Système Teresia

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

Systeme Teresia : C'est entre les avants postes Apiens.

L´humanité, lorsqu´elle avait découvert Teseresia, l´avait nommé Descartes. Quatres vaisseaux du programme Gallilée y avait été envoyés. Les Apiens les avaient tout naturellement abordé pour couper leurs systémes de reveil, pensant, à juste titre, que les 200 000 personnes à bord de ces vaisseaux pourraient leur etre utile plus tard, lorsqu´une mission coloniale devrait etre envisagee. Pour l´humanité et la fédération Terrienne, le Descartes 1, 2, 3 et 4 étaient bel et bien perdu corps et ames. Les Apiens avaient en vérité stocké les quatres vaisseaux sur l´orbite de la planète. Alturia savait qu´en reveillant ces ames, elle risquerait de provoquer la haine des terriens. Ces pourquoi, lors de son arrivée au sein du conseil des Banshee, elle avait fait mine de mener plusieurs éxpéditions militaires dans le but de retrouver les quatres vaisseaux et de les rendre aux terriens. L´opération se poursuivait depuis maintenant prés de deux siecles. Alturia y mit fin par la mission Teresia (du nom Apien du Systeme).

L´Independance jaillit de l´hyperespace sur l´orbite de Teresia. Une douzaine de Gunship à son bord s´en detacherent pour se diriger vers les quatres mastodontes du programme gallilee.

- Des signes de vie ? demanda Krez´Kan. Leurs systemes lethargiques sont normalement toujours fonctionnels.

MJ ? (Je pense qu'un chef de faction et modérer, si les autres n'ont pas le temps)

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

quelqu'un ?

Le navigateur de la navette brancha le communicateur de la navette sur la balise installée par l'armée sur le vaisseau il y à si longtemps.

-20 000 morts au total. Un des vaisseaux signale une baisse de rendement d'énergie, l'ordinateur de bord a désactivé plusieurs cryotubes pour maintenir les autres.

-Je peux poser une question ? demanda un des gradés à bord. Que va-t-on faire des humains à bord

En clair, était-il dans l'intention d'Alturia de les tuer au nom du "bien suprême" qui servait de plus en plus de prétexte.

Pour la suite un MJ serait très préférable je pense

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

Saas = soldat

Krez'Kan se tourne une nouvelle fois vers la commande de communication, elle contactait à présent le Destroyer Indépendance, qui flottait à quelques dizaines de kilomètres.

- Echo Alpha D1, contat Echo Base.
- Echo Base, j'écoute.
- Envoyez les équipes de soutiens logistique et l'équipage secondaire. Ces quatres vaisseaux devront rejoindre la troisieme flotte le plus rapidement possible. Over.
- Bien Reçu. Echo Béta et Gamma, décollage imminent.

Aussitôt depuis les flancs de l'indépendance, huit Gunship lourd Badéo, et seize chasseurs Apel Agressor s'élancèrent dans l'espace. Les quatres premiers vaisseaux glissèrent doucement contre la carlingue des vieux Mercury II. Ils s'immobilisèrent devant un Sas.

- Vous pensez que nous allons les tuer n'est-ce-pas Saas ? Ca n'est pas dans les manieres de notre peuple. La Mezdel'Shas'O a d'autres projets pour eux.

Le cargo s'immobilisa alors devant l'un des Sas du vaisseau. La Banshee Krez'kan se tourna vers le pilote.

- Atmosphère intérieure ?
- Classe 1, respirable mais froide. Sortez pas sans vos doudounes.

Le commando fit glisser les verous de la porte avant de sortir dans le vaisseau. En position de combat,les Gardiens étaient attentifs à tout.

Les gardiens entrent à bord suivis de la Banshee. De la vapeur s'échappe des respirateurs de leurs armures. Températûre : celle de dehors, -95 degrés. À l'intérieur tout semble mort...

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

- Typique des humains ça, lance un Saas à la cantonnade. Ils préfèrent chauffer leurs blocs cryogéniques seuls plutôt que le vaisseau tout entier. C'est sur que c'est moins cher, mais pour l'accueil des clients, c'est jamais tr'es sympathique.
- Gros Malin, on s'est posé dans le secteur ou l'energie a éte supprimée à cause de la fuite, lui répond sa voisine. Même les blocs Cryogéniques sont fichus. Si voir des humains nus et congelés t'exite, tu va être servi.
- Si on a plus le droit de rigoler ...

