Chacals au pays des léopards - Crassus Prime [O'Connell]

Secteur central, Crassus Prime

Frontière entre la république du Nord-Est crassien et le Lougou-Jougu, 25 kilomètres au nord-ouest de Piro Sagi-Sagi
Bargo Tissara; Camp d'entrainement de l'armée Jouguienne

Une brise sèche balayait le plateau rocailleux et chauve sur lequel se situait le camps d'entrainement de Bargo Tissara - nom bien pompeux pour une demi-douzaine de baraques sordides gardées par des hommes aux uniformes sales principalement occupés à boire des bières sous des tentes ou encore à aller de A à B à bord de pick-up antigravs hors d'âge. Au centre du camp, une station radar mobile alttorienne, réparée de bric et de broc était installée, un système tournant au sommet d'un petit derrick, avec un aspect d'efficacité exceptionnelle. Toutefois, la chose la plus dur était peut-être de réveiller l'opérateur assoupi, un chapeau de brousse sur la tête, et non de faire fonctionner cet attirail.
Le paysage que l'on pouvait voir depuis le plateau n'était guère engageant: sur les trois quarts de l'horizon, seulement un paysage aride de savane sèche; où les arbres étaient rares, jusqu'au cours paresseux du fleuve N'béké, qui, aux limites du visible, suggérait quelques cultures. Côté est, on apercevait au loin les montagnes qui séparaient le morne paysage du Lougou-Jougu de l'Otuberuland, un pays d'épaisses forêts tropicales en guerre civile depuis des décennies, guerre dont tout le monde au camp de Bargo Tissara avait entendu les horreurs.

Il était déjà dix-neuf heures passées, et le crépuscule s'annonçait au loin lorsque une jeep antigrav avec deux petits drapeaux du gouvernement grimpa poussivement la piste en épingle à cheveu qui partait de la route qui courrait dans la vallée, près de l'oued Berkool. Dans la chaleur étouffante de cette soirée, les occupants du véhicule décapotables devaient apprécier le vent léger crée par le mouvement. Une fois qu'il se fut davantage rapproché, on put voir qu'il y a avait quatre personnes à bord: un chauffeur à l'air morose, un étranger au visage rougit par le soleil, installé tant bien que mal sur l'inconfortable siège passager, et deux soldats à l'arrière, une vieille arme unionienne du début du siècle à l'épaule, installés sur le dossier du siège arrière, les pieds sur la banquette, se tenant à des poignées et scrutant les environs.

Le colonel Gilberto Mashoduud prit négligemment sa casquette sur le vieux poste de com. dans sa tente, désactiva la radio qui fournissait l'arrière-plan sonore du baraquement de commandement - quatre murs en préfabriqué et un toit -, mit son arme dans son holster, releva son pantalon et épousseta sa veste d'uniforme, sans prendre la peine de la fermer. Prêt, il quitta avec un grognement satisfait le baraquement surchauffé, sans prendre la peine de soulager l'héroïque ventilateur de sa peine.

Son ordonnance arriva en courant après qu'il eut parcouru quelques mètres, abandonnant son couteau et sa sculpture sur bois inachevée, qu'un autres soldat releva et posa sur le vieux banc branlant. Le petit avec ses lunettes avait finalement réussi à s'intégrer tant bien que mal, passé les bizutages du début, et se révélait parfois utile à Mashoduud, qui ne pouvait pas toujours être là pour aider tous les analphabètes que sa troupe comptait.

Les deux hommes s'avancèrent vers la jeep, qui passa un contrôle flegmatique effectué par un homme à l'arme en bandoulière, le casse-croute dans une main. Quelques soldats regardaient mollement l'arrivée de l'expert étranger chargé d'évaluer les besoins les plus urgents de l'armée du Lougou-Jougu, et de proposer la coopération militaire de Vands - et de l'entreprise à laquelle il était affiliée.
Le chauffeur descendit en premier, et alla faire son rapport au colonel - rien à signaler jusqu'à à Piro Sagi-Sagi, où il avait pris en charge leur invité à l'aérodrome, rien à signaler au retour. Il avait aussi accompli sa mission secrète.

