Informations générales :
Type de personnage : Diplomate / politique
Autre compte :Artemis Fowl
Nom :Alexander
Prénom :Herflow
Âge :41 ans
Faction :Pacte Union-Jadis
Métier :Président de la république de Bavanne
Race :Humain
Informations du RP :
Description psychologique :Le plus souvent calme, sa colère survient toujours au bon moment, que ce soit pour ponctuer un discours ou marquer son indignation. D'ailleurs, même s'il paraît ainsi émotionnel, on ne peut pas dire que l'intelligence soit ce qu'il lui manque le plus, mais il son ego est quelque peu... surdéveloppé: Herflow n'admettra jamais qu'il ait pu se tromper, quoiqu'il arrive, à moins bien sûr de se retrouver au pied du mur. Maniaque de l'organisation, ça lui permet d'éviter souvent de se retrouver dans une situation où il aurait tort. Ce qui fait que son principal défaut passe le plus souvent inaperçu. Cordial avec les gens, mais néanmoins très... pragmatique, son sens de la rigueur l'a doté d'une honnêteté sans faille... bien que parfois il puisse être nécessaire de mettre de côté ses sentiments personnels... En bref, persuasif et sachant tout à fait ce dont il est capable... Peut-être même un peu trop bien.
Description Physique :Relativement grand, toujours bien habillé, il dégage, paraît-il, un certains charisme. Doté d'une carrure tout à fait correcte, ce n'est quand même pas son heure de marche quotidienne qui pourrait lui donner un physique de militaire qui n'est pas le sien.
Histoire :Enfant sans histoire d'une famille moyenne, Herflow parvint à faire parti des quelques centaines de jeunes bavannes envoyés sur Jadis pour y étudier à la fin de leur scolarité. C'est probablement lors de ce séjour de cinq ans qu'il acquit les valeurs qui sont désormais siennes: honnêteté, rigueur et confiance en soi. Peut-être trop même, mais la vie ne décida vraisemblablement pas de le raisonner puisqu'en revenant de Jadis, âgé de vingt-cinq ans, il s'engagea en politique et remporta au bout de trois ans de carrière sa première victoire en se faisant élire à la tête d'une ville de quelques dizaines de milliers d'habitants grâce à ses valeurs et à sa proximité avec la population, y renversant le parti qui était jusqu'alors majoritaire dans la cité depuis une cinquantaine d'année.
N'ayant promis que ce qu'il pouvait tenir, il l'accomplit et sa popularité s'accrut. Ainsi, au lieu de se présenter pour renouveler son mandat au conseil municipal, Alexander laissa la place à son second, doté d'une dizaine d'années de plus que lui, et parvint à obtenir un siège dans le parti de l'opposition à l'Assemblée Nationale.
Simple député, il aurait pu s'arrêter là et rester sur place. Mais c'était sans compter ses ambitions. Se faisant chaque jour remarquer par une participation des plus actives et passionnées lors des "débats", il parvint même, véritable coup de force, à rallier la plus grande partie majorité présidentielle à ses idées à deux ou trois reprises.
A l'initiative de plusieurs lois qui marquèrent les esprits, comme celle visant à séparer de manière stricte et complète les trois pouvoirs, ou encore une autre destinée à unifier davantage les deux chambres en un seul Parlement en rendant de plus en plus de séances communes aux deux, dans le but avoué de renforcer le pouvoir législatif... et donc celui de la population.
C'est ainsi qu'Herflow gagna en célébrité, passant de temps en temps sur les plateaux de télévision.
Considérant qu'il valait mieux écarter de la politique cette nouvelle menace, le Président, Andrew Johnson, nomma Alexander Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, officiellement dans le but de s'en faire ami, mais en réalité pour l'envoyer dans un véritable placard, loin des médias et de la population.
Herflow n'avait que trente-huit ans, et les prochains élections arrivaient dans trois ans. Ayant mis un an à comprendre quel était le véritable but de Johnson en l'envoyant ici, il décida que c'était le moment de revenir sur le devant de la scène. L'industrie bavanne était plus que correcte mais ne suffisait qu'au niveau planétaire. Il était temps de lui donner un rang au niveau galactique. Pas dans le but d'en faire une première puissance, mais ne serait-ce assez pour que Bavanne puisse avoir son mot à dire. S'ensuivit une période de réformes auxquelles le Président tenta de s'opposer, en vain puisqu'une importante partie de la population ne comprenait pas pourquoi il faudrait refuser quelque chose qui ne pourrait leur être que profitable.
Alexander devint probablement le premier ministre de l'histoire à inciter le pays à la grève. Même s'il n'était alors suivi que par un dixième de la population, c'était suffisant.
Plus qu'un an avant les élections. Un an avant aujourd'hui... Les effets des mesures entreprises commencent à se faire sentir, imperceptiblement mais ils sont là. L'opinion publique lui est de plus en plus favorable et Herflow ajoute le ministère de la Défense à son portefeuille, commençant sa campagne, une campagne qui se terminera par un débat télé-holographisé avant le dernier des trois tours des élections, l'opposant à Andrew Johnson. C'est là que sa phrase la plus mémorable sera prononcée, mettant son adversaire dans l'incapacité totale de lui répondre...
Voyez-vous, monsieur Johnson... C'est justement ça qui fait la différence entre nous deux: vous, vous êtes le candidat de votre parti, de vos idées, de vous mêmes... Et moi, je ne suis au service que du pays.Remportant une semaine plus tard les élections avec soixantre-quatre pour-cent des suffrages, Alexander Herflow, alors âgé de quarante-et-un ans, à défaut de devenir le plus jeune Président de l'histoire de Bavanne, fût le premier à être élu sans appartenir à aucun parti politique.
Inventaire :- Un stylo de l'Union
- Un carnet en papier
- Un ordinateur de poche
Vaisseau :Ça dépend... la flotte du pays, ça compte ?
Autres :
Disponibilité du joueur :En fin d'après-midi / début de soirée, le week-end
Indisponibilité permanentes :Ça dépend, variable...
Fuseau horaire :GMT+2, avec heure d'été
[X] J'accepte de voir mon PJ mourir lors d'un combat avec d'autre PJ (enfin, faut pas non plus que ça se fasse comme ça, paf, hein...)