Hegemony
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 Rapports, noms de codes, niveaux d'Alerte et de Sécurité[07/06/10]

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Syllas
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Syllas


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MessageSujet: Rapports, noms de codes, niveaux d'Alerte et de Sécurité[07/06/10]   Rapports, noms de codes, niveaux d'Alerte et de Sécurité[07/06/10] Icon_minipostedDim 2 Mar 2008 - 17:19

Plan du post:

1 Rapports
2 Noms de code, plans, Niveaux d'alerte et de Sécurité


1 Rapports


Rapports, noms de codes, niveaux d'Alerte et de Sécurité[07/06/10] Omega_warning
Niveau de sécurité Maximal

Ici seront postés des rapports rendant compte de la situation de l'Union à ce moment.



2 Noms de Code, plans, Niveaux d'alerte


Le système de noms de code de l'Union prévoit une liste. Néanmoins le Haut Commandement peut changer un nom ou proposer une nouvelle liste.
Liste des nom d'opérations possibles pour la présente année:

Révolution Astrale
Primat Sidéral
Nouveau Pont
Compteur Sombre
Cas Bleu
Cas Rouge
Cas jaune
Cas Blanc
Eruption
Verrin
Valyrie
Condor
Dard
Us sanglant
Sapin
Souffle Céleste
Neige précoce
Roc noir
Terreur atmosphérique
Vent d'Argolide
Pyrrhus
Norilsk
Arme Etolienne
Craquage

Puissance d'Acier
Exercice bleu
Exercice Rouge
Exercice noir
Airain





Plan par ministères:

Ministère de la Guerre:

*Plan OPENOV: Contre invasion terrestre à grande échelle
*Plan STAPAS: Contre invasion terrestre à échelle réduite
*Plan TERGAS: Contre attaque de missiles/armes de destructions massives
*Plans III, IV, V: Ebauches, simulations offensives.

Ministère de la Marine:

*Plan Ereny: Plan Offensif spatial majeur
*Plan Damm: Plan offensif spatial mineur
*Plan XXII: Plan de bombardement à outrance
*Plan XXV: Plan de bombardement stratégique
*Plan Aurore: Plan de destruction planètaire massive
*Plan S II: Stratégie défensive à l'étude

Ministère à l'étranger:


*Plan X
*Plan XI
*Plan XII


Niveaux d'alerte

Niveau 0: Code Blanc. Maintient des forces armées en stationnaire ou en patrouille. Permissions possibles.
Niveau 1: Code Jaune. Préparation des forces armées, surveillance et patrouillage accrus. Permissions limitées aux environs des bases.
Niveau 2: Code Orange. Mise en formation des forces armées, réunions quotidiennes de l'état-major. Permissions impossibles, rappels des hommes. Mise en état de vigilence de la Milice.
Niveau 3: Code Rouge. Mobilisation générale, positions défensives et offensives des armes, mise à disposition du complexe industrialo-militaire. Réunions de l'état-major et du Commissariat du Pacte. La milice distribue les armes et prépare à une éventuelle attaque au sol. Préparation éventuelle du terrain.

Niveau Alternatif: Code Noir. Préparation militaire dans le cadre du pacte en vue d'un assistance militaire.


Niveaux de sécurité

Niveau de Sécurité 1: R (Accès restreint)
Niveau de Sécurité 2: C (Confidentiel)
Niveau de Sécurité 3: S (Secret)
Niveau de Sécurité 4: TS (Très Secret)
Niveau de Sécurité 5: SG (Ultra-secret)


Dernière édition par Syllas le Lun 7 Juin 2010 - 20:04, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Rapports, noms de codes, niveaux d'Alerte et de Sécurité[07/06/10]   Rapports, noms de codes, niveaux d'Alerte et de Sécurité[07/06/10] Icon_minipostedSam 9 Aoû 2008 - 16:07