Mashoduud émit un grognement de satisfaction, et fit signe aux deux hommes montés sur l'arrière du véhicule: avec un grand sourire, ils descendirent et s'emparèrent des caisses d'alcool du coffre. Pendant que cela se faisait, le colonel se tourna vers l'étranger, et lui tendit la main:

-Bienvenue au camp de Bargo Tissa, massieur A'Cannell, déclara-t-il avec un lourd accent.

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Amiral Nikolaï Syllas d'Acre
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Union des Territoires Eloignés, Alttoria, Vands, Nomades, département Admintech (entre autres)

Chacals au pays des léopards - Crassus Prime [O'Connell] Bandou12

Chacals au pays des léopards - Crassus Prime [O'Connell] Bandou12

[HRP]O'Connell?[HRP]

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Chacals au pays des léopards - Crassus Prime [O'Connell] Bandou12

[HRP] Désolé, j'ai pas eut beaucoup de temps pour le rp ces derniers temps. j’essaie de répondre ce Week End[HRP]

[HRP]Okay bien.[HRP]

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Christophe de Capétie c'était levé tôt ce matin là, il avait rendez vous avait rendez-vous avec le colonel Gilberto Mashoduud. Ce rendez vous devait ce passer sur Crassus Prime, au camps d'entrainement militaire du Lougou-Jougu de Bargo Tissara. Il devait ce rendre là bas pour essayer d'aider le Lougou Jougu au niveau armement. Bien sur, Christphe ce douté que leur moyens seraient limités, et qu'ils ne pourrait sans doutes pas ce payer l'équivalent de ce que lui achète Vands mais il espérait pouvoir obtenir certaines choses. Peut être pourrait il faire tester des prototype de blindés ici. De plus, Christophe espérait bien faire en sorte que les Jouguien soient en bonne relation avec Vands, même si cette planète, et ce pays n'était pas une grande puissance, elle pourrait être utils, étant la poubelle du monde, des optique de recyclage de matériaux pourrait être imaginé. Et si le Lougou Jougu disposait d'un soutient industriel pour leur armement, peut être pourrait ils pacifier leur terre. Christophe pensé d'ailleurs que Vands pourrait pêut être les aider à former des soldats, des milices, et ainsi, permettre au lougou Jougu de ce stabiliser, et de permettre son développement. Ainsi, même si cela prenait plusieurs années, Vands disposerait d'un nouvel allié d'une puissance acceptable.

Enfin, le grand patron de la O'Connell Industrie espérait pouvoir réaliser de grande choses, cette journée testerait sa capacité sur un territoire autre que Vands. Pour le moment, c'était Vands le plus gros acheteur pour ses blindés, et après tout, la O'Connell Industrie était à la base crée pour cela. Mais il fallait désormais ce développer, et obtenir un plus grand rayonnement. Christophe était arrivé vers la fin de l'après midi sur Crassus Prime, et il arrivât au crépuscule au camps d'entrainement. Le colonel vînt l’accueillir, en voyant l'état du camps d'entrainement, Christophe ce demandait si il était vraiment à un camps d'entrainement militaire ou pas dans un bidon ville avec des Hommes déguisé en soldats. La discipline ne semblait pas être le mot d'ordre, les soldats étaient pour la plupart en train de boire des bières. O'Connell ce dit qu'il faudrait absolument que Vands propose sont aide à cette nation. Enfin, pour le moment, ce n'était pas une mission pour Vands qu'effectué O'Connell mais une mission pour son industrie, il dit en serrant la mains de son hôte :

Bonjours colonel Mashoduud.

Christophe resta quelques secondes silencieux. Puis, Christophe demanda :

Bien, pouvons nous aller à un endroit à l'ombre pour parler affaire ?

[Syllas ? ^^]

Le colonel souria, exhibant une dentition presque complète et très blanche, et invita d'un geste le nouveau venu vers le baraquement:

-Venez par ici, nous serans tranquilles dans le bâtiment.

