Archipel des îles Tartantes

Les îles Tartantes étaient un archipel situé dans l’extrême sud-Est de la planète et le seul endroit autre que les plateaux du Nord à posséder de hautes montagnes. Le Mont Tartanide dominait l’horizon avec ses 4560 mètres. Depuis quelques temps, l’armé avait exprimé son intérêt à y installer une station météorologique, ainsi qu’un base militaire sur la montagne. Bien entendu, la base ne serait pas de taille à rivaliser n’importe quel base militaire Jadéenne, mais il était très intéressant d’en installer une à cet endroit. De plus, une zone à environ 2600 mètres d’altitude c’était avéré propice à la construction d’une telle base, une minuscule zone d’un kilomètre carré en forme de vallée entre la montagne et une plus petite. Cette zone avait été découverte après plusieurs passages d’unité aérienne de reconnaissance et une barge avait été envoyée pour y déposer une équipe. C’était une douzaine de militaire accompagné d’un géologue et d’un météorologue du consortium scientifique. Après que la barge Midas ait survolé la zone, l’équipe fut finalement débarquée, ainsi que la matériel. La barge quitta ensuite les lieux en promettant évidemment de venir les chercher le lendemain.

-Bon! Pitt, Harrison, Wayne et O’Brian déballer le matériel pour que le Dr. Libermann et le Dr.Binn puissent faire leur boulot. MacArthur, Riviera, Lemberg et Gobson vous montez le campement pour la nuit. Jackson et Stranovitch vous monter la radio et moi et Zimmer on va faire un tour dans les environs en reconnaissance. On reste en contact radio en permanence.

Après que les hommes du Capitaine Erikson aient répondu affirmativement, celui-ci se dirigea vers la petite montagne en ordonnant à Zimmer de prendre le côté opposé. Les autres hommes firent se qu’Erikson avait ordonné, pendant que les deux autres s’éloignait d’eux. Après une demi-heure, tous se retrouvèrent au campement qui était presque monté. Plusieurs tentes en aluminium et en fibre d’hexanox contrastaient avec le paysage blanc des lieux. Le météorologue était déjà au travail et le géologue semblait être absorbé par son ordinateur holographique.

-Nous sommes sur près de 12 mètres de neige, déclara le Géologue, notre matériel ne peu atteindre une telle profondeur, il me faudra donc prendre des échantillons sur les flancs des deux montagnes.

-Bien, nous allons vous y conduire. MacArthur ou est Zimmer?

-Je ne sais pas, il n’est pas revenu.

Erikson pesta intérieurement et il appela Zimmer par radio, celui-ci lui répondit et il annonça qu’Il arrivait.

-Jamais à l’heure celui-là! S’écria Lemberg.

-Comme d’hab Lem’, dit Wayne.

Quelques minutes plus tard, Zimmer approchait du campement et Erikson lui décocha un regard emplit de colère.

-Capitaine, j’ai trouvé l’entré d'une grotte près de la montagne…

-Une grotte vous dites?

-Une grotte! Se serait parfait pour y prendre des échantillons de roche, dit le Dr. Libermann.

-Est-t-elle sécuritaire Zimmer?

-En tout cas l’entré est très spacieuse et dégagé, mais je n’ai pas pu rien voir à l’intérieur à cause de l’obscurité, je n’avais pas de lampe torche.

Dix minutes plus tard, Erikson, le Dr. Libermann, Zimmer et MacArthur se dirigeait vers la grotte découvert par Zimmer. L’entré de celle-ci était très large et la neige bloquait la moitié de l’entré. Dès que le groupe fût à l’intérieur, on alluma des lampes torche. La grotte filait dans les profondeurs de la montagne.

-Effectivement, c’est très grand, dit Erikson, je suppose Dr. Libermann que vous voulez prendre vos échantillons le plus profondément possible.

-Oui, en effet capitaine.

Après dix minutes de marche, la grotte devenait de plus en plus étroite.

-Je crois que ici se sera parfait. Dit le Dr. Libermann.

Les trois autres hommes s’éloignèrent du docteur pour le laisser travailler et examinèrent avec indifférence les parois rocheuses de la grotte. Seul les cliquetis métallique des instruments du Géologue et les soupirs d’Erikson brisaient le silence de la grotte.