L’engagement.
Il est la base même de l’action militaire, et détermine dans la grande majorité des cas ses conséquences. Il consiste en un mouvement de façon de se mettre au contact direct de l’ennemi, et de le vaincre. Bien entendu, on peut nuancer. Ainsi, lors d’un maintient en position défensive, on ne peut parler proprement d’engagement, même si des sorties et des la préparation de frappes par des moyens indirects existe. De même, l’objectif de l’engagement peut ne pas être d’obtenir la victoire mais uniquement de retenir l’ennemi, de le leurrer, de l’amener dans la position voulue à partir de la laquelle on parviendra à le vaincre.
Dans la branche terrestre, il se déroule généralement entre les composantes militaires d’infanterie de cavalerie. Pour la première, on peut aussi bien mener le combat uniquement à l’arme à distance, ou alors charger à la baïonnette, qui généralement donnent, dans les deux cas, lieu à des combats sanglants et indécis. Pour la seconde arme, les unités mobiles permettront des mouvements bine plus rapides et décisifs, et de percer une brèche dans les lignes ennemies, mais présentent un inconvénient dans la nature même de leur point fort: cette avancée risque d’isoler les unités en territoire ennemi. Mener correctement une campagne nécessite de combiner les deux armes en parfaite harmonie, et avec les autres possibilités aérospatiales offertes, pour obtenir la victoire stratégique. La victoire tactique introduit un autre facteur, qui est la géographie immédiate de l’endroit ou a lieu l’engagement de l’ennemi. L’engagement terrestre prend fin avec le terme des combats sur le champ de bataille.
Amiral Nikolaï Syllas d’Acre, extrait de la seconde partie de « La guerre moderne », « L’engagement 1/2 » .
Dans le cadre de la marine spatiale, et une moindre mesure de son tenant aérien, l’engagement se traduit par l’agression directe sur les unités adverses. Ici aussi, il peut être aussi bien défensif qu’offensive. Une flotte en stationnement sur une trajectoire orbitale adoptera une formation de combat défensive de couverture, protégeant ses unités les plus vulnérables, et devra le faire d’autant plus vite que souvent l’agresseur a l’effet de surprise avec lui, et une supériorité numérique sûre, afin de ne pas s’exposer à d’éventuels soutient depuis l’artillerie de surface. Il aura lui une formation qui visera à maximiser sa puissance de feu, et offrant le moins de flan exposés possibles. Il faut au commandement de la défense qu’il puisse couvrir aussi bien les unités de surface que la flotte de couverture en un même temps, et infliger des dommages à l’ennemi en minimisant ainsi les siens. L’agresseur quant à lui tendra, suivant les canons classiques, à dans un premier temps éliminer la défense orbitale, dans le meilleur cas à l’aborder et la capturer, avant d’entreprendre la destruction de celle de la surface, et ensuite l’invasion. L’engagement aérospatial prend fin lorsque l’un des deux belligérants a acquis un contrôle suffisant de l’espace pour assurer ses opérations terrestres correctement dans le cadre d‘un siège comme nous l‘avons étudié ici, quand il a éliminer ou mis en fuite la marine adverse dans le cadre d‘un engagement en espace stellaire ou interstellaire.
Amiral Nikolaï Syllas d’Acre, extrait de la seconde partie de « La guerre moderne », « L’engagement 2/2 » .


L‘action offensive.
Elle est naturellement le premier facteur de la guerre moderne, qui ne rencontre plus d’actions militaires sans actions diplomatiques. Sur le plan aérospatial, est se caractérise aussi bien par la prépara ration finale des forces, la reconnaissance, et le transport jusqu’au lieu des combats que par l’engagement lui-même audit lieu. L’attaque que nous étudions ici est bien évidemment un mouvement largement offensif tourné vers l’ennemi pour lui causer des tords, et non pas une simple réponse aux actions d’icelui. Elle implique de pénétrer dans un territoire théoriquement contrôlé par les forces de celui-ci, et d’engager tout ou partie desdites forces. Une attaque correctement menée devra néanmoins ménager toutes les possibilités de communication, de coordination, et même de retrait de la force, afin de se prémunir des aléas du combat. […]

L’action défensive

C’est la réaction logique à la première. La défense a pour objectif d’empêcher le bon déroulement et l’atteinte des objectifs des actions offensives ennemies. Elle peut se caractériser par sa force basique, soit le siège en règle d’un monde, et de ses forces aérospatiales, soit une actions aérospatiale dont l’objectif et de prémunir le monde contre l’attaque ennemie, en détournant, leurrant ou éliminant celle-ci. Même si généralement les effectifs défensifs sont plus réduits que ceux de leurs adversaires, ils peuvent compter sur la connaissance accrue du lieu de l’engagement et sur une assise solide, comprenant des infrastructures décuplant la puissance disponible, et un ravitaillement aussi régulier qu’assuré. Souvent, adopter une position défensive permet de tenir tête à un ennemi supérieur aussi bien techniquement que numériquement, mais une telle position ne peut faire avancer aussi bien la guerre vers les objectifs fixés pour le camp en défense. […]


Amiral Nikolaï Syllas d’Acre, extrait de la seconde partie de « La guerre moderne » .
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De la structure militaire terrestre moderne, des lignes générales de l’invasion