Ils pénétrèrent dans le préfabriqué sale. Deux soldats se relèvèrent de leur banc et montrèrent tant bien que mal les armes à l'entrée, puis sortirent dans la lueur crépusculaire. L'intérieur cependant était sombre car il avait ses fenêtres calfeutrées afin d'empêcher la lourde chaleur d'entrer pendant la journée, aussi Mashoduud effleura un interrupteur, allumant la lumière. La table était propre, et une carte de la région autour de Bargo TIssaro y était soigneusement épinglée. Cinq chaises, dont une vermoulue, l'entouraient. Du reste, il y avait une longue tablette sur laquelle se trouvaient deux machines à café crasseuses. Quelques tasses vides trainaient, à côté d'un ordinateur éteint.

-Bishaa, va chercher les autres, ordonna le colonel à son aide de camp, qui s'éloigna vivement, tandis que le maître des lieux présenta la table à son invité: asseyez-vous, massieur Capétie.

Tous deux s'installèrent, le vandsien choississant soigneusement une chaise qui soit solide.

-Déjà, je vous sauhaite la bienvenue dans natre beau pays, massieur Capétie, commença le militaire, refusant décidemment d'articuler la plupart des "o" correctement, nous sammes un peuple qui travaille très dur pour assurer san avenir, mais nos voisins sant jaloux de nous, et vaudraient nous empêcher de cantinuer. Les nord-estiens nous veulent du mal depuis des siècles, mansieur, et nous n'avons pas toujours les mayens de nous défendre. C'est paur cela que mon gavernement m'a chargé d'étudier le matériel que vous parriez nous vendre.

Il se releva, et prit un tas de feuille qu'il ramena à la table.

-Nous avans remarqué votre jeep blindée, et désirions savoir si vous pourriez nous en vendre une cinquantaine, et former nos hommes dessus. Compte tenu de l'ampleur de la commande, nous vous serions reconnaissant si vous pouvie effectuer un certain rabais, en vue notamment de futurs investissements de notre part...

Etrangement, son accent était devenu nettement moins fort, et il avait prononcé tout les "o".

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Christophe O'Connell regardait le colonel qui souriait. Il invita le directeur de la O'Connell Industrie à rentrer dans un baraquement, un préfabriqué assez sale. Le Colonel lui dit qu'ils seraient tranquille dans ce baraquement. Deux soldats se relevèrent alors qu'ils étaient quelques seconde avant avachit sur un banc. Ils montrèrent leurs armes tant bien que mal. Puis, ils sortirent, il faisait sombre dans ce préfabriqué, les fenêtre étaient calfeutrée, évitant ainsi que la chaleur ne rentre plus que cela dans la pièce. Le COlonel alluma la lumière, une table ce trouvait dans la salle, elle était propre et en relativement bon état par rapport au reste du mobilier. Cinq chaise entourait la table, dont une complètement vermoulue. Une carte était ouverte sur la table, elle semblait représenter les alentour de la région. Dans le reste de la pièce ce trouvait une tablette, deux cafetière d'une propreté douteuse, quelques tasse vide mise ça et là à coté d'un ordinateur, Archaïque sans doute, éteint.

Le Colonel envoya son aide de camps chercher "les autres", puis proposa à O'Connell de s'installer sur une chaise. L'Homme d'affaire choisit d'en prendre une bien solide. Puis, le colonel lui souhaita la bienvenue, avec quelques difficultés à prononcer les "O". Il lui expliqua que son peuple était un peuple de travailleur qui travaille dur pour assurer son avenir. Il lui expliqua que les voisins des Jouguiens étaient jaloux et qu'ils voulaient les empêcher de continuer. Que les Nord Estiens leurs voulaient du mal et qu'il n'avaient pas les moyens de ce défendre et que c'était pour cela que le gouvernement lui avait demandé de le contacter pour le matériel qu'ils pourraient leur vendre.

Le Colonel lui dit qu'il avait remarqué sa Jeep Blindée, et qu'ils désiraient lui en commander une cinquantaine, et lui demandait si il pouvait former les Jougyens dessus. Il lui demanda également si il pouvait effectuer un certain rabais sur le prix aux vue de l'importance de la commande, ce qui pourrait avantager de futurs investissement de la part des Jougyens pour la O'Connell Industrie. Christophe resta silencieux. Cette fois ci, le Colonel avait parfaitement prononcé tout les 'O'. Christophe regardait le colonel, il demanda :

VOus souhaitez le blindage lourd ou un blindage plutôt moyen ?

