Ruines de Baak'Alkan

Les ruines sont un ensemble d'étranges constructions en pierre situés dans la partie sud de la péninsule de Baak'Alkan. Découverte il y a à peine dix ans, elles étaient totalement dissimulées au milieu de la jungle hostile de la péninsule, habitées par des animaux dangereux, comme des tigres à dent de sabre reconstitués, des reptiles sauteurs d'une vivacité terrifiantes, et des paresseux herbivores géants aux griffres redoutables, en plus des divers prédateurs "normaux" de toute jungle; des moustiques jusqu'aux redoutables Boa Constrictor Alttorianensis, en passant par les crocodiles, les sangsues géantes longues de près de quarante centimètres. Les ruines elle-même semblent taillées pour la taille humaine, avec des pyramides à degrées rappellant de façon troublantes celles d'amérique centrale sur Terre avant que la compagnie de BTP Mexica-Concrete ne fasse de tout le coin un parking pour ses hôtels, avec des édifices de granite haut de près de soixante-quinze à cent-cinquante mètres- alors que toute la région est dépourvue de granite, et a un sol calcaire qui est saturé d'eau -, parfois nue, parfois recouverte des arbres et lianes de la forêt. Des immmenses pavages sont encore visibles par endroit au sol, tandis que d'interminables couloirs s'enfoncent à l'intérieur...
Cette impression de malaise qui prend quiconque pénétrant dans le secteur est encore accentuée par la certitude d'être seul au milieu d'une jungle inextricable se poursuivant sur des centaines de kilomètres jusqu'aux prochains endroits habités, les baraques des mines de diamants des compagnies skeïbs et alttoriennes.

[HRP]Lancement du RP dans le post suivant.[HRP]

Les voltigeurs Anti-G de l'expédition Alttoriano-krypto-arkilienne apparurent dans le soleil couchant, arrivant depuis l'ouest, au dessus de l'épaisse jungle de Tlaak. Ils effectuèrent une élégante boucle, en cherchant un endroit où se poser. Le coin n'avait pas été prévu pour, mais on se fiait à la fois aux véhicules tout-terrains, des modèles militaires à l'origines, reconvetis pour l'usage civil, et sur les relevés de la dernière expédition, qui marquais quelques espaces herbeux sans arbres. C'était en effet le cas, quoique les espaces étaient moins grands que prévus. On se posa tout de même, et vida rapidement les bagages des premiers appareils, pour leur permettre de rapidement décoller, et laisser la place à l'autre moitié. Finalement, à 19H35, heure de Katras, les voltigeurs étaient de nouveau à l'horizon, s'éloignant. Jelena surveillait l'établissement du camp, avec une efficacité témoignant d'une longue expérience; ils était installé au bas d'une des pyramides, qui, noire, sans végétaux, se dressait comme un témoignage de perfection mathématique dans ce monde chaotique de la jungle.
Le camp comptait une quinzaine de tentes solidement soutenues par des piquets en duranium et de membrures anti-G. On avait allumé les condensateurs et les cellules à énergie, et allumé les ventilateurs, qui furent accueilli comme une bénédiction; il faisait 38°C à l'ombre, l'air était étouffant, et les moustiques pulluaient. Plusieurs plongeurs de Laura affichaient une mine accablée, et elle-même n'en menait pas large. Les hommes de l'équipe provenant de Kemel étaient couverts de traces de piqures après suelement une heure, et seule l'équipe de Jelena, provenant de Syree, semblait supporter la chose chez les Alttoriens.
Finalement, elle convoqua les autres chefs, Adjakellons, Vliaçi, les krypto-arkiliens, pour préparer les premiers développement du lendemain. On allait diviser le travail; près du camp seraient installés, à l'intérieur d'un hall de pyramide, au frai, les laboratoires d'études, où seraient analysés échantillons, classés les découvertes, et stockés les ordinateurs. Cet endroit était vide, et sans aucun accès vers l'intérieur de la pyramide, et sauf contre-indication, il était parfait. Les premiers sites à voir seraient autour des quatre pyramides centrales, de l'Estrade - une sorte de plateau surélevé entourés de rangées erratiques de gradins -, et les Tours, les quatres contructions hautes de vingt mètres et arrondies au sommet, situées à un petit kilomètre du camp. Pour l'instant, aucun des endroits n'avait réellement été exploré, il faudrait donc mener des reconnassances poussées avant de se décider exactement oùcreuser ou chercher.

