[Entreprise] Siège de Vector

Sujet: [Entreprise] Siège de Vector Lun 7 Mar 2011 - 20:48

Voici à quoi ressemble le Siège de Vector situé dans Opale, une double tour où sont gérer l'ensemble des divisions de l’entreprise. C'est aussi un endroit d'une sécurité extrêmement importante, allant du scanner digital, au scanner rétinien en passant par le scanner à ADN pour les zones les plus sécurisés du bâtiment...

Dans l'ensemble, c'est ici que se prennent les plus grandes décision de l'entreprise et que peuvent être reçue les personnalités extérieures à cette dernière désirant s'entretenir avec ses dirigeants.

Have you a soul inside your shell,
Kos-Mos ?

[PV Kos-Mos]

Siège social de Vector – Bureau de la direction.
4:07 p.m. – Heure locale

Cela ne faisait que quelques jours que la présentation de l’équipement de Vector s’était effectuée auprès de l’état-major Jadéen. Kos-Mos avait été réveillées de son long sommeil et les tests de fonctionnalités de son corps cybernétiques s’étaient révélés positif à 100% d’efficacité. D’après les scientifiques, tous les voyants étaient aux verts pour lui permettre de fonctionner pleinement dans cet univers. Le programme « Battle Improvement » allait désormais pouvoir réellement commencer, pensa Christophe, siège tourné vers l’immense baie vitrée.

La pièce servant à la direction de Vector se trouvait être particulièrement sobre, et si un œil attentif pouvait voir que les meubles étaient de qualité, rien d’autre dans la pièce ne laissait à présager que l’on se trouvait bien dans le bureau du patron de cet entreprise. Pas de dorure, pas de miroir, très peu de décorations à l’exception de quelques plantes vertes, rien de plus que le strict minimum nécessaire à un travail efficace ne se trouvait dans cette pièce que l’on avait débarrassé de tout superflus.

A cette heure-ci, les bâtiments de la ville brillaient d’un pâle éclat au travers de la verrière. Le zénith était passé, mais il n’était pas encore assez tard pour que l’on soit au crépuscule. De ce point de vue en hauteur, on n’avait aucune difficulté à réaliser à quel point l’homme n’est que peu de choses. Personne ne pourrait survivre à une chute de la hauteur de cette tour, et pourtant, la folie des hommes l’avait construite. Christophe poussa un soupir, le temps n’était pourtant pas aux réflexions philosophiques. Jettant un coup d’œil à sa montre, il vit que l’heure avait tournée et qu’il serait bientôt la demi, l’heure de son rendez-vous avec l’Ange.

Faisant pivoter le siège, il fit face au bureau et à la porte alors que le bruit de pas distinctif d’une personne à talon se faisait entendre dans le couloir silencieux…

4h30 de l’après-midi, c'était l'heure à laquelle avait été convoquée au bureau de son créateur l'ange bleu. Et pour son processeur tout juste mit en marche depuis quelques jours à peine, cette recommandation équivalait à une exigence d'exactitude. Elle serait donc là à 4:30 p.m. 00 ou bien ne serait pas. Mais même dans cette apparente excentricité, l'androïde se démarquait des simples êtres vivants. Là où toute autre personne tenant à arriver à l'heure exacte serait simplement arrivée à l'avance pour ensuite attendre devant la porte, Kos-Mos se dirigea pour sa part vers son lieu de rendez-vous pile au moment idéal calculé par ses soins pour qu'à la fin de sa marche, elle se trouve à l'instant voulu devant la porte du bureau. Connaissant parfaitement bien l'immeuble siège de Vector étant donné qu'il faisait parti de sa banque de données, elle avait ainsi prit le soin de simuler et programmer sa marche. Calculer le temps mit par la montée des marches, plus sûres en gestion du temps qu'un ascenseur susceptible d'être interrompu par d'autres personnes, ainsi que le délai de franchissement de chaque porte de sécurité. Évidement, dans sa simulation, aucune intervention extérieure n'était prévu, ce qui impliqua que lors-qu’eut lieu l’ascension programmée, l'access ne se retourna pas un instant vers les nombreuses personnes qu'elle croisa au cours de son trajet. Qu'ils la dévisagent, l'ignorent, l’interpellent ou même la bouscule en ne faisant pas attention où ils allaient, Kos-Mos ne déviait pas d'un iota de son parcours, ignorant superbement toute action à son encontre comme si elle snobait superbement tous ces humains. Elle avait juste une instruction prioritaire, ce rendez-vous, et tant que son programme d’évaluation des menaces ne venait pas bouleverser cela, elle ne verrait pas de raison de le changer d'elle-même pour la simple commodité des passants. C'est donc toujours aussi imperturbable qu'elle se trouva comme prévu devant la porte du bureau de Christophe Ashworth à 4:30 00. A 4:30 01, elle poussa la porte et entra.