Christophe repris quelques instant de silence avant de demander :

Je suis tout ouïe à vos proposition de prix pour mes Jeeps.

Le colonel sortit d'un tiroir un sac de graines germées, et en pris quelques-unes, et les avala goulument, avant de pousser le contenant vers son invité.

-Prenez-en, massieur O'Connell, elles sont très bonnes.

Après quelques instants, le vandsien posa ses questions.
Le colonel se gratta le menton où se trouvaient quelques poils longs? gris clair et rêches.
Son ordonnance revint alors, accompagnée de trois autres gradés, deux capitaines et un lieutenant. Les deux premiers étaient des vraies armoires à glace, avec des bras aussi larges que des cuisses, et, pour l'un, une paire de lunette ridiculement petite et poussiéreuse sur le nez. Le dernier était une femme, à la mâchoire carrée, et dont la peau couleur d'ébène luisait presque. De gros bracelets d'acier cliquetaient à ses poignets.Il dit alors:

-Voici Sojul Benstebo, Jolin Betus et Zara Lotsarano. Mon gouvernement est intéressé par des jeeps à blindage mayen, et serait prêt à payer un juste prix. Natre président a vu vatre catalogue, et a été prêt à payer 30.000 crédits par jeep.

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Christophe regardait le colonel, celui ci sortit un sac de graine Germées, il s'en servit quelques unes et les avala avant de proposer le paquet à Christophe. Celui-ci en prit quelques unes, bien qu'il n'ait pas vraiment envie de les mangers. Dieu merci, d'autre Jouguiens rentrèrent dans la salle, ce qui permit à Christophe de mettre les graines dans sa poche de manière discrète. Puis, il ce leva, pour saluer les trois arrivant, le patron de la O'Connell Industrie remarqua que deux des arrivant était l'équivalent de deux armoires à glass, sans doute avec le QI adapté. Le Gouvernement Jouguien cherchait il à l'impressionner et à lui forcer la main ? Qu'importe, il savait que les Jouguiens ne prendraient pas le risque d'offusquer le vice ministre de la défense de Vands, ils s'attireraient l'antipathie de la république, ce qui leur serait funeste. Enfin, le colonel lui donna les nom des différentes personnes rentrant dans la pièce, Sojul Benstebo, Jolin Betus et Zara Lotsarano. Le Colonel lui dit qu'ils étaient intéressé par les Jeep au Blindage Moyen. Il proposait 30.000 Crédits par Jeep, Christophe auraient bien voulut accepter, mais cela n'était pas possible, le prix de production était de 35.000 Crédits, ils ne pouvait pas vendre ses produit à pertes. Il dit donc :

Je ne peux vous le céder à ce prix, cela ne comblerais même pas le coup de production de la Jeep.

Christophe souri au colonel et repris :

Je vous propose de vendre 37.000 Crédits la Jeep, un prix bien inférieur à celui que je pratique habituellement. Mais j'espère en réalisant un tel geste que vous puissiez pacifier cette partie de la planète, et ainsi, peut être développer une économie stable. De plus, j'aimerais vous demander si il vus serez possible de laisser mon entreprise tester son armement sur votre Terre, pour ce qui est des manœuvrables simple, et pourquoi pas contre vos ennemis pour ce qui est des test pour l'armement ? Ceci pourrait vous permettre d'impressionner vos ennemis qui y verrait une preuve de votre puissance de feux, un avantage certains pour négocier ....

[HRP]Faut savoir, c'est O'Connell ou Christophe?^^[HRP]

Le colonel écouta attentivement, puis échangea quelques paroles dans une langue étrange avec ses adjoints. Ceux-ci parurent réfléchir longuement, faisant des remarques courtes. A la fin la femme tendit la main par dessus la table, vers Mashoduud, et dit:

-Schalkoud benj ish, Dovhuk!

