancien ami lui aussi « démobilisé » et devenu quelques peu inadapté à la vie civile, un ami à qui il demanda arme et munition mais aussi de rassembler tous les anciens qui pourraient repartir à l’action. La chose ne se fit pas sans heurt, mais une fois ces derniers rassemblé il leur proposa de retourner dans les anciennes provinces rebelles, y retourner et y faire régner la loi en combattant les groupuscule criminel voir mafieux gangrenant la zone. Ainsi se fit son départ vers de nouveaux horizon, mais d’abord il fallait tester le matériel, et quoi de plus beau qu’une guerre servit sur un plateau ?

  • Inventaire :
    • 1 Fusil d'Assaut MEC-220
    • 1 Pistolet mitrailleur Q 30
    • 1 Pistolet MEC-80
    • 1 Pistolet Mitrailleur MEC-100 MSG
    • 4 Chargeur pour le Q30
    • 1 Bloc d'énergie de rechange
    • 1 Couteau de Combat


  • Vaisseau :

Autre :



  • Disponibilité du joueur : Variable.
  • Indisponibilité permanentes : Aucune normalement.
  • Fuseau horaire : Variable.
  • Que souhaitez vous que votre personnage devienne, comment doit-il évoluer ? Changement de plan, mon personnage reste belle et bien un criminel pouvant rejoindre la Main mais je compte lui faire monter sa propre organisation de défense des civile sur Serranon face aux pillards pour couvrir activités de piraterie et contrebande.

    [X] En cochant cette case, j'accepte de voir mon PJ mourir lors d'un combat avec d'autre personnages (facultatif, c'est une question de FairPlay)


Dernière édition par Aëlingen Dun Ignis le Jeu 2 Déc 2010 - 9:32, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_minipostedMar 30 Nov 2010 - 15:04

Bienvenue à bord de notre bon vieux bateau! (le premier qui dit rafiot se prend un tir de FAM1^^)

Ton personnage a l'air d'être pas mal, on pourra trouver quelque chose à faire pour lui. Pour l'instant, je fais quelques petites affaires de détournements louches dans les Bas-fonds de la capitale de l'Union, mais du reste nous sommes en stand-by, tu l'auras compris.

Envoie-nous la suite de ta description pour que l'on passe la formalité qu'est la validation.
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MessageSujet: Re: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_minipostedMar 30 Nov 2010 - 17:30

Bonsoir, Alexandre Orlov, administrateur.

Sacré production déjà ! En attente de l'histoire du personnage qui semble fort lié à Seranon, je t'invites donc à te reporter à l'article sur la guerre civile séranienne. Etant le rédacteur dudit, je suis ouvert à toute critique concernant la cohérence de tel ou tel passage.
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MessageSujet: Re: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_minipostedJeu 2 Déc 2010 - 6:44

Han ! T'acceptes même pas de mourir. Tu me déçois.

Je valide pour ma part.
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MessageSujet: Re: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_minipostedJeu 2 Déc 2010 - 9:31

Citation :
Si cette case est cochée, n'importe quand en RP, votre personnage pourra mourir. Qu'il soit tué par un PJ ou un PNJ, vous n'êtes plus protégé contre la mort. Un MJ peut alors décider que vous mourrez au courant d'un combat parce que vous n'avez pas été suffisamment prudent.

Question de confiance Espérance, mais j'ai trop de passif derrière moi de toute façons si vous trouvez que ça va trop loin dites le moi que je modifis ou faites moi mourir hein Wink

Allez, je te la coche ça va me faire des sueurs froides...
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MessageSujet: Re: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_minipostedJeu 2 Déc 2010 - 16:30

Validé pour moi.
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MessageSujet: Re: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_minipostedJeu 2 Déc 2010 - 18:41

Je valide aussi tiens!
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MessageSujet: Re: Aëlingen Dun Ignis   Aëlingen Dun Ignis Icon_miniposted

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