Le groupe avance en silence dans le noir. Du bout des armes de chacun des vingt Gardiens, un vaisseaux lumineux d'une couleur bleutée déchire les ombres. On ne distingue que ces traits bleutés dans le noir, en plus des différentes lueures discrètes indiquant la fonctionnalité des équipements de l'armure. Un geste de la Banshee fait brusquement éteindre ce surplus d'éclairage. Le commando avance aux infrarouges. On ne le voit plus, mais il voit tout. En territoire hostile, mieux vaut être prudent. Une porte se profile bientôt devant eux :

- C'est la première chambre cryogénique, celle qui a été désactivée. Le verrou magnétique n'est donc plus actif sur le sas. Plus qu'un verrou manuel.

Krez´Kan active le bouclier qui colle à son armure : Les Apiens sont déja tombés sur des vaisseaux Cryogéniques devenus repères à pirates. Krez veut éviter des morts inutiles. Elle dégaine sa lame, active les vibrofonctions. Celle-ci brille alors dans le noir d'un pâle halo rouge : signe que l'éléctricité voyage dans sa lame. Elle se saisit alors du verrou éléctrique et active sa sphère énérgétique de puissance. Un flot d'énérgie vient nourir son armure. Elle se saisit de la "poignée" du Sas. Celle-ci tourne sans efforts, alors que les liquides sensés facilité sa rotation sont déja gelés.

Le commando tourne toute ses armes droit vers la porte qui s'entrouvre à présent, la Banshee en tête ...

Le commando entre dans la galerie aux morts. Il y fait la même température que dans l'antichambre. Les colons, pris dans la glace, gisent dans leur cuves, dont certaines sont fendues, dans un parfait état de conservation. On a l'impression qu'ils sont morts il y à quelques heures à peine. Les apiens branchent leurs semelles magnétiques : le vaisseau en tourne pas sur lui-même et n'avance pas, pas de gravité artificielle.

-J'ai pas l'impression que quelqu'un soit passé par ici depuis quelques siècles, déclara l'un des saas. Des pirates auraient placés des systèmes de détection, les hangars n'ont pas été forcés, pas de pesanteur ni de chauffage visible.

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

- On doit sécuriser ce secteur. On sait jamais sur quoi on peut tomber à bord de ce genre de saloperies volantes. Et puis, depuis le temps qu'il y est là, ouvrir et fermer la porte du Hangar principal ne doit pas être compliqué, c'est sans doute le premier endroit désactivé par le cervo-droïde de controle. Continuez à avancer, mais prudence.
- Ce vaisseau comprend cinq chambres léthargiques comme celle-ci. Logiquement, il devrait y en avoir deux de totalement livrées au froid de l'espace. Les autres seront encore chauffées.
- Alors avant d'y pénétrer, on attendra les équipes de soutien pour remettre de l'énergie dans les moteurs de cette foutue carcasse. En attendant, groupe 1, vous prenez la direction du poste de pilotage, groupe 2, vers la salle des machines. Contactez-moi une fois les deux positions complètement sécurisées. Et n'oubliez pas, prudence.

Krez'Kan avait maintenu les ordres. La raison, elle était simple. Les Apiens n'avaient pas l'habitude de combattre. Ils n'avaient pas l'habitude d'obéir, ils n'avaient pas l'habitude de l'armée. Et cette habitude, ils devraient l'acquérir rapidement. Effectuer des actions apparement vides de sens et inutiles, cela forge la discipline. Rester concentrer en permanence, c'est utile sur un champs de bataille. Ainsi, une mission qui, comme celle-ci, n'avait à la base que pour objectif la récupération de quatres vaisseaux, devenait un espace dans lequel le danger pouvait se trouver partout. Dans l'esprit des Saas, il serrait clairement acquis que les possibilités de la présence d'un adversaire étaient valables : l'éxpérience militaire de, souvent, plus de 200 années d'une Banshee, ne saurait être remise en doute par la présence d'un Saas, engagé au sein de la garde blanche depuis l'éclatement de la guerre galactique.

Le sas voisin de celui auquel s'était amarré le Kyron, fut bientôt ouvert à son tour. Un nouveau commando vint se placer au garde à vous au devant de Krez'Kan, et deux groupes complets de techniciens, ainsi qu'une cellule energetique au cristal, venaient d'être débarqué. Le premier Badéo était arrivé.

Quelques secondes plus tard, un second Badéo s'amarra à un troisième sas et débarqua une nouvelle troupe d'Apiens et d'Apiennes : des professeurs, des psychologues, des ingénieurs et des techniciens sensés évité tout problème à l'avenir.