Ce geste qui pourrait sembler anodin ne l'était pourtant pas pour la gynoïde. Prévu en tant qu'arme de guerre avant tout, sa puissance était programmée en conséquence, pouvant ainsi mobiliser dans son corps de frêle apparence une force considérable. Et elle avait beau avoir intégré en elle des programmes de choses plus douces et délicates, son processeur avait nécessité quelques essais pratiques avant d'assimiler que l'ouverture d'une porte demandait une réduction considérable de la pression exercée par les doigts de la main. Un petit bug passager comme toute machine nouvellement conçu en connait fatalement, idiot et rapidement corrigé mais qui avait au moins servi à rappeler à l'ange bleu la fragilité des choses, êtres humains compris. C'est donc avec un soin tout appliqué qu'elle entra dans l'espace de travail de celui qui avait organisé sa création.

L'endroit était sobre, satisfaisant les besoins de conception utilitaire de l'être artificiel. Mis à part les quelques pauvres plantes en pot dont elle ne comprenait pas la présence. Raisonnant après tout exclusivement en termes pratiques, l'access ne comprenait pas l'utilité d'avoir mis là ces quelques feuillages trop peu nombreux pour servir de camouflage ou d'abri convainquant. La conception esthétique était une chose qui était comprise dans ses programmes mais qu'elle n'arrivait pas encore à conceptualiser. Elle était après tout comme un nouveau-né en ce monde, elle avait encore beaucoup à apprendre malgré la masse de savoir incluse dans son processeur. Ignorant alors ce qu'elle ne pouvait comprendre vu qu'ils ne se révélaient pas pour l'instant être des obstacles à sa mission, Kos-Mos alla se planter devant le bureau et l'homme qui se trouvait derrière. Sans même ciller ni exprimer le moindre sentiment, l'androïde s'immobilisant ainsi parfaitement devant son créateur, attendant ensuite calmement dans un mutisme absolu tout ce qu'il voudrait bien faire d'elle. Elle était prête pour cela à attendre le temps qu'il faudrait, même des années entières. Le temps n'était pour elle qu'une donnée parmi tant d'autres. Seules ses instructions prioritaires ancrées dans son programme central étaient absolues.

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Humain : n.m. Sac à viande.

La jeune femme aux cheveux bleus que certains des scientifiques ayant participés à son élaboration appellent déjà « l’Ange Bleu » venait d’arriver, et il était précisément l’heure convenue. Sa manière d’arriver était tellement précise alors qu’elle respirait une telle sureté et une telle confiance que ça en devenait presque insultant. Cependant, presque tous les access nouvellement créés étaient plus ou moins comme cela, même si ils finissaient souvent par montrer leurs premières émotions plus rapidement que Kos-Mos.

« Ponctuelle, pas vrai ? Enfin, je suppose que c’est normal… Tu vas bien, Kos-Mos ?

Ces questions tout à fait banales revêtaient dans les circonstances présentes une connotation toute particulières pour Christophe, et Vector par la même occasion. Même si il avait eu les rapports en main et déjà communiquer brièvement avec Kos-Mos lors de la réunion avec l’état-major jadéen, il n’avait que rarement eu l’occasion d’avoir une véritable entrevue avec elle. Il préférait donc juger de lui-même de ses aptitudes « sociales » avant toute chose. Ces premières questions allaient donc rapidement commencer à soulever plusieurs point de cet état de fait.

Et puis, après tout, il avait lui-même fait partie de l’équipe de développement de cette Access si particulière. Il était normale qu’il s’intéresse à son développement et à voir comment elle allait grandir. Et même si plus d’un individu trouverais ça comme étant « contre-nature » envers une machine, il avait pour elle un intérêt certains oscillant entre le scientifique et le paternel : d’un certains point de vue, il lui avait un peu donné naissance, même si son travail n’avait été qu’une infime goutte d’eau dans l’océan qui l’avait enfanté.

La regardant calmement dans les yeux, un sourire avenant sur les lèvres, il attendait la réponse de l’ange bleue avec un calme trompeur.