Il hocha la tête, répondit par un monosyllabe indistinct, avant de revenir au galactique en se tournant vers son invité:

-Massieur O'Connell, dans ce cas là, nous paurrians en commander quarante-cinq à 36.500 crédits. Et nous serians très honarés que vous fassiez les essais sur place... Sinan, le lieutenant Felicias Dovhuk a quelque chase a vous demander.

La femme prit alors la parole, jouant machinalement avec l'une de ses longues tresses noires:

-Est-ce que vous pourriez nous arranger un export d'armes de poing vandsiennes vers notre pays?

Contrairement à son supérieur, elle parlait sans aucun accent.

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[HRP : C'est le même personne xD : HRP]

Christophe resta silencieux. Les Jouguiens ce parlaient entre eux dans un dialecte que le Vandsiens ne comprenait pas ce qu'ils disaient, sans doutes parlaient ils d'une nouvelle quantité à commandées. Enfin, le Vandsiens attendit le verdict, le Colonel annonça à Christophe qu'il proposé d'acheter Quarante-cinq Jeep Blindé pour 36.500 Crédits et lui dit qu'ils seraient honoré que les essaies ce fassent sur leur Terre. C'était une occasion inespéré pour eux d'avoir une force de frappe plus importante. Enfin, Christophe répondit :

Très bien, j'accepte de vous vendre quarante-cinq Jeep Blindée à 36.500 Crédits pièces.

Puis, il lui dit que la femme, Felicias Dovhuk, avait quelque chose à lui demander. Christophe écouta la collègue du colonel parler, elle parlait parfaitement la langue, sans accent. Elle Lui demanda si il pouvait leur arranger un export d'arme de Poing de Vands vers le Lougou Jougu, leur pays. Christophe resta silencieux quelques instant. Si les Jouguiens prenait le contrôles de leurs rivaux, peut être que la planète ce stabiliserais enfin, et Vands pourrait étendre son influence, et récupérer les matériaux usé qui était sur la planète pour les recycler, et ainsi, profiter de matière premier recyclé de faible cou d'achat. Personne n'avais jamais imaginé que parier sur Crassus Prime était raisonnable. Mais après tout, pourquoi pas ? Dans le pire des cas, les Jouguiens réussiraient peut être à stabiliser leurs Terres et serait un allié pour Vands, un allié relativement faible, mais qui pourrait s'avéré utile (comme vivié de chair à canon). Enfin, O'Connell répondit :

Je ne peux rien vous promettre sur ce point là. Il faudrait que j'en parle à mon gouvernement....

La femme à la tête de brute et à la voix d'intellectuelle fit une petite moue, avant de se planter le point contre le menton et de prendre une pose songeuse. Le colonel Mashoduud lui ne perdit pas de temps, et ordonna quelque chose en vitesse à l'un de ses hommes:

-Marraba! Piyeal tinsago!

Marraba se leva d'un bond, et sortit en petite foulée de la salle. Pendant ce temps là, le colonel entretint un peu la conversation:

-C'est très bien, masseiur, je sens que nous allans bien nous entendre. Ce sair vous mangerez avec mai une de nas spécialités jougiennes, le ragout de zèbre aux légumes. Je suis sûr que vous allez le trouver délicieux... et demain, nous ferans un petit tour le lang de la frantière, afin que vous vayiez la situation...

Après quelques minutes, le bras droit de Mashoduud revint avec une grande valise, apparemment très lourde - très très lourde, quand on imaginait la musculature du bonhomme sous son vieux treillis -, qu'il posa lourdement sur la table, écrasant le sac de graines germées. La table elle-même vibra et craqua un peu, mais tint bon.
Marraba passa alors son doigt sur un vieux lecteur biométrique, qui émit un léger "bip", tandis que le triple verrou se rétractait. On ouvrit la valise, précautionneusement.
La face intérieure était tapissée de petits lingots d'une couleur gris brillant. Chaque lingot était retenu par une petite bande de tissu élastique, et, par les petits espaces entre eux, on distinguait une autre couche en dessous.

-Pour être sûr que vous aurez vatre paiement, fit alors le colonel, le président m'a demandé de vous payer avec du rhodium, vu que natre mannaie n'est pas très banne... ceci est un premier versement, une fois que nous aurons les véhicules, vous aurez trois autre valises...