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Les ktypyo-arkiliens suggérèrent de mener en premier lieu une reconnaissance dans ce hall ainsi que sur les façades extérieures, il y avait des chances que l'on puisse avoir une idée de ce que l'on trouverait à l'intérieur si les populations locales avaient apposés des inscriptions au dehors. Enfin une tentative de cartographie préliminaire à l'aide de capteurs soniques serait peut-être une bonne idée.

Au camp on se préparait lentement. Certains jeunes chercheurs et assistants avaient pris la liberté d'apporter leurs fusils de chasse et pistolets après avoir pris connaissance de la nature du coin. Cela allait du Q15 au MAA-P7 en passant par l'APG-2 et des armes à impulsion magnétique réalisées par des armuriers locaux d'Arkilia et Kryptonn. On pouvait même trouver un superbe Steinfluss und Loffsen (S&F) modèle 2567.

On envoya donc des équipes dans les premiers lieux de travail. Mais Jelena avait bien dit que justement le problème de l'endroit était l'absence totale d'inscriptions; les parois présentaient des motifs abstraits, d'une grande beauté certes, mais qui relevaient de la décoration et non de l'écriture selon toutes probabilités. L'intérieur du hall était du même ordre; haut de huit mètres, profond de quinze, et large de sept, ses murs étaient totalement lisses, atteignant un niveau de perfection difficilement imaginable. Après avoir fait chou blanc dans cette salle, on commença à y installer les machines pour les abriter de la chaleur et de l'humidité excessive de l'extérieur.
Quant aux capteurs soniques, ils fournissaient une plutôt bonne image des lieux, mais la jungle faisait rapidement diminuer leur efficacité avec la distance, il fallut donc avancer en les portant sur de longues distances avant d'avoir une carte des quelques kilomètres carrés qu'on allait étudier.
L'équipe Alttorienne avait aussi défait ses affaires, et commencé à planter des echosondeurs dans le sol, pour chercher d'éventuelles cavités et artefacts enterrés.
Les miliciens patrouillaient de mauvaise grâce autour du camp en racontant des blagues vaseuses et polissonnes. Le lendemain matin, on avait déjà tiré sur un paresseux géant, qui s'était enfuit prestement en poussant des cris rauques. malheureusement, l'énorme animal avait pris la poudre d'escampette dans la direction d'une équipe effectuant des relevés au pied d'une pyramide secondaires. Bilan des courses, avant que l'un des scientifiques n'arrivent à utiliser l'échosondeur comme arme, quatre blessés; deux krpyto-arkiliens et deux alttoriens, avec de vilains coup de griffes dans le torse. Les médipacs ont donc déjà étés sortis.
Enfin, dans leur tente un peu à l'écart, entre deux séances où ils sont recrutés comme auxillaires dans le transport du matériel, les plongeurs s'ennuient ferment, accablés par la chaleur lourde.
Le soir, on analysera tout ce qui aura été trouvé.

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Après les repérages habituels, l'on propose d'entrer à l'intérieur des pyramides ou plutôt de chercher une entrée. Wagram n'hésite pas à sortir sous le regard interloqué des militaires alttoriens, un FAM 1 qui avait subi tellement de modifications qu'on en reconnaissait à peine la provenance. Certains jeunes assistants qui avaient encore leur service militaire en mémoire grommelèrent qu'ils donneraient pas mal pour un Q50 chargé de balles explosives et de bonnes vieilles grenades. Quoi qu'ils en soit qui portait une arme ne tarda pas à demander conseil aux mercenaires qui donnèrent quelques trucs de bonne grâce... notamment ne pas accrocher son holster à l'intérieur de sa chemise...

Pour l'instant l'équipe impériale essayait de déterminer si ces structures appartenaient à la civilisation carcare ou isolienne/hemline. Surueil émit un avis sceptique quant à l'appartenance carcare, si c'était le cas, il n'en avait jamais vu de pareilles.

Il y avait bien quelques anées dans les pyramides, comme celle du Hall #1, mais elles donnaient toutes sur des cul-de-sac désert. Néanmoins, on finit par choisir l'intérieur, plus large, de la Pyramide du Serpent - nommée ainsi en raison à la fois des serpents rodant autour et des dessins abstraits en formes de longs traits bouclés desinés sur un large panneau de granite posé au pied de l'immense escalier cérémoniel gagnant son sommet. A mi-chemin de celui-ci, de part et d'atures des marches, deux entrées relativement larges donnaient accès à une unique chambre qui allait en se rétrécissant vers le fond. On posa là les quelques appareils de mesures adaptés à la jungle, ainsi que des capteurs, et des émetteurs de sondage.