Il est clair que l’introduction de la dimension spatiale et orbitale dans la bataille généralisée à des continents, parfois des planètes entières, a profondément changé les morphologies de la Stratégie, de la Tactique, et de la politique internationale. Dans cette partie de l’étude, nous nous concentrerons sur l’examen des structures militaires actuelles de la dimension terrestre planétaire, ensuite de la dimension aérospatiale.
La première distinction remarquable par rapport aux structures plus anciennes est, avec l’introduction de boucliers à grande portée, la mise en place de nœuds protégés des offensives spatiales qui jusque là dévastaient tout ce qui passait à portée et qui n’était pas profondément enterré. Ces boucliers énergétiques sont la plupart du temps centrés sur les grandes cités et les centres industriels majeurs, afin de garantir l’effort de guerre. Ainsi, l’agresseur doit au préalable faire atterrir ses unités, et conduire un assaut terrestre, théoriquement, pour désactiver les générateurs, et considérer la cité comme prise, dans l’état d’esprit clausewitzien de la guerre. Néanmoins, de nos jours, de nombreux stratèges sont pénétrés par une théorie d’approche indirecte bien moins couteuse en vies humaine: l’infiltration d’une série de plus petites colonnes d’élites qui, ignorant les postes de défenses périphériques, fonceront vers le centre par les itinéraires les moins surveillés afin d’atteindre les générateurs de champ. Cette technique a prouvée ses capacités, mais également ses limites. En effet, elle nécessite une bonne connaissance du terrain, des forces ennemies, et un timing parfait. Se heurter à une simple série de nids de mitrailleuses peut être fatal à toute l’opération, car donnant le temps aux défenseurs d’envoyer les réserves couvrir le centre, et couper les points de retraite des attaquants, ce qui immédiatement tournerait au massacre, et serait une lourde perte pour les agresseurs, qui se verraient amputés d’une section de grande valeur par une simple force de conscrits. Un bon compromis semble être l’envoi de cette forces pendant que de l’autre côté du front, une attaque classique est lancée, généralisée, qui ferait ainsi déplacer à l’assiéger les réserves vers l’endroit où elles semblent le plus demandées. Mais cela même induit la nécessité d’un atterrissage dans les règles de l’art, qui sera le prochain point abordé.
Celui-ci est généralement mené en rase campagne, afin de faciliter l’organisation, et d’empêcher la tête de pont d’être encerclées de défenses inexpugnables. Néanmoins, sur un long terme, l’installation sur un haut-plateau peut également se révéler prometteuse, avec une défense aisée et des possibilités d’attaques dans de nombreuses directions qui, plaçant l’ennemis dans une situation de dilemme, divisera ses forces et brisera son équilibre. Des offensives menées par des unités mécanisées rapides ou aéroportées permettront de s’en prendre à plusieurs points de la défense adverse à la fois, et en particulier de couper les communications entre les cités. Néanmoins, dans le cadre de al rase compagne, et dans une moindre mesure, du plateau, ce genre d’actions peut exposer la tête de pont à des sorties des zones protégées, une offensive globale contre chacune d’entre elle étant improbable. Il est donc nécessaire de se fixer des objectifs clairs et réalisables; l’invasion planétaire est en effet une entreprise militaire d’une difficulté considérable, et suppose la maîtrise totale ou très large de l’espace.

