Amjad Enrico Beltrami-Ashrad

Sujet: Amjad Enrico Beltrami-Ashrad Dim 13 Nov 2011 - 21:39

Fiche de Personnage :

Identité :

Type de Personnage :

Autre compte :
Nom : Beltrami-Ashrad
Prénom : Amjad Enrico
Âge : 24 ans
Faction : ~~Amjad Beltrami~~ neutres et nomades
Race : humano-tieffelin (3/4 humain)
Nationalité : ~~Amjad Beltrami~~ unio-bavannoise
Langues Parlées : Galactique standard, latin, portugais bavannois, christianien. Baragouine le carcar’us avec un mauvais accent ainsi que l’arabe tarimien.

Informations du RP :

Description psychologique : J’dois avouer que je sais pas quoi dire. Ce qui est certain c’est que le grand père et ses foutus précepteurs m’ont fait passer le goût de l’autorité gratuite à la con et des ordres imbéciles. J’en ai repris quand j’ai du faire le cuistot sur un astronef à deux balles mais j’aimerais éviter ça à l’avenir. Pour le reste, j’ai fini par apprendre que la liberté coûtait cher et que si on ne voulait pas payer de sa personne il fallait pas mal de blé et que pour en obtenir; il fallait...payer de soi. J’ai franchi le Rubicon à dix-sept ans et on a creusé le lit de la rivière donc plus de gué pour retourner. Faudra faire avec.
Description Physique : Ouais ‘fin, que dire ? Tu me vois pas assez bien comme ça grand ? Disons que le mesure un mètre septante pour un petit soixante-sept kilos. Un poids plume il parait, mais quoi qu’il en soit un bon coup de lame se donne toujours du bas vers le haut, faut pas charrier non plus. Parait que j’ai une belle gueule aussi. ‘fin disons que j’ai pas toujours besoin de payer quoi et je suis parvenu à la préserver de l’espèce de malade de Ciméria là, avec ses bottes cirées malgré la gadoue, sa moustache cirée comme les godasses et les bizutages. Généralement j’ai les cheveux coupés courts avec quelques mèches tombant sur le front, quand je ne me coiffe pas. Dans ce cas ils sont rabattus vers l’arrière, ou pas, histoire de pas avoir un faux air de front épais. J’ai de grands yeux chocolat mouchetés d’or - ça viendrait de mes origines tieffelines - tempérées par des sourcils légèrement broussailleux et un nez correct, ni une patate, ni un canon de fusil.

Ah oui aussi j’ai deux tatouages. Une petite salamandre noire et orange sur l’omoplate gauche et un tatouage d’invincibilité isolien. Il n’a d’isolien que le nom et ne protège de rien, en tout cas j’ai jamais pu vérifier et j’ai pas envie de le faire. Un type m’avait dit que ça me rendrait plus fort. J’avais quatorze ans, j’étais un jeune con et j’y ai cru, voilà.
Histoire : Je sais pas si j’ai une histoire intéressante, faut dire que ça ne fait que commencer aussi et donc que bref on verra. En tout cas j’ai quelques ancêtres pas piqués des vers, dans tous les sens du terme et j’ai déjà pas mal remué. Je descend d’un officier de marine marchande christianien, Enzo Beltrami. Enzo Beltrami était un drôle de type issu d’un univers particulier, celui des riches rentiers de l’Union. Des types bizarres, austères, secs comme du vieux papier qui vivent dans de grandes bâtisses vous avez pas idée, ‘fin je vous en parlerai plus tard de ça parce que ça vaut un pont d’or cette histoire. Bref Enzo Beltrami était un officier de marine marchande, destiné à commander ces grandes barcasses de dix kilomètres de long voir plus et en tant que cadet, sa famille avait accepté son caprice. En d’autres termes elle s’était dit que ce n’était pas une grosse perte qu’il travaille. À ce que j’ai compris dans ce foutu milieu de non dits, Enzo était le petit frères de deux autres et avait également une grande soeur. Mais je reviendrai dessus un peu plus tard.

