Katarina Semenova

Type de personnage : Mercenaire, trafiquante, commerçante, touche à tout.
Autre compte : Alexandre Orlov, Ralph Pien
Nom : Semenova
Prénom : Katarina
Âge : 25 ans
Faction : Mercenaires et contrebandiers
Métier : Touche à tout
Race : humaine


Description psychologique : Le moins que l’on puisse dire c’est que Katarina n’est pas femme a se laisser faire. Elle possède un véritable don naturel pour le commandement et peu de gens lui ont refusés quelque chose quand elle prenait un certain ton. Dure en affaire et sans pitié, mieux vaut ne jamais la supplier… Ses ambitions, difficile à dire elle n’y à pas encore réfléchi mais ce qui est sûr c’est que les photos des îles de Ludertitz l’ont marquées, tout comme celles des mers du sud d’Arkilia

Description Physique :Mesurant 1 mètre 78, Katarina peut être considérée comme une femme de grande taille. Des vêtements laissant généralement une grande liberté de mouvement (ample ou moulant souple) sous entendent ou mettent en évidence un corps souple et musclé. Mais le plus marquant sont indubitablement ses yeux d’un bleu peu rassurant. Katarina porte des cheveux coupés à la garçonne de couleur noire, brune ou rouge foncé, selon la dernière teinture, une mèche grise tombe toujours à côté de son oeil droit. Depuis juillet 2757, elle porte un oeil droit cybernétique masqué derrière une fausse coquille, il affiche l’heure et peut grossir l’image modérément, une fonction d’enregistrement limité existe. Katarina porte également le tatouage d’une pieuvre rouge et noire sur l’épaule gauche.

Histoire : Katarina naît sur Carcaran en 2733, fille de Dimitri Semenov, un lieutenant de vaisseau de l’Union dont l’aviso a été détruit en tentant de protéger une station minière d’un raid, elle est la propriété d’un entraîneur d’Arena utilisant des esclaves anciennement soldats ou de bonnes condition physique et les faisant entraîner par des esclaves rendus loyaux par la torture. Ainsi Katarina grandit dans les salles d’entraînement en entretenant les armes, les esclaves s’exerçant sous les et cris des instructeurs. Ils sont toute une équipe d’enfants surveillé uniquement pour qu’ils ne volent pas d’armes et mal encadrés. La jeune fille qu’est encore Katarina se fait rapidement remarquer par ses talents de chef et d’organisatrice en assujettissant la totalité des gamins qui lui obéiront bien vite au doigt et à l’œil. Résultat des courses, tout le monde travaille à sa place. Le propriétaire la remarquera lorsque, passant par l’armurerie, il croise une jeune fille aux yeux bleus plus que clair en train de diriger une quinzaine de gosses de moins de dix ans avec une rigueur digne de l’armée. Katarina a onze ans et le respecté entraîneur voit en elle un élément possible pour des combats plus que lucratifs. Qui sont devenus bien plus rare depuis la grande révolte d’esclave (dans laquelle le père de Katarina, qu’elle n’a jamais vu d’ailleurs, périra)

Commence alors une formation très difficile pour la jeune fille sous les ordres d’un ancien sergent de l’infanterie mobile krypt-arkilienne et d’un maître d’arts martiaux doublé d’une instruction à la tactique. Katarina apprend vite, très vite et finit au bout de cinq ans par pouvoir tenir tête à ses entraîneurs de façon sérieuse. Son maître avait par ailleurs d’autres projets pour elle que le combat d’arène. Formant rapidement une bande de jeune apprentis combattants, il met Katarina a leur tête et lui donne mission de ramener tous les impayés des paris, l’affaire marche plutôt bien et moins d’un an après, ce sont de véritable expéditions punitives que Katarina et son groupe mène. Mais la prospérité ne pouvait durer, le clan Gor'Tek, jaloux de la richesse de l’entraîneur finit par donner l’assaut sur l’école, c’est un vrai massacre, les pertes de l’assaillant son terrible malgré force chair à canon, mais l’école est finalement prise pendant que les « huissiers » de Katarina reviennent de pillage. La jeune fille alors âgée de 18 ans, retrouve son maître dans une mare de sang, il l’affranchira ainsi que toute sa bande et lui donnera un passeport en or : une vieille casserole spatiale dans un hangar du chantier spatial et une cache d’arme de la dernière chance constituée de vieux fusils Zul Mk I. Le groupe se rendit au chantier spatial et parvint, après quelques déboires et ventes des rares objets de valeurs de la villa ayant réchappé au pillage, à trouver un pilote répondant au surnom de Styx qui les mena sur Christiana où paraît-il, l’on recherchait des personnes du style de Katarina. Son groupe, ayant pris au passage le nom de Blacks and Tans atterrit dans Kamensk, entre trafiquants et miliciens se rejoignant finalement en un beau tout combattu tant bien que mal par la Sûreté. Organisme auquel Katarina (connue sous un faux nom) finira par échapper après un violent combat de rue à l’arme d’assaut avec l’aide d’un officier de la milice et de quelque de ses hommes qui se retrouveront incorporés dans les Tans après cette échappatoire musclée.