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O'Connel attendit calmement que les différentes personnes autour de la table parlent ou fasse un signe. Le Colonel donna un ordre dans sa langue incompréhensible pour le chef d'entreprise. Un des Hommes ce leva d'un bond et sortit de la salle à petite foulée. Le colonel ce tourna vers le chef d'entreprise et lui dit qu'il sentait qu'ils allaient bien s'entendre. Il lui donna le programme de la soirée, ils mangeraient ensemble, une spécialité d'ici, le ragoût de Zébres aux légumes. Le colonel était sur que le Vandisen allait trouver cela délicieux, inversement, le Vandsiens était sur qu'il n'allait pas aimer cela, enfin, il ne devait pas ce plaindre, il avait désormais un centre de teste pour ces blindés. Un centre de test sur une véritable Guerre, ceci mettrait le matériel véritablement à l'épreuve et mettrait à jours les vices à éradiquer plus rapidement.

Pour finir, le colonel lui dit qu'ils feraient le tour des frontières le lendemain, afin qu'il voit par lui même la situation. Plusieurs minutes ce passèrent ainsi, avant que le bras droit du colonel ne revienne avec une grande valise qui semblait très lourde, il la posa sur la table, celle ci laissa échapper un craquement, mais elle sembla tenir le coup. Le colonel déposa son doigt sur un lecteur biométrique et les verrous retenant la valise close s'ouvrirent. On ouvrit la valise, laissant apparaître des lingots gris brillant, tous retenus par une bande de tissu élastique, on entrevoyait une deuxième couche de lingot en dessous de la première. Le colonel lui dit que pour être sur de son paiement, le président lui avait demandé de le payer avec du Rhodium, leur monnaie n'étant pas très bonne, le Rhodium était une valeur sur pour lui. Le colonel lui dit que ceci était un premier versement, que les trois autres valises arriveraient à la livraisons des Véhicules. Christophe répondit :

Très bien.

Avec un sourire il reprit :

Je pense aussi que nous nous entendrons très bien. Je ferais tout pour soutenir votre demande auprès de mon gouvernement.

Un moment de pause, puis, il repris :

J'aimerais savoir quels est la situation à vos frontière. Quel est l'Etat de vos armées, la position de vos ennemis. J'aurais surement également besoins de nombres pour les armes Vandsiennes.

Quelques uns des hommes présents échangèrent quelques paroles rapides pendant que l'escogriffe refermerait la caisse et la ramenait. Le colonel les ignora et répondit:

-L'armée du Lougou-Jougou est caurageuse et endurcie, mais nous n'avons pas ban matériel, et nas saldats ne sont pas payés assez bien. Ils désertent suvent, pour rentrer au village, naurrir leur famille. Si ils avaient du ban matériel, ils seraient bien plus mativés. En plus, nous avans étés en guerre contre les chiens du Nord-est crassien, qui réclament natre territaire. Vayez-vous, il y a beaucaup d'enclaves entre nas pays...

Il ressortit une carte afin d'illustrer son propos.

[center] Chacals au pays des léopards - Crassus Prime [O'Connell] Crassu10

Chacals au pays des léopards - Crassus Prime [O'Connell] Crassu10

-Et en plus, la guerre civile dans le nard de l'Otuberuland nous menace; plusieurs de leur seigneurs de guerre sant déjà entrés sur natre territaire. Avec juste 40.000 saldats, naus avans de grandes difficultés à régler taut ça...

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Christophe O'Connell regarda la carte. La position du Lougou Jougu n'était pas des plus simple. De vastes frontières instable, une armée délabrée, manquant de tout. L'Armée Jouguienne était donc dans un piteux état. Mais ceci reflétant la plupart des Nations de Crassus Prime, la situation n'était pas forcément des plus dramatique. Christophe demanda :

Et vos ennemis, de combien d'Hommes disposent ils ? Je suppose que l'Etats de leurs armées ne doit être guère meilleurs que la votre, surtout les rebelles, ils ne doivent pas disposer de matériel de Guerre en nombre suffisant.