Enzo était destiné à travailler mais pas trop quand même et dans la famille tout le monde espérait le voir commander quelques années un cargo gigantesque pour une firme jadéenne ou un conglomérat algan et ça serait suffisant pour qu’il épouse une héritière d’une autre famille de gens qui ne travaillent pas non plus aient des enfants qui ne travailleraient pas et surtout, avant tout, par dessus tout, ne travaillent pas ensemble, car mine de rien ce genre de truc c’est mieux à deux. Mais c’est que bonhomme ne l’entendait pas de cette oreille et à peine un diplôme obtenu il s’est débrouillé pour se faire engager par un capitaine à moitié recommandable de la hanse en tant que second à bord d’un astronef un peu pourri. Les années passèrent et papa arpenta les étoiles de contrat en contrat jusqu’à devenir proprio de son propre vaisseau, dans des circonstances pas claires -et des trucs pas clair il semble qu’il ait pas mal trempé dedans par moments- et qu’il finisse par rencontrer une fille, pas n’importe laquelle s’il vous plaît. Farah Ashrad qu’elle s’appelait, la plus belle putain de Mendoza, descendant d’une bavannoise et d’un tieffelin ex officier républican qui avait été un peu trop attiré par les diamants, comme un type un peu bête qui s’était dit qu’il allait monter sur orbite avec des plumes de pigeon et de la colle artisanale, faut dire que le gros dindon de la farce ce fut lui. Parait que j’ai les yeux du grand père maternel. Bref non seulement papa Enzo s’était mit à travailler mais en plus il faisait de la marmaille aux filles de mauvaise vie au lieu d’épouser une oisive de la haute. Bref voilà comment j’entrai dans l’existence et je passai - mais ça j’ai du le découvrir tout seul en fouillant dans les papiers du vieux - mais sept premières années dans un bordel de luxe de La Sierra à servir d’à peu près tout sauf de garçon à louer (encore heureux) jusqu’à ce qu’un type vêtu pour le voyage s’amène au bordel et après une longue discussion avec maman ne m’emmène pour... Christiansa, un monde dont pas mal de gens parlaient mais qui ne m’intéressait pas outre mesure et certainement pas à sept ans et trois semaines. Là bas personne ne m’a rien expliqué et j’ai du comprendre tout seul que je venais d’atterrir chez mon grand père paternel.

Et quel atterrissage ! Au début j’ai cru que l’école n’était pas assez bien pour moi mais c’est lorsque j’y entrai enfin que je compris que c’était le contraire. C’est qu’il fallait bien trois précepteurs pour m’apprendre à parler chose et machin et à traiter de pauvre type quelqu’un qui en était. Mais je vis guère la différence à part qu’apparemment, cette planète ne contenait que des gens austères et persuadés que les autres étaient à leur disposition. Le problème fut que je n’étais pas à leur disposition et le vernis finit assez vite par craquer. Quelques uns apprirent à se battre au bout d’un an et moi j'appris la notion de coup de garcette, pendant un temps. J’appris aussi à encaisser beaucoup par la même occasion. Tout ça pour finir par réussir des études potables et me retrouver avec un programme préétabli par monsieur le grand père. Le vieux Beltrami était un type datant d’Hérode, mais comme était comme le vieux chêne, il refusait de mourir et les cousins avaient libre droit d’essayer de jouer les bourreaux avec moi. Mal leur en prit. Pour ma part j’apprenais à louvoyer, prendre l’humiliation puis faire glisser le coupable sur un morceau de savon plus tard. En fait j’appris à tirer dans le dos, truc qui m’a plutôt réussi quelques années plus tard. Tellement réussis que je peux raconter ceci maintenant plutôt qu’à Cerbère.

La majorité finit par arriver et l’on m’envoya manu militari faire mon service militaire dans la marine. On m’avait prévu un poste à l’arrière où je ne risquerai jamais que de me faire mal en pressant sur le bouton de la machine à café, se brûler étant impossible vu la tiédeur du pseudo nectar. Bien décidé à faire ce que je voulais je commis l’erreur de demander une formule de contrat court dans l’infanterie de Marine en guise de service militaire. J’avais dix-sept ans et je venais de me précipiter à toutes jambes dans les pattes d’une bande de sauvages stationnés sur l’île de Ciméria. J’ai failli y rester mais l’on m’y considéra comme autre chose qu’un bagage récupéré et je pus demander une bourse un peu plus élevée que celle de sortie de l’école obligatoire. Je finis à l’école de marine marchande de Christiansa, l’une des plus réputées, en dépit des demandes pressantes du sergent pour que j’aille me faire martyriser encore plus sur les parcours spéciaux destinés aux soldats de la reconnaissance et du sabotage. Très peu pour moi merci beaucoup. En attendant l’on m’avait déjà déshérité. Tant mieux, cela me forcerait à faire quelque chose. Et puis j’étais parti avec ce qui était revenu de Papa quelques années avant moi. Un pistolet bizarre tenant du SIP, un inphone déclassé et... Rien, l’uniforme étant trop grand.

La formation est dure mais quelques rudiments de l’infanterie m’aidèrent à m’en tirer comme il fallait, je me distinguai en tant que navigateur et pilote, par extension. J’étais nul en mécanique et mieux valait ne pas me demander comment dessiner le schéma d’un hyperdrive. Peu intéressé par les grosses barcasses je cherchai à m’embarquer pour des destinations plus exotiques. Les grandes capitales m’intéressaient peu et les manoirs de vieilles boiseries encore moins. Ma formation dans la marine apparemment me facilita la vie, du moins je le cru. L’on me contacta, avec une offre alléchante. Certes l’astronef n’était pas super mais c’était un commandement et je ne demandais que ça. Faisant ni une ni deux -et sans le sou- je me fis embaucher comme navigateur en second pour un astronef en partance pour l’endroit désiré (l’en occurrence Pergame) après m’être arrangé pour que le navigateur en second en question manque à l’appel et arrivai pour constater que mon astronef... N’existait pas. Enfin si, mais à l’état d’épave. Parce que son proprio avait fait faillite et le créancier s'était rendu compte que le vaisseau en question valait plus en pièces détachées qu’entier. Bref je me trouvai sans emploi et sans bouffe, les choses commençaient bien.

