Le gouvernement laisse faire. Confiant dans la Main Invisible du marché, il sait qu'Aepophis ne s'est pas construite en un jour, et que ces modifications prendront du temps à s'intégrer aux modes de vie Apiens. Il sait également que les entreprises sauront se tourner vers les biens dont les Apiens peuvent avoir besoin en première nécéssité, qu'il s'agisse de produits de meilleure qualités ou de simples besoins de surplus.
L'Etat, qui avait préparé cette crise de surproduction, se prépare toutefois à nationaliser les entreprises risquant la faillite. Il rachète en outre une partie des stocks pour relancer l'investissement de ces sociétés, et leur permettre de se tourner vers d'autres modes de production, plus adaptés aux besoins des Apiens. En outre, le CNILA échange gratuitement les chaines de montages qu'il a déjà vendu contre d'autres, qu'il vient de produire.
Par ailleurs, pour aider les entreprises, le gouvernement crée l'Institut National de Sondages Politiques, Economiques, Sociologiques, et de Statistiques. (INSPESS).