- Tout les vaisseaux on put être abordés ?
- Affirmatifs, et tout les commandos sont déployés. Les points clés sont sous controle, en bref, les vaisseaux sont à nous, on attend plus que les frégates Patroler pour nous remorquer hors de la zone.
- Parfait, je rejoins l'Indépendance.
- Votre Banshee Starfighter se trouve dans la soute du Badéo, prête à décoller.

Krez'Kan laissa là les militaires, ils étaient occupés à installé leurs réacteurs et leurs unités de controle de chaque citoyens Terriens à bord. Un téléporteur avait été installé et l'on transportait par le biais de celui-ci, des centaines de systèmes de soins Apiens, dans le but de remplacer les systèmes Terriens, jugés défaillants.

La Banshee Krez'Kan s'éloignait à présent des quatres Mastodontes. Devant ceux-ci, quatres frégates Apel MediumPatroler jaillirent d'Hyperespace. Une communication rapide fut transmise à l'indépendance.

- Echo Bravo à Echo Base, on prend en charge la cible. Tout est paré. Bonne chance pour la suite.
- Merci les filles ! Au plaisir !

Le Banshee Starfighter de Krez'Kan entra à son tour en contact avec l'immense Destroyer, alors que derrières eux, les quatres croiseurs, connectés par filins lasers aux frégates, se laissaient tirer dans l'hyperespace, à travers les zones calmes du secteur Apel, vers la Station Avant-Garde 4.

- Shas'A'Banshee Krez'Kan, à toute les troupes. Début de la seconde mission. Changement des nominations codes et préparation du débarquement planétaire.
- Opperationnel pour l'opération Oiseau de Proie.
- Enclenchée.

L'Indépendance, pendant les trois jours qui suivirent, multiplia les relevés. L'objectif était de définir tout les paramètres de la qualité de l'air, des moyens de vie, de subsistances, enfin bref, tout les relevés precedant l'envoi à terre d'une équipe de reconnaissance.

MJ ? Que concluent ces relevés ? Qualité de l'air ? Faune et Flore ? Especes intelligentes localisées ? En bref, l'envoi d'une équipe technique de reconnaissance est-il dangeureux ?

Personne ne semble avoir mit les pieds sur le vaisseaux depuis que les apiens les avaient détournés. Le système se trouvant entre deux stations apiennes, personne n'osait se pointer par peur de se faire charcuter.

L'analyse de la planète révèle une très faible atmosphère ou plutôt une atm incomplète. Il est cependant possible que certaines formes de vies batardes aient réussi à se développer.

-Mais je les vois très mal être en mesure de s'attaquer à nous. Le plus gros danger pourrait venir d'une bactérie mutante ou quelque chose de similaire. Je propose que dès leur retour, les équipes d'explorations soient misent en quarantaine dans un caisson que nous détruirons lorsque nos apiens en sortirons (vivants ou morts) et que les combinaisons soient atomisés. s'exclama un observateur.

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

HJ : Économie Apienne : - 5 millions (cent crédits le droïde)

Krez'Kan sourit derrière son masque.

- Nous n'enverrons pas une équipe de reconnaissance Apienne en territoire inconnu.

Elle appuya sur un bouton et une voix robotique rétorqua :

- Droïdes Sondes ... Lancés.

Depuis les flancs de l'Indépendance, une masse innombrable de petites capsules sphériques filèrent vers la planète. On en comptait prés de 5 milliers. Un message fut transmis à Apel via les petits téléporteurs montés dans les hangars du Destroyer afin de le transformer en vaisseau colonial. Bientôt, progressivement, le vaisseau serrait rechargé en droïde sonde pour la deuxième phase de l'exploration coloniale. On prevoyait pour cette seconde phase prés de 10 000 droïdes. Teresia fut ainsi recouvertes de milliers de droïdes disposant d'arsenal de repérages sismiques afin de localiser les zones susceptibles d'accueillir une population et disposant de ressources naturelles suffisantes pour les besoins de l'avant poste Apien. Les premières communications reçues par les Apiens au sujet du sol de la planète l'affirmait riche en multiples matières premières. Les droïdes comprenait de mini laboratoires d'analyses biologiques, bref des dizaines de capteurs. Chaque droïde embarquait trois capteurs et étaient alimentés par un cristal énergétique Apien. Leur fonctionnement était ainsi le plus continu possible. Dans le cas ou le droïde ne pourrait pas éfféctuer l'analyse, un petit téléporteur permettait l'envoi sur l'indépendance, puis sur Apel, d'échantillons prioritaires.