-C’est quoi ce truc? Dit Zimmer au bout d’Un moment, pointant sa lampe torche quelques mètres au loin, dans les profondeurs de la grotte.

Le Géologue et les deux autres militaires jetèrent un coup d’œil à L’endroit désigné par Zimmer et le Dr.Libermann fronça les sourcils. Celui-ci s’approcha et caressa la paroi rocheuse désigner par Zimmer.

-Cette paroi est lisse. Trop parfaite pour être naturelle, déclara le Géologue.

-Mais alors, elle est artificielle?

-C’est exact, et il semble qu’a partir d’ici, toutes les parois ont la même particularité.

-Regardez, il y a une légère lueur là-bas, dit MacArthur.

-Ce ne serait pas étonnant que des crevasses permettent à la lumière du soleil de pénétrer dans la grotte.

Le Géologue passa devant, au plus grand mécontentement d’Erikson qui lui suggéra de rester en arrière de lui. Celui-ci afficha un air amusé et se mit derrière Zimmer qui suivait Erikson. Maintenant, la grotte n’était plus qu’un long couloir parfait, d’une hauteur régulière, identique à celle d’un homme assez grand. Puis, subitement, ils sortir du couloir pour aboutir sans avertissement dans une gigantesque galerie. Pendant quelques moments, le groupe observa avec des yeux ahuris le spectacle devant leurs yeux. Erikson prit sa radio et entra en contact avec le campement.

-Jackson! Jackson! Ici le Capitaine Erikson! Vous m’entendez?

-Oui Capitaine! Je vous entend parfaitement, que se passe-t-il?

-On a trouvé quelque chose d’extraordinaire!

-Comment? Qu’avez-vous trouvé?

-C’est une ville!

-Quoi! Une ville? Quelle ville?

-Une ville dans la montagne!

Quelques jours plus tard, le campement sur la montagne se transforma en une infrastructure géante de toiles et de métal reliant les locaux militaro scientifique à la grotte. On avait dégagé l’entré et installé des un système d’éclairage dans l’entré et dans la grotte, or personne n’avait encore oser s’aventurer plus loin dans la ville. Le Consortium voulait premièrement installé ses scientifiques, son équipement et ses laboratoires portatif et les militaires voulaient sécurisé la zone, installé une station radio très longue porté et un système de caméra de surveillance qui serait installé progressivement à l’intérieur. Les militaires étaient là seulement pour maintenir la sécurité des membres du Consortium et que la zone intéressait toujours l’armé pour une base….mais…militaro scientifique. Le scientifique qui dirigeait les excavations était Gregorian Dmitriov. Une grande équipe de scientifique allant de l’achéologue, à l’Anthropologue, jusqu'à des spécialistes en calligraphies et en symbologie et des ingénieurs spécialistes…en fait tout un lot de scientifique spécialiste dans leur domaine. Les militaires, ne sachant pas trop quoi faire furent plus que ravie de servir comme ouvrier. Personne ne pouvait feindre que cette découverte attisait la curiosité et l’excitation de plus d’un. Un groupe d’une cinquantaine de personne pénétrèrent dans la galerie, lampe-torche en main, certain transportant le matériel pour installer l’éclairage et les systèmes informatique, ainsi que les appareils.

Selon les scan de la montagne, il y avait trois galeries gigantesques qui se superposaient. La première, celle dont on pouvait accéder par la grotte, était la plus petite des trois. La plus grosse était la deuxième et la dernière était de moyenne taille, mais plus grosse que la première. La première galerie était époustouflante. La voûte rocheuse faisait près de 25 mètres de haut et quelques minces crevasses lançaient une faible lumière dans la grotte, dévoilant ainsi la ville souterraine. Il y avait cinq énormes temples allant de 15 à 20 mètres de hauts et qui dominait la galerie. Plusieurs autres petits bâtiments en pierre les entouraient et au centre, il y avait une sorte de bassin rectangulaire vide et sec, sûrement utilisé pour y mettre de l’eau. Le tout était étonnement bien conservé et seul quelques éboulements et fissure témoignaient de quelques séismes du passé.