On revoit ensuite les Tans retourner sur Carcaran avec un matériel plus conséquent, résultat de deux ans de traffic avec les différents bandits de Kamensk et une somme d’argent très appréciable qui servira à l’achat d’un vaisseau modifié et l’installation d’une planque sur une station relais perdue de l’époque coloniale terrestre. On retrouve ensuite les Tans sur Eryn où ils se livrent au trafic de drogue et la protection des échanges puis dans l’UTE une fois de plus pour le compte de la Sdahl Konzern désireuse d’assurer la colonisation industrielle d’un cailloux lunaire habité appelé Goy sans voir les propriétaires locaux et les associations syndicales protester trop fort, l’affaire se termine par l’assaut du palais gouvernemental mené par les Tans sous couvert de la révolution démocratique libérale. L’on notera la disparition d’une cinquantaine de jeunes habitants et de l’arrivée de nombre d’organes viables dans les hôpitaux privés seraniens peu après l’affaire. Aujourd’hui les Katarina est à la tête des Tans depuis cinq ans et outre quelques gros coups, loue ses services pour nombre de petits exécutants et seigneurs du crime, dispose de son propre moyen de transport, rapide et discret.

Les B&T restent très discrets dans leurs contrats et leurs déplacements. Le fait de disposer de ses propres moyens de déplacement permet de ne pas dépendre d’un tiers et réduit les fuites. L’ONI, les SSJ et la Sûreté font état de temps à autres d’implication avec le SGC et le clan Hunsa sur le Titan et dans d’autres coins des zones non alignées notamment pour le compte des services de renseignement memeliotes, ou un réseau privé de cette origine. Quoiqu’il en soit les Blacks and Tans disparaissent en 2754 sur Gauma IV. Engagée par le Cartel pour une opération de courte durée, la bande de mercenaires se fait coincer par l’armée local fortement épaulée par une des brigades privées du Major Rafael, potentat de la Main et ministre de la Défense et de la Sécurité de la République. Katarina est arrêtée et emprisonnée avec trois de ses camarades dans la prison tristement connue de San Ignacio. Se hissant grâce à diverses fourberies mais aussi a une forme d’Arena dépourvu de règles -ce qui lui faut une cicatrice parcourant tout le long de son dos, Katarina parvient a se hisser dans la hiérarchie carcérale puis en quelques mois, à rejoindre le corps des gardes auxiliaires jusqu’à le diriger et... s’enrichir. Plusieurs de ses supérieurs et concurrent(e)s finiront par rejoindre le cheptel de prisonniers, et par être tués par ces derniers pour avoir été gardiens. Comprenant qu’elle ne parviendra jamais a sortir de là plus tôt, Katarina décide de jouer dans la démesure et, à l’occasion de la visite d’un officier supérieur de l’armée, séduit ce dernier puis l’épouse pour devenir veuve six mois plus tard et riche d’un compte en banque quelque part dans le complexe international d’Opal, elle rejoint l’armée en tant que capitaine d’un escadron de choc de la cavalerie de la Flotte sous le nom de Soledad Lockaärt avec, semble-t-il, l’appui personnel du Ministre de la Défense et de la Sécurité.

Katarina connaît le baptême du feu en tant que militaire de l’armée gaumanne au début de l’année 2757 sur un astéroïde sans intérêt de la Grande Tempête, elle devient major et officier commandant de régiment après quelques engagement. Lors d’une opération dans une région reculée sur Canaan Prime, le quatrième régiment de cavalerie de la Flotte républicaine connaît en engagement particulièrement violent avec des carcars, les combats durent toute la nuit dans la confusion la plus totale et lorsque le jour se lève, l’armée régulière locale peut contempler le massacre. Le commandant du détachement est introuvable et présumé mort : son véhicule est réduit à l’état de châssis fumant. Les SSJ localisent une dernière fois Katarina dans une clinique privée sur Kryptonn, Mirom, où elle se fait placer un oeil cybernétique de fabrication jadéenne pour une fortune retirée de son compte en banque, à présent vide (elle n’était pas si riche que ça finalement). Elle disparaît de nouveau mais n'apparaît dans aucun groupe mercenaire ou freelance susceptible de la recruter. Une information controversée de la Sûreté de l’Union, service de la Marine, semble faire état d’approches par le Cartel. Le nom de Veronica Reale serait sorti lors d’une histoire d’assassinats... Tout indique qu’elle travaille à son compte à présent, pour combien et à quel niveau (simple tueuse ou chef de groupe a louer, voir les deux), difficile a dire.

Inventaire :
-FAM 3 modifié : lunette de visée
-Deux Pistolets automatiques Q15 (crosse modifiée et désignateur laser pour chaque) plus chargeurs
-Comlink et cryptex
-couteau de combat (botte droite)
-couteau de lancé (dans le col)
-Portefeuille
-(généralement)Treillis urbain de la Flotte gaumanne modifié au point d’être méconnaissable, pas d’insignes national, épaulettes d’officier ternies volontairement.
- (souvent) Cape avec capuche cachant le visage
Vaisseau :
-Argent : 10 000 en poche, 100 000 sur un compte numéroté à Opale, complexe international.

Disponibilité du joueur : variable en fonction de l’emploi du temps
Indisponibilité permanentes : variable
Fuseau horaire : Bruxelles

[X] En cochant cette case, j'accepte de voir mon PJ mourir lors d'un combat avec d'autre PJ (facultatif, c'est une question de FairPlay)

à jour.