HJ : Demande de Remplissage de la fiche suivante par le MJ

Planétologie :

Diamètre: 15983km
Climat: déserts: 75.4%, mers/océans: 19%, arctique: 4%,canyons humides: 1.6%
Végétation: quasi nulle en surface: voir canyons et océans
Atmosphère : classe 2, atmosphère moyennement réductrice, atmosphère primitive riche en C0²: oxygène <8% impliquant la présence de vie
Température moyenne en été: inconnue, plus haute 126°C
Température moyenne en hiver: inconnue, plus basse enregistrée -4°C
Pourcentage d'eau et de terre: 20,5%/79,5%
Pourcentage d'eau salé et d'eau douce: 99.3%/0.7%

Point le plus haut et situation géographique: point culminant de la chaine 2: 17 893m
Point le plus bas et situation géographique: fosse marine 34: -14 453m
Gravité: 1.2
Lunes : 1 baptisé Teresia 2 et trois astéroïdes capturés par son orbite : T1, T2, T2
PH de l'eau: de 1.2 a 6.5
Présence ou non de formes de vies intelligentes : ? A première vue : Non, a part forme de vie Bactériologiques
Présence ou non de formes de vies civilisées : ? A première vue : non

Exploitabilité :inconnue; nécessiterait forages

Fertilité des terres : nulle actuellement, possibilité dans les canyons
Ressource naturelles principales : oxyde de fer, inconnu pour le reste
Ressources naturelles secondaires : deutérium
Présence ou non de Cristal d'Apel (si oui, situation géographique des gisements) : forage important nécessaire

EDIT MJ: j'ai mis les réponses

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

HJ : y'a pas besoin de forer pour trouver qu'est ce qu'il y a dans les sous-sols ... Suffit d'envoyer des ondes sismiques dans le sol (comme pour un radar) jusqu'à ce qu'elles rebondissent sur un changement de matière. Une partie des ondes continu son chemin, une autre revient vers l'emetteur. Suffit de calculer la durée de retour et de comparer les matèriaux. A chaque changement de couche, les ondes ricochent et reviennent et une partie continu son chemin. On peut donc établir facilement des profils du sol ! Mes sondes sont naturellement équipées de ce genre de systèmes !

Je me permets de signaler que l'entreprise d'une pareille inspection à l'échelle planètaire prendrait beaucoup de temps. Sinon, on peut trouver des traces d'à peu près tout.

(Cassandre) En mode chiant(e) (^^)

Invité

Je connais assez bien les ondes sismiques et les méthodes de détection, j'ai des modules entiers a la fac dessus. Sllyas a parfaitement compris la situation: ce sera long et cher. Je nettoierai le topic plus tard

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

Boarf à raison de 500 droïdes se promenant sur la planète à la vitesse moyenne d'un millier de kilomètres heures, et d'un tir d'onde tout les 5000 kilomètres (oui, bien sur, le droïde se pose pour tirer), on a rapidement une petite idée globale de la gueule du sol planétaire ... C'est tout ce que je demande, pas une analyse géologique appronfondie hein !

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

La suite du programme colonial visait à établir si oui ou non, il était possible de procéder à un terraforming de territoire et ce afin de fertiliser des terres. Il fallait donc repérer d'importantes quantités d'eau gelée en profondeur, ou fabriquer des eau synthétiques à partir d'hydrogène et d'oxygène. Le programme de reconnaissance venait de prendre fin, la qualité de l'air n'était pas suffisante pour permettre une colonisation immédiate, et les relevés avancés n'avait pas signifier la présence de bactéries ou Virus dangeureux. Il fallait donc commencer un programme de Terraforming.

Les transports Badéo se posèrent au pied de la chaine de montagne numéro 2. Dans l'ombre du soleil, la température était viable. Ils déposèrent une première équipe qui débuta aussitôt le montage d'une base préfabriquée. Ils avaient une nuit. Une première structure, abrittant Apiens et machines, fut achevée à l'aube. Pendant la journée qui suivit, les équipes de jours purent se reposer avant, à la nuit tombée, de reprendre le travail. Ainsi, pendant une semaines, on procéda au débarquement et au montage de quelques installations diverses : de vastes serres, fertilisées par des usines à eau et des materiel, produisant d'importantes quantités d'oxygêne grâce à des plantes génétiquement modifiés pour réaliser leur processus de respiration de manière dix fois plus importante qu'une plante normale. Le CO2 était récupéré, stocké dans d'importantes cuves, avant d'être éxporté vers l'indépendance, qui le stockait sur une base sur T1. Divers laboratoires, et encore d'autres installations d'analyse accompagnait cette première base de Terraforming.

MJ ? Cout de l'installation ?

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