Il resta silencieux quelques instant, puis, il repris :

Et au Sud, ne pourriez vous pas demander aux Pays tels que le Mugabuland Uni de s'allier avec vous, vous écraseriez les Otobureland, et les rebelles. Vous n'auriez ainsi plus qu'à vous occuper du Nord. Et beaucoup moins du reste de vos frontière.

Christophe resta silencieux encore quelques instant avant de reprendre :

Vos Hommes désertes pour nourrir leurs Famille, mais comment font ils pour la nourrir ? Puisque le travail ce fait rare, et je pense que l'armée est sans doute le métiers où les salaires les plus réguliers non ?

[désolé pas terrible du tout U_U, jvais essayer de l'améliorer dans la semaine Mad

]

Il y eut quelques vifs échanges entre les personnes présentes, toujours dans leur immonde dialecte ressemblant vaguement à des bruits d'animaux. A moins que ça ne soit fait exprès pour que les étrangers soient déboussolés...

-Les nard-estiens ant plus de traupes que naus, et praduisent leurs prapres armes, ils sant la meilleure armée de la régian. Seuls leurs traubles internes les ant empêchés de naus attaquer jusqu'ici. Mais natre président a déjà pensé à des alliances. Ca ne sera pas facile, mais naus pauvons y arriver. Paur cela, il naus faudra des armes, afin que naus sayans crédibles.

Natre paye n'est pas très banne, et puis, il faut qu'ils naurissent et pratègent leurs familles. Vie très dure ici!

Vatre sautien serait danc nécessaire. Naus aurans beaucaup de gratitude...

C'était clairement une offre large et flou, mais pleine de potentialités. Malgré son accent stupide (simulé?), l'homme n'était pas un imbécile, loin de là... qui sait? Peut-être le nouveau président démocratique du peuple uni...

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Christophe resta silencieux pendant que les personnes présente parlaient dans leur dialecte incompréhensible. Christophe envisagea de revenir avec un interprète ou alors d'apprendre la langue, ou du moins quelques base de celle ci. Bref, ils parlèrent, du moins, ils en avaient l'air, puis le colonel lui répondit que les Nord Estiens avaient de plus nombreuses troupes qu'eux, qu'ils produisaient leurs armes eux même, qu'ils avaient la meilleurs armée de la région, et que seul des troubles internes empêchait la Guerre pour le moment. Christophe resta silencieux, laissant finir son interlocuteur, il expliqua que le président avait déjà pensé à des alliances, qu'ils pourraient y arriver, même si cela se trouverait être difficile mais qu'il leur faudrait des armes pour être crédible. Il expliqua que leur paye n'était pas bonne, et qu'ils faillaient que les soldats protège et nourrissent leurs familles, la vie était très dure ici. Il dit qu'ils avaient besoins de leur soutient, qu'ils en auraient une grande gratitude. Christophe sentait qu'il fallait aider cette nation, pourquoi ? il n'en savait rien, après tout, il n'y avait que du floue dans l'avenir de celle ci. Mais avec le soutient de la république, peut être pourraient ils faire du Lougou Jugou une grande nation, un allié de poids plus tard, et à long terme, le début d'une grande alliance peut être ? Tout était possible, après tout, toutes les nations avaient commençait dans la pauvreté et c'été transformé pour devenir des mastodontes. Tel Rome sur la Terre, tels Jadis, tel Vands ....

Je vous assure que je ferais tout se que je peux pour appuyer votre position auprès de mon gouvernement.

Christophe sourit et resta silencieux quelques instant avant de rajouter :

Quand au nord Crassiens, peut être faudrait ils que les problèmes interne dure, si vous voyez ce que je veux dire ....

Christophe pensait au fait que les Jouguien pourraient galvaniser les opposant aux régime Nord Crassiens, pour que le gouvernement ennemis se focalise plus sur les rebelles que sur ses voisins ... Christophe repris :
Je pense que nous nous entendrons bien. J'Espère que ceci sera le début d'une grande amitié entre nos peuple !

[HRP]Bien, je pense que ce topic peut être classifié. Si des idées pour la suite pour ton PJ: MP.

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