On passa le reste de la journée à sonder, sans résultats, mais sans victimes non plus. Alors qu'on avait déjà plié bagage et emmenait les derniers équipements, l'une des membres de l'expéidtion était installée au sommet de la pyramide, à observer la jungle, lse genoux ramenés jusqu'à son menton. L'un des chefs archéologues arkilien lui gueule de redescendre donner un coup de main au lieu. Alors qu'elle est sur le point de le faire, quelque chose accroche son regard dans le "Temple", le petit édicule installé au sommet, formé d'une unique pièce ronde, vide, présente sur chacun des vestiges. D'un pas hésitant, après avoir jeté un coup d'oeil en contrebas, Judith Silberman pénètre le Temple, et fixe ce qui a attiré son attention. Un trou; large d'une trentaine de centimètre, presque dans un angle mort depuis l'extérieur, une dalle brisée du sol laissait entrevoir les ténèbres.

Tandis que l'on excluait, en bas, une origine hemline ou Isolienne, Judith dévala les marches, et annonça ce qu'elle avait découvert.

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Tout en se demandant toujours qui avait bien pu édifier de telles choses, l'on se mit à enquêter un peu plus au sujet des édicules tant sur la pyramide du serpent que sur les autres, chaque groupe était armé. L'on cherchait toujours une entrée.

On en profita également pour se livrer à une cartographie complète de l'endroit et une analyse architecturale relativement poussée, notamment sur la structure du bâtiment et des sols la supportant. À moins que ce site ne soit classé, il est probable que d'ici quelques années des prospecteurs viennent tout casser pour creuser par dessous...

Grâce aux indications de Judith Silberman, on trouve le trou dans le sol du petit temple au sommet de la PdS (Pyramide du Serpent); il mène à un couloir étroit et très sombre, qui ne devrait, selon les relevés, même pas exister. Le professeur Radusikaï Eelanon de l'université de Syree décide de mener une reconnaissance avec les arkiliens, à condition qu'il accepte, bien entendu. Laura Keflis et Sakari Eukali ont sorti leurs puissantes torches sous-marines, et se proposent également à venir, pour se changer les idées.

L'analyse globale montre que le sol est majoritaire calcaire en profondeur, quoique sédimentaire en surface - ce qui offre un excellent support à la végétation, expliquant sa profusion -, et absorbe donc facilement l'eau; on peut s'attendre à trouver de vastes nappes phréatiques sous-terraines, et à des réseaux de grottes. Néanmoins, le site semble relativement stable, et les risques déboulements souterrains nuls. Les bâtiments ont une statique qui parait simple, mais qui serait en fait beaucoup plus élaborée, notemment s'il y a des galaries indétactables à l'intérieur. en plus, la nature granitique du sol est intriguante: les carrières granitiques potentielles les plus proches sont au nord de Katras, à mille deux cent kilomètres de là, à travers la jungle et les collines, sans fleuve ni route apparente pour convoyer.

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Apparemment l'on est bon pour devoir cartographier à l'ancienne. L'équipe krypto-arkilienne accepte volontiers de mener une telle reconnaissance, on sort également de puissantes lampes ainsi que des marqueurs diffusant une vive lumière bleue ou blanche grâce à une agitation de molécules gazeuses. Les volontaires n'hésitent pas à emporter machettes, pistolets, trousses médicales et appareils de mesures (avec un système de cartographie inertiel) ainsi que photographiques.

Plusieurs universitaires d'Arkilia pestaient intérieurement (et se gardent bien de s'exprimer à voix haute) de ne pas avoir plus de militaires à disposition pour explorer l'endroit.