Le sol était pavé de pierre et on pouvait remarquer entre elles, la présence de mousse légèrement bleuâtre catalogué comme étant un organisme vivant en haute altitude. Les parois de la grotte étaient parsemées de trou béant dévoilant des bâtiments dans les parois rocheux. Une véritable cité…et se n’était que la première galerie. Les archéologues commencèrent à se disperser en observant avec fascination les bâtiments autours d’eux. La galerie faisait une longueur de quatre terrains de football et d’une largeur de deux autres terrains de foot, de quoi être subjugué. Les militaires commencèrent à installer le matériel et on débuta la désignation des tâches et l’établissement des ruines prioritaire. Apparemment, les cinq temples semblaient être la priorité première pour les installations, ensuite se serait les petits bâtiment. Le lendemain, une autre équipe tenterait de trouver un passage vers la deuxième galerie…sous la première. Entre temps, les archéologues firent rapidement le lien entre les ruines de la Cité et celles des nouveaux territoires coloniaux de l’Union, ainsi que celles de Luderitz. On envoya un message discret aux Unionien, les informant qu’une importante Cité correspondant à ceux déjà découverte par eux avait été mit à jour sur Allyrie. Tout en les invitant à venir jeter un coup d’œil ou peut-être offrir leur expertise ou tout simplement leurs observations concernant les autres ruines et ainsi faire une comparaison des découvertes pour confirmer la compatibilité.

Après quelques heures de flottement, le commandement "CONDOR" avait fait parvenir l'information obtenue par la sûreté au conseil d'état. Un mot signé de l'amiral Syllas fait le chemin inverse, et une équipe certifiée SG de la Sûreté doublée d'archeologues affiliés au programme ultra-secret est envoyée.

Le Linguiste Joseph Stern s’extasiait devant les écritures étalées devant lui. Il se trouvait devant la porte d’un des temples, celle-ci était fermée par une lourde et massif bloc de pierre. Mais sur le dessus, on pouvait remarquer des milliers d’Inscription incompréhensible, finement sculpté, aucune imperfection, un travail de grands artiste sculpteurs. Mais il ne voulait pas déplacer ces blocs de pierre, pas avant l’arriver de l’équipe Unionienne qui avait déjà eut affaire à des ruines de ce genre. En tout cas, on pouvait nettement remarquer que la cité était magnifiquement bien préservée.

Au même moment, des militaires poussèrent quelques hurlements d’avertissement et le bruit d’Un éboulement fit dresser les cheveux de tous les archéologues sur la tête. Tous se précipitèrent vers les lieux et ils virent avec soulagement que L’éboulis provenait…d’un éboulis. Les militaires voulaient installer quelques systèmes d’éclairage supplémentaire et l’éboulis antique c’était encore plus écroulé. Mais c’est avec stupeur que tous remarquèrent que de L’eau coulait à leur pied, se dirigeant rapidement vers les canaux qui menait vers le bassin. Sans le vouloir, les militaires avaient trouvé la source d’eau de la galerie. Avec fascination, les archéologues observèrent le bassin se vider et crièrent de surprise lorsque un jet d’eau fila vers la voûte de la grotte avant de se stabilisé en formant un jet continue. Stupéfait, les archéologues analysèrent rapidement l’avancé technologique de cette société primitive, capable de construire des fontaines munit d’un système d’eau autonome.

-Bien! Je pense que nous devrions ouvrir les temples pour voir se qu’il y a à l’intérieur. Dit subitement un archéologue, apparemment avide de curiosité.

-Nous attendons l’équipe Unionienne. Dit catégoriquement Dmitriov.

-Mais pourquoi eux? Pourquoi ont à besoin d’eux? C’est nous qui avons découvert cette Cité…se n’est pas à eux de déceler leurs secrets! S’écria un deuxième archéologue.

-En effet, mais je vous ferais remarquer que derrière les portes de ces temples, nous ne savons pas qu’est-ce qui s’y trouve, alors imaginez qu’on les ouvre et que la soudaine entrer d’air nouvelle dans cette espace scellé contenant peu être de L’air de plusieurs milliers d’années, détruise des peintures antique, des fresques magnifique ou des objets artistique fragile qui se réduiraient en poussière au moindre courant d’air!

Une spécialiste en œuvre d’art ancien poussa un crie d’horreur.

-Il nous faut l’équipe de l’Union, durant toute les fouilles, ils se pourrait que la merveilleuse conservation de ces ruines puisse les aider dans leurs propres fouilles. Mais se qui est irréfutable, c’est que leur présence aidera sûrement nos propre fouille.