Kos-Mos se demandait si c'était bien cela que les humains appelaient une question rhétorique. Elle avait un peu de mal avec toutes ces notions de l'esprit et ne faisait pas forcément la différence entre une parole matérielle ou imagée. Pourtant, dans ce contexte là et pour de tels mots, l'androïde voyait mal ce que cela pourrait être à part une image. En effet, l'interroger véritablement sur sa ponctualité ou son état de santé ne rimait pas à grand chose. Après tout, quelle raison aurait-elle d'arriver en retard, ou même à l'avance? Elle n'avait rien à y gagner et comme ses journées se passaient à présent à simplement se promener au dehors pour se familiariser à son nouvel environnement, on ne pouvait pas dire qu'elle aurait une autre tâche importante qui aurait pu la retarder à ce rendez-vous. De même pour sa santé, en tant qu'être artificiellement conçu elle ne pouvait tomber malade ou être blessée. Tout au plus pouvait-elle être abimée ou cassée, mais rien de plus, ce ne serait pas ça qui affecterait son état. Pour cela il faudrait que ses données et ses programmes ou leur réceptacle soit endommagé hors le premier ordre prioritaire chez Kos-Mos était justement la préservation de ses données personnelles, et dans une mesure à peine moindre le reste de son corps. Elle devait au maximum éviter de l'endommager au vu de son importance dans les plans d'avenir de Vector. devant ainsi se préserver elle-même, elle ne pouvait pas mal aller, pas ici sur Opale en tout cas où les sources de danger pour elle étaient quasi-nuls en l'état actuel des choses.

Du coup, la gynoïde fixa un instant son créateur sans paraitre savoir quoi répondre, le regardant d'un petit air perdu en dodelinant machinalement de la tête. Mais ce ne fut qu'un bref instant d'hésitation avant que sa programmation ne reprenne le dessus et ne trouve quand même une issue. Oublier l'évidence et l'interprétation pour ne plus prendre en compte que le sens strict des mots, et y répondre le plus simplement et directement possible. C'est donc d'une voix neutre et automatique qu'elle prit à son tour la parole, pour la première fois dans cette pièce. Elle n'avait jamais eut l'occasion d'y dire quelque chose de pertinent jusqu'à présent, tout simplement. Et pour cette fois, autant répondre à ce qu'elle pouvait.

Affirmatif, mes processeurs sont en parfait état de marche, mes articulations bien huilées et mes fonctions répondent correctement dans le milieu non hostile présent. Je n'ai par contre fait qu'arriver à l'heure, il est normal d'arriver à l'heure que l'on désigne pour un rendez-vous non?

Poser une question à la suite de cela, initiative car pour le coup, la jeune femme ne voyait pas comment tourner sa réponse autrement sans lui donner une formulation incohérente. Décidément, formuler les bonnes phrases était tout aussi complexe que d'exécuter un coup de poing efficace. Il faut dire que les énonciations et expressions humaines étaient loin de simplifier le travail. Discourir entre machines était tellement plus simple, Kos-Mos le savait pour s'être entretenue avec quelques unes d'entre elles au centre d'expérimentation où on lui faisait faire des tests réguliers depuis son activation. En comparaison, ces humains étaient bien plus compliqués...

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Tricks and Logic

Use them or lose them.

Christophe eut un rire franc à la réponse de Kos-Mos. Un rire comme il n’en avait plus eut depuis longtemps. Il savait que la jeune femme était froide et inexpressive, mais il ne s’attendait malgré tout pas à ce genre de réponse de sa part. Ces derniers temps il n’avait que stress et panique à bord alors que tout se bousculait autour de lui. Là il avait une réaction totalement atypique venant de la plus renfermée de toutes les Access, et par conséquent l’une des seules personnes avec qui il pouvait réellement se lâcher.

Se reprenant après quelques instants, il sourit amicalement à la Cold Lady. Les réponses qu'elle avait données lui montraient bien des choses : elle n'avait aucune notion affirmée de subjectif, ou du "moi" intérieur. Aussi ses réponses se concentraient sur une objectivité totale et absolue. Cela était toujours surprenant, et Christophe avait une sorte d’affection particulière pour Kos-Mos, comme un père avec son enfant un peu. Il regrettait ainsi que cette Access risque à l’avenir d’être exposée à de tels dangers que ceux de notre univers…

« Alala… Tu n’avais pas à t’interroger sur l’heure de ta venue, et pour le reste… disons que tu comprendras le sens de ma question un jour.

Reprenant son sérieux, l’homme ne se trouvait plus être le scientifique, mais l’entrepreneur, une partie de lui qu’il n’appréciait pas spécialement. Remettant quelques papiers en place, il reprit la parole d’une voix plus neutre et calme que précédemment.