Pressé par mon estomac, qui dans certaines situations semble devenir un second cerveau, je me fis engager par un officier pas très regardant et me retrouve à faire une livraison pour Gauma IV, puis de là, à bord d’un autre astronef, cette-fois ci en tant que mécanicien sous chef en second (j’ai appris à faire un schéma d’hyperdrive, ça ou pas de millet que voulez-vous), vers la Confédération du secteur Alpha. À partir de là j'atterris dans quelques trucs moins légaux. Faut dire j’avais besoin d’une nouvelle chemise et à part mon flingue je n’avais rien. Un petit truc pour Kolyvann prime cette fois-ci en tant que pilote/navigateur puis destination en tant que navigateur tout court pour Wallenstein où je me retrouvai embarqué dans un authentique raid avec des bandits pas très doués. J’ai préféré toucher la prime minimale avant qu’ils ne revendent la cargaison. J’ai bien fait d’ailleurs à ce que j’ai compris ils ont été trop exigeants avec le receleur et leur vaisseau est à quelqu’un d’autre maintenant. Peu regardant je finis par enchaîner des boulots minables (je cuisine mieux qu’un cochon il parait) et me retrouver sur le Titan à l’issue d’une course pour le compte de gens salement tordus, quartier ecazan. Enfin ça change tout le temps à bord de ce truc. J’vais aller voir dans un bar ou l’autre, des fois qu’on engagerait du monde, ou traîner dans les docks.
Inventaire :
-Un SIP modifié* et une recharge d’énergie plus le câble pour recharger le tout
-un couteau bas de gamme
-vêtements
-bottines de marche
-un sac
Vaisseau :

*

Spoiler:

Autre :

Disponibilité du joueur : assez importante

Indisponibilité permanentes : variable

Fuseau horaire : Paris

Que souhaitez vous que votre personnage devienne, comment doit-il évoluer ? Je ne sais pas encore. Bourlinguer, gagner de quoi manger, manger, faire la pause maison close quand il faudra s’il le faut et accessoirement faire ce que je veux.

[X] En cochant cette case, j'accepte de voir mon PJ mourir lors d'un combat avec d'autre personnages (facultatif, c'est une question de FairPlay)

Sujet: Re: Amjad Enrico Beltrami-Ashrad Dim 13 Nov 2011 - 22:16

Belle fiche! Je n'ai rien à redire. Tu as ma validation.

As-tu quelques idées sur la façon dont tu voudrais orienter le début de ta partie?

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Amiral Nikolaï Syllas d'Acre
Maître du jeu -
Union des Territoires Eloignés, Alttoria, Vands, Nomades, département Admintech (entre autres)

Amjad Enrico Beltrami-Ashrad Bandou12

Sujet: Re: Amjad Enrico Beltrami-Ashrad Lun 14 Nov 2011 - 7:41

J'adore déjà le personnage. Si il est sur le Titan, je pourrais le prendre en charge si aucun MJ ne se présente.

Toutefois, il serait davantage mieux dans la faction des contrebandier ou bien de ceux des mercenaires.

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Gestionnaire de la République de Jadis, du Royaume de Shluikaas, de la République de Pergale et des États Veryyliens

Sujet: Re: Amjad Enrico Beltrami-Ashrad Lun 14 Nov 2011 - 16:33

Citation :: Belle fiche! Je n'ai rien à redire. Tu as ma validation.

As-tu quelques idées sur la façon dont tu voudrais orienter le début de ta partie?

Chercher un engagement quelque part, si possible auprès d'un PJ ou alors temporairement avec un MJ.

Mercenaire pourrait mieux convenir en effet.

Sujet: Re: Amjad Enrico Beltrami-Ashrad Lun 14 Nov 2011 - 18:12

Si tu veux je peux te prendre dans mon équipage Amjad. On essaie de constituer un équipage de pirate mercenaire.

HJ : Je sais que je suis pas sensé poster là, mais c'était pour proposer.

Sujet: Re: Amjad Enrico Beltrami-Ashrad Lun 14 Nov 2011 - 18:15

Les MPs sont préférables en effet Wink

. Mais on ne t'en tiendra pas rigueur.

Archivage et groupement.

Fiche validée donc .

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Équipe Administrative.

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Charles de Gaulle