La Sûreté fût avertie par les voie habituel qu’un attaché des Services Secret Jadéen allait les accueillir et leur servir de couverture pour masquer à l’équipe archéologique Jadéen et aux militaires non officier la véritable nature de l’équipe Unionienne.

Un patrouilleur des forces d'Hydra et une barge lourde arrivèrent en orbite, avec une équipe d'une vingtaine de spécialistes de la Sûreté, et une trentaine d'archeologue de haut vols, préalablement débriefés bien entendu. Tandis que ces derniers étaient habillés avec tout les vêtements de campagne pratique, ainsi que le matériel hautement sensible, tandis que les hommes du service spécial étaient pour moitié en uniforme gris sobre, pour moitié en combinaison de technicien spécialistes. Ils emportaient des équipements mystérieux, au sujet desquels leur chef, le colonel Istvan Nòrdary, au regard un peu méprisant, et apparemment assez autoritaire, ne disait mot, et refusait tout commentaire. Mais heureusement les jadéens traîtaient avec sa seconde, de rang inférieur, la lieutenant Helen Spakh, accréditée comme tech., qui elle tranche par son uverture d'esprit, amabilité et humour, tout en disant qu'elle ne pouvait malheureusement rien dévoiler de leur rôle. Enfin, cinq hommes d'infanterie de marine surveillaient le site avec les gardes jadéens.

Les équipes d'archeologues se mirent au travail, en préparant les ouvertures, et comparant avec les données (autorisées) ramenées. Les hommes de la sûreté établirent un petit baraquement, où ils commencèrent à installer les instruments.

Dmitriov alla à la rencontre de l'équipe Unionienne.

-Nous avons créer un groupe qui partira en exploration dans la deuxième galerie en dessous de nous. Il s'avère que les structures dans les parois rocheuse de cette galerie soient des passages qui mène vers la deuxième galerie. Elle est apparemment beaucoup plus grosse que celle-ci...soit à peu prêt de 2000 mètres de long et 800 mètres de large...une très grande galerie. Je voudrais savoir si des membres de votre groupe veulent faire partie du groupe d'exploration. De plus, mon équipe de Linguiste aurait voulut savoir si vous aviez trouvé des inscriptions de la même nature que sur les portes de ces temples...il serait interressant de savoir se qui se trouve à l'intérieur.

Les hommes de l'expédition de l'Union arrivent, avec à leur tête la très aimable H. Spakh, et un techno-officier de la sûreté, un certain Vilmos Casimir, comte de Hunyad. Avec de lourds équipements, ils étaient prêts à analyser tout ce qui leur tomberait sous la main. Deux officiers d'infanterie de marine accompagnaient aussi, aidant à porter.

Dès la première entré dans la deuxième galerie, on remarque immédiatement qu'il s'agit de la ''ville''. La galerie faisait prêt de 80 mètres de haut et s'étalait au loin par près de 2 km. La galerie était parsemé de bâtiment de toute sorte, collé les uns aux autres. C'était un véritable fouillis de bâtiment minuscule aux plus grand. Une véritable Cité quoi. Au centre de la Galerie, on pouvait remarquer la présence d'un plus gros bâtiment, beaucoup plus gros que les temples dans la première galerie. On déduit que c'était sûrement une sorte de palais ou le siège des autorités de la Cité. Comme dans la première galerie, tout est presque intact et très bien conservé. Au loin, des rayons de lumières éclairait la Cité. Ceux-ci provenait de trou créé dans la montagne et laissait passé la lumière du soleil.

On commenca à installer un système d'éclairage, ainsi que les équipements un peu partout. Pendant les heures qui suivirent, on découvra la présence sur les toits des bâtiments des vestiges de jardins et de culture, révélant ainsi aux archéologues la source de nourriture de la Cité. Dans quelques heures, une équipe complète allait entrer dans le palais.

[HRP]Ferais éventuellement le MJ ce week-end, mais cet an ci j'ai trop à faire désolé, j'arrive déjà tout juste à suivre les topics déjà en cours, au nombre de 3.[HRP]

» Base Navale des îles Pénélopes
» Ile Kalinyn, Archipel équatorial de Svomenstolkov.