HJ : Comme ça tu auras des perspectives pour piloter autre chose qu'une corvette rikiki Beatrix
Face au développement de la superficie de son Empire, Nouvelle Prusse avait très largement accrue ses effectifs militaires, portant sa flotte à pas moins de cinquante corvettes Ho-Chi-Minh, ce qui faisait les bonnes affaires de Saïgonautique dont le cours de l'action explosait. La Récente sortie du vaisseau de ligne de classe Hué, un petit appareil qui transportait environ 250 personnes sur le modèle des avions de lignes, au sein d'un système ou à l'extérieure de ce dernier par de petits bonds hyperspatiaux, mais également les offensives Prussiennes d'éradication de la piraterie dans le système d'Eurasia, et les batailles terrestres et spatiales sur Swahili faisait les joies de toutes les grandes compagnies d'armement nationale, et de toute les compagnies d'industrie lourde en général, qui enregistraient une croissance records de leurs ventes et de leurs productions, et annonçaient toute l'implantation de nouveaux sites de production.
Le bon réinvestissement des profits issus de la guerre en direction du civil par les compagnies Prussiennes leur assuraient d'excellentes bases pour l'avenir alors que le peuple Prussien s'enrichissait d'années en années. La classe moyenne était passée de 8 à 34 Millions de personnes en l'espace de huit ans depuis la fin de la guerre de Nouvelle Francfort ! En terme d'agence de notation, si l'on omettait la piraterie ambiante et le soulèvement de Swahili, de nombreux secteurs industriels de Nouvelle Prusse jouissaient d'un honorable BB+ auprès des agences de notations Arkiliennes, Erikeannes et Seraniennes, ce qui faisait de Nouvelle Prusse l'un des Etats les plus sûrs des zones neutres en terme d'investissement.
Ces excellents résultats économiques mettaient de grosses sommes d'argent dans les poches de la société Vietoprussienne "Saïgonautique". Et ça tombait bien, le Gouvernement avait besoin d'un nouveau vaisseau de guerre, plus puissant que les corvettes Ho-Chi-Minh, mais tout aussi lourd et maniable. Ils créèrent ainsi la Frégate de Croisière de Classe Brandenburg, sensée à terme, assurer un rôle intermédiaire entre les Corvettes Ho-Chi-Minh et le Crisis au sein des flottes Prussiennes. Au niveau des chantiers spatiaux, le prototype était déjà en chantier !
Constructeur : Saïgonautique
Pays de fabrication : Nouvelle Prusse
Longueur : 252 mètres
Hauteur : 47 mètres
Envergure : 116 mètres
Alimentation : 1 Centrale Nucléaire à Micro-fusion (copiée sur celles des Frégates Antarès)
Motorisation : 3 Propulseurs Saïgonautiques 300
Modèle d'hyperdrive : 1 Propulseur Saïgonautique 200
Vitesse/accélération : Rapide
Blindage : Moyen
Bouclier : x3,5
Équipage : 420 Hommes
Armement :- Arc Avant :
- 2 Batteries de turbolasers quadritubes de 175 mm en tourelle
- 1 Lance-Missile Todessturm
Arcs Latéraux Avant (plateformes latérales) : TOTAL
4 Lances Missiles Hexatubes en tourelle : 2 tubes Geldpfeil, 4 tubes Raumfaust
Arcs Latéraux Arrières (Au dessus et en dessous des hangars) : TOTAL
8 Lances Missiles Tritubes en tourelle : 1 Tube Geldpfeil, 2 Tubes Raumfaust
Arc Ventral (sous la partie arrière) :
6 Tubes Lances-Missiles à accélération Magnétique Geldpfeil (Armement Principal)
12 tourelles CAM de 48mm
Arc Dorsal (autour du pont) :
10 Tourelles quadritubes de CAM de 48mm
Scanners longue et moyenne portée
Communications relais très longue portée.
Contres-mesures éléctroniques
Arc arrière (en dessus et au dessous des réacteurs) :
8 Tourelles CAM de 48mm
4 Lanceurs Raumfaust
Capacité d'emport :- Troupes Terrestres Nulle. Consommables pour une mission de 6 mois maximum.
- 8 Chasseurs et 4 Navettes.
Prix : 730 Millions de Crédits (estimé)
Description : Conçue pour répondre aux besoins d'un Empire en expansion et dont les territoires habités sont de plus en plus vastes, la Frégate Brandenburg est moins une frégate de ligne plutôt qu'une unité de guerre de course, de patrouille et de surveillance. Rapide, armée pour tirer sa supériorité de sa très longue portée, et de son arsenal de missiles, elle est néanmoins conçue comme un torpilleur. Sa mission est de s'en prendre à d'autres navires de taille relativement massive tels que des frégates, des croiseurs ou des escorteurs, et de les détruire à l'aide de ses lanceurs Geldpfeil à accélération magnétique. Elle est, en dehors de cela, armée d'un armement d'un classicisme outrageux mais toujours mortel, afin de réduire son prix.
HJ : Naturellement, à ne commander qu'après cinq ou six grands succès militaires