- Je pense que tu sais pourquoi je t’ais fait venir. Le but du projet qui t’as amené à venir au monde est, non seulement de tester de nouvelles technologies, mais aussi d’augmenter l’efficacité des protocoles de combats des Access, inadaptés aux capacités musculaires des Access. Pour cela, nous allons te laisser « libre » d’explorer l’univers. Tu devras simplement me communiquer régulièrement des rapports sur ce que tu auras vu ou fait. En cas de besoin ou de missions à te confier, je te contacterais. Bien entendu, tu n’existe pas, il vaudra donc mieux que tu évite de trop te faire remarquer, ou de faire savoir que tu te trouves être une Access de Vector.
- As-tu des questions ou des idées par où commencer ?

Décidément, le président de Vector était parfois peu clair dans ses propos. La réponse qu'il donna à l'androide ne lui parut pas plus claire que la précédente, continuant de plus belle ses allusions et réflexions aussi insaisissables pour Kos Mos que le ciel pour un rocher. Elle avait beau analyser et comparer à son stock de données chaque mot de son créateur l'un après l'autre, elle ne parvenait pas à former un tout cohérent qui ait un sens pour elle. Visiblement la logique et l'explicite n'étaient pas invités dans ces paroles, ce qui n'était pas pour aider la jeune femme à s'en sortir. Du coup elle préféra tout simplement se taire en attendant que lui parvienne un champ lexical qui lui conviendrait mieux. De toute façon elle ne parlait jamais pour ne rien dire et vu que pour l'instant elle n'avait pas comprise la situation énoncée, c'est ce qu'elle ferait si elle intervenait. Elle se contenta donc de stocker cette conversation particulière dans un fichier particulier de sa carte mémoire afin d'y revenir plus tard dessus, l'analyser et la comprendre. Cela lui ferait au moins une occupation supplémentairement lors de ses moments de repos.

Mais Christopher enchaina rapidement sur un terrain plus abordable pour la gynoïde, aussi reprit elle rapidement le cours de la conversation. Elle eut enfin la satisfaction de parfaitement comprendre les mots suivants de son créateur. Là, tout lui semblait parfaitement clair, elle avait en fait à faire ce pour quoi elle avait été programmée à la naissance, rien de plus facile à intégrer donc. Il y avait juste cette notion de "libre" qui l'ennuyait en l'amenant sur un terrain glissant. Qu'est ce que le directeur voulait dire par là, qu'elle n'aurait pas à suivre des ordres ou instructions? Pour un processeur servile comme le sien, l'idée avait du mal à se faire. Mais bon, elle aviserait bien sur le moment, pour l'instant elle avait encore des recommandation à suivre, à savoir répondre à l’interrogation de Christophe. Oui, d’ailleurs elle l'appelait déjà intérieurement Christophe, et pas Mr. Ashwoth ou autre assimilé. Il faut dire qu'elle avait pas mal potassée la question avant de ce rendre à cette convocation, pour arriver à cette solution. En effet, après une rigoureuse analyse et sous-pesage de la question par tous les déducteurs logiques et programmes de réflexion qu'elle possédait, il était apparut que Christophe Ashwoth était ce qui ressemblait le plus à un père pour elle. Hors ses connaissances étaient catégoriques, dans la culture jadéenne d'où était issu son créateur, on n'appelait pas un père par son nom mais bel et bien par son prénom. C'est donc par cela qu'elle désignerait le directeur le Vector désormais.

Ce souci de pure forme étant réglé longtemps auparavant, Kos-Mos put ainsi pleinement se concentrer sur le problème seul que lui proposait Christophe. A savoir des propositions de lieux ou manières de débuter sa mission. L'idéal pour la tache qui lui était assignée était donc une zone de turbulences, avec un chaos suffisant pour lui permettre de participer à de nombreux conflits pour tester le plus largement possible ses capacités. Et même si possible des conflits comportant des éléments suffisamment puissants pour être un chalenge intéressent. Beaucoup d'endroits dans l'univers connu correspondaient à ces caractéristiques mais il fallait bien en choisir un pour commencer...Kos-Mos procéda donc à une sélection qualitative pour les premiers choix qu'elle présenta à voix haute à Christophe. Comme cela si ils n’allaient pas, elle n'aurait qu'a lui donner les suivants de la liste. C'est donc d'un ton toujours égal et sans émotion qu'elle présenta ses hypothèses.

Comme terrain d'intervention, il aurait premièrement comme possibilité de choix Ertikea ou les Carcars. Le premier pour son héritage militaire encore fort conséquent et la présence d'êtres cybernétiques de haut niveau, le second pour la facilité d'ouvrir les hostilités contre eux et leur fort potentiel destructeur. Une opération dans les bordures extérieures serait aussi envisageable si la forte probabilité de tomber face à une donnée inconnue trop menaçante pour la mission ne posait pas problème.