De la maîtrise de l’espace

La bataille classique

Elle est la préalable à toute action d’envergure à la surface, et la condition continue du succès de celle-ci. La perte de cette maîtrise, ne serait-ce qu’une heure, peut anéantir toutes chances de succès au sol, et ainsi nécessiter l’envoi d’une nouvelle force, qui n’est pas toujours disponible. C’est l’échec. Ainsi, un stratège avisé ne se permettrait pas d’envoyer ses forces au sol avant d’avoir acquis le contrôle de l’orbite, et avoir sécurisé solidement celui-ci contre des actions provenant aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur. Ce contrôle s’obtient à travers l’incapacitation de la marine adverse, de ses stations de défenses, et dans une moindre mesure, de ses défenses au sol. Il est fortement recommandé d’utiliser l’effet de surprise, de plus qu’une incursion sur la ligne de moindre attente et de moindre résistance, plutôt qu’une attaque de front des défenses adversaires là où elles sont les plus puissantes. Ou alors, cette offensive ne serait qu’une diversion, permettant à d’autres unités de monter le coup véritablement décisif. Traditionnellement, l’engagement dit classique, avec deux forces homogènes et équivalentes s’effectue par l’envoie des bâtiments tels que les torpilleurs ou les destroyers légers comme fer de lance en direction des unités lourdes en stationnement et des stations. Le temps de flottement entre la première salve et la mise en position de combat des ennemis pourra être utilisés par les bâtiments plus lourds tels que les vaisseaux de ligne, les cuirassés et les destroyers légers pour terminer d’incapaciter les unités lourdes adversaires et de commencer à frapper les astronefs intermédiaires qui se seront placés en formation. Selon les doctrines, il pourra y avoir une part plus ou moins importante de chasse parmi les adversaires; on y remédie généralement en flanquant les ailes gauches et droites de patrouilleurs et de frégates aptes et tenir en échec ceux-ci. Normalement, après la mise en déroute des unités lourdes, dont, généralement, le navire amiral, et la plus grande part des intermédiaires, on obtient la fin de la menace, qui soit se replie vers la surface ou en espace profond, soit est quasi-entièrement capturée. Bien entendu, ceci n’est que le schéma classique enseigné dans toutes les écoles de marine, et repose sur les campagnes plus anciennes, comme les guerres de la Fédération Terrienne, et la guerre Union-Erikea, qui a vu de nombreux affrontement d’ampleurs de vaisseaux, mais les différences majeures entre les armements, systèmes défensifs, qualités et fiabilités au combat des différentes unités que nous désignons ici sous les noms génériques de bâtiments de ligne, destroyers, frégates, etc…, peuvent grandement influer sur l’issue des affrontement. En effet, une supériorité en matière d’armement offensif lourd de la chasse peut causer d’important dégâts parmi les frégates en proportion, ou encore, un renforcement massif des unités lourdes empêcher leur élimination rapide du champ de bataille, malgré une focalisation des feux les plus importants sur elles, à causes de facteurs autant d’ordre psychologique que tactiques. Il existes également de nombreux contre-exemples à cette forme de bataille, mais elle reste néanmoins le canon. D’autre part, en orbite, elle est bien plus commune que la confrontation en espace libre. Celle-ci se déroule le plus souvent le long des frontières astrales assez floues, et, sauf si toutes les forces d’une marine y sont engagées, ne se révèle que rarement réellement décisive. Néanmoins, elle ne cause presque aucun dommages direct aux populations civiles, même si leur objectif étant généralement l’obstruction d’une route commerciale, peut avoir les dramatiques conséquences d’un blocus, comme nous le verrons.

De la mise en place d’une stratégie spatiale à grande échelle


On reste conscient que le sort d’une guerre ne se résout que rarement avec une bataille, qui plus est encore plus rarement avec l’attaque frontale d’une planète au cœur d’un territoire ennemi solidement défendu. Il faut donc mettre en place une solide organisation auparavant, afin de s’assurer la maîtrise totale de l’espace, alliant la flexibilité des opérations rapide à l’inexorabilité d’un blocus dans les règles[…]


Amiral Nikolaï Syllas d’Acre, extrait de la seconde partie de « La guerre moderne » .


La charge
La charge est à l’origine l’apanage de la cavalerie. Elle a pour objectif de briser la cohérence des rangs ennemis, et de causer ainsi la rupture du front. On utilisait une importante concentration de cavaliers lourds, à défaut plus légers, mais dans ce cas là, les chances de réussites s’amenuisaient. En effet, au contact des troupes souvent plus nombreuses et établies en position défensives, la valeur de l’unité est vitale. Si elle n’est qu’égale en capacité offensive et en protection corporelle à celle qui défend, celle-ci ne pourra être submergée et défaite, et laissera le temps au défenseur d’amener des réserves, consommant ainsi l’échec. De plus, l’attaquant, ses lignes étant clairsemées par les pertes qui souvent son quasi-totales, se voit alors exposé au risque d’une contre-charge, qui serait alors dévastatrice. De nos jours, la charge s’effectue encore dans l’infanterie: des corps d’élites sont envoyés à l’assaut de retranchement, avec des armes lourdes, et des fusils à baïonnette. Une charge généralisée du corps d’armée est en fait une avance militaire lourdement assistée, et, si elle est menée avec des forces supérieures, et dans une situation tactique et stratégique favorable, permet de forcer l’ennemi à abandonner ses positions pour se retirer. Néanmoins, cela ne retire rien au danger de la manœuvre: en effet,…
Nikolaï Syllas d’Acre, Archi-Amiral de la Sérénissime République de Christiansa. Extrait de la seconde partie de « La guerre moderne »
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