Pas d’interrogations pour l'instant. Quel est donc votre avis Christophe?

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Le chemin de la Guerre

Toute personne qui trempe ses mains dans le sang d’autrui ne pourras jamais plus redevenir comme avant. Qu’en est-il pour les droïdes ?

Christophe était pensif face à la réponse de Kos-Mos. Elle n’avait certes rien d’étonnant et était des plus logique. Il y avait bien d’autres foyers de conflits et de tension, comme Bavandar, Serannon et compagnie, mais les deux zones citées sont bel et bien non seulement les plus simples pour trouver des zones d’engagement, mais aussi ceux où les conflits peuvent être parmi les plus violents sur le plan individuel. En d’autres termes, c’était bel et bien les meilleurs endroits, mais par conséquent aussi les plus dangereux… tout du moins pour un être humain normal.

« Rien a contester sur tes choix. Tu peux partir quand tu veux.

Sujet: Re: [Entreprise] Siège de Vector Dim 11 Sep 2011 - 15:08

La CCC avait rapporté à Vector plusieurs commandes, le coup de publicité ayant pu épater pas mal de monde.

Elles s’élevaient à
1 acces de type S commandé par une firme jadéenne, il s’agissait d’un modèle masculin.
18 access d’observation de série deux et 4 de série un ainsi que 6 de série trois par des commanditaires divers.

L’on s’intéressait enfin à l’armure fantôme. Plusieurs Etats étrangers avaient approchés Vector pour des commandes. Elle s’élèveraient à environs deux cents exemplaires au total. Les commanditaires potentiels étaient Vands, Bavanne, Freigtech, Nouvelle Prusse, l’Empire Krypto-Arkilien, Alganzaar ainsi qu’une société militaire privée elle-même installée à Alganzaar.

La vente produits usuels de Vector (holo-ordinateurs etc) étaient également en hausse. Les commandes permettaient de faire tourner les usines dédiées à leur achèvement à une hauteur de 75% de leur capacité de production.

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MJ et gestionnaire de l'Empire Krypto-Arkilien, la République d'Aunadar et la Station Bulkar

Sujet: Re: [Entreprise] Siège de Vector Jeu 10 Nov 2011 - 17:11

Message confidentiel du Secrétatiat à la Défense de la République Fédérale de Jadis.

Citation :: Le Secrétariat vous annonce que la défense nationale prendra commande de 3 pacificateur et de 2 Célestial par mois, et ce, pour un contrat de 3 ans. De plus, la Vector Industries pourra détenir un contrat d'entretient et de pièce de rechange de 10 ans auprès de la défense nationale pour les unités acheté, ce contrat sera éventuellement renouvelable.

Secrétaire à la défense, Bill Thompson

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Gestionnaire de la République de Jadis, du Royaume de Shluikaas, de la République de Pergale et des États Veryyliens

Sujet: Re: [Entreprise] Siège de Vector Jeu 10 Nov 2011 - 17:49

Si l'impact de la démonstration de la Crow Cooperation Convention sur Arkilia avait eut pour mérite de faire mieux connaître les access en dehors de Jadis, l'on pouvait dire que la chose était plus ou moins un succès. Plusieurs entreprises dans l'univers aux origines diverses commandèrent pour un total de vignt access d'observation de série 03, les autres ayant, semblait-il, peu de succès.

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MJ et gestionnaire de l'Empire Krypto-Arkilien, la République d'Aunadar et la Station Bulkar

Sujet: Re: [Entreprise] Siège de Vector Mer 30 Nov 2011 - 9:57

L'importance de la commande jadéenne avait conduit l'entreprise à des mesures exceptionnelles visant à construire une nouvelle grande usine pour Vector Arms en un temps record de 6 mois, pour cela, l'entreprise avait investit des fonds supplémentaire à sa construction afin de s'assurer une qualité optimale et une absence de dysfonctionnement de cette dernière en embauchant des équipes de nuits et des entreprises qualifiées dans ce domaine.

La totalité des frais de construction s'élevant alors à 3.500.000.000 Cr.

Continuant dans l'idée sus-nommé, l'entreprise investit des fonds supplémentaires afin d'augmenter la capacité de production de ses entreprises (toutes sections de Vector confondu) à leur maximum, et ce afin d'augmenter la flexibilité de l'entreprise en terme de production et de rentabilité.

Le cout total de cette opération s'élevant à un peu plus de 3 milliards.

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