La pettie troupe s'enfonce dans les profondeurs de la pyramide , laissant derrière elle un fil d'ariane noué à l'entrée de l'étroit passage. Ce dernier est effet à peine large de soixante-dix centimètre, et le professeur Eelanon, dont l'embonpoint est assez développé, n'a pas pu passer, ainsi que quelques autres, et le matériel lourd. Pour l'instant, on compte éviter d'aggrandir le passage. Quoi qu'il en soit, on commence par descendre trois mètres le long d'une échelle de corde, jusqu'à poser les pieds sur un sol froid et humide. De gros flocons de poussière volent, tandis qu'un animal non identifié& de la taille d'un mulot s'enfuit précipitemment, interrompu dans sa dégustation d'un gros insecte. Le couloir fait environ deux mètres de haut, et est très étroit: à peine plus large que l'entrée, il est fait en pierres parfaitement lisses et imbriquées; on n'aurait même pas pu passer la lame d'un canif entre elles. Comme toujours dans les grands systèmes souterains, on entend le bruit sourd et lointain du déplacement d'air.
Après quelques pas, la pêtite troupe tombe sur un choix entre deux passages, on prend celui de droite. Le couloir continue pendant une vingtaine de mètres, avant d'aboutir à une salle. C'est tout juste si l'homme de l'équipe impériale à la tête ne tombe pas dans le puisard qui en occupe le centre.
Il est retenu de justesse par Sakari Eukali, dont les puissants bras le tirent en arrière alors qu'il a déjà les deux jambes dans le vide. On s'arrête, et se tient à distance du trou, qui est au centre d'une sorte d'entonnoir totalement lisse particulièrement propice à faire glisser. On est tout juste en train de sonder la profondeur quand l'un des membres de l'équipe lève les yeux, pour voir un trou, obstrué. Manifestement, le puisard continuait vers la haut, dans le petit "temple" du sommet.
Quoi qu'il en soit, il est vraiment très profond. Près de 200 mètres jusqu'au fond. On n'entend même pas toucher le sol au galet lancé par un alttorien. Il faudra passer par l'autre chemin si l'on veut arriver quelque part...

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Un membre de l'équipe impériale lâche une petite lampe clignotante raccordée à une batterie, si d'aventure on arrive là en dessous cela devrait aider à retrouver l'endroit... Le groupe rebrousse chemin vers le passage de gauche, en étant plus attentif cette fois ! Plusieurs mesures sont effectuées notamment le taux d'humidité de l'endroit. Il est en effet suprenant que l'on ne puisse distinguer aucune trace d'attaque de l'eau, surtout avec un tel environnement. Dehors on cherche toujours s'il existe d'autres entrées...

On poursuit les recherches autour de la pyramide, mais on ne trouve rien de plus large qu'un pouce comme trous.

A l'intérieur, on a rebroussé chemin, jusqu'à l'autre direction du couloir. Prudemment, on avance donc dans ce sens, pendant une cinquantaine de mètres, jusqu'aux premières marches d'un escaliers. Là, les détecteurs d'humidité indiquent que ce qui est apparent: de la mousse couvre lesdites marches. On descend donc, et essayant d'éviter de glisser. Plusieurs insectes blafards fuient loin des lumières. Cela dure pendant quelques minutes, jusqu'à un palier, où le plafond montre des signes de fissures. Au-delà du palier, l'escalier n'en est plus un. C'est une rampe assez abrupte. Prudemment, on jette une corde indéchirables, et quelques scientifiques intrépides, escortés d'un milicien et de Keflis, se laissent doucement descendre le long d'une pente mousseuse à plus de 45°. A part une frousse monstrueuse d'une Alttorienne à la vue d'une araignée de vingt-cinq centimètres de long, rien à signer, jusqu'à l'arrivée en bas, après un dénivelé de quizne mètres. On devrait être à peu près au milieu de la pyramide. C'était un grand palier, au plafond haut...mais tout les murs étaient couverts des premiers symboles vus sur ce site: des personnages tordus et étranges, des traits tordus, des bas-reliefs... C'était une trouvaille exceptionnelle.
Par contre, la descente continuait, avec une nouvelle rampe. Et l'humidité se faisait plus forte.

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Une fille plus aventureuse que le reste du groupe et se vantant fièrement d'écraser des araignées depuis toute petite en réaction à la mine effrayée d'un jeune citadin d'Arkilia, descend jusqu'au palier afin de rapporter quelques images. Plus haut, on essaye d'évaluer l'ampleur des fissures, comment l'on pourrait sécuriser le passage et éviter que cela ne s'effondre et bloque tout le monde. La fille répondant au nom de Zoïa Sevrignac avait également apportée avec elle une lampe torche à haute puissance, afin de voir jusqu'où cela pouvait bien descendre...

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Le personnel resté en surface, héla pendant plusieurs minutes ceux qui étaient descendus, l'absence de réponse leur faisait craindre le pire d'autant plus que l'un des alttoriens douteux certifiait avoir aperçu une étrange Bikeuse dans les environs. Tout le monde se demandait également quel pesticide permettait de se débarrasser de tels moustiques.

[HRP]Autant pour moi, j'étais fermement convaincu d'avoir répondu sur ce topic. [HRP]

L'éclaireuse dépassa la salle aux inscriptions, et, passant par la rampe à la mousse, avait déjà parcouru une dizaine de mètres lorsqu'elle dérapa: seule la corde la sauva, et elle se retrouver à pendre, le nez contre un insectoïde blafard qui disparut l'instant d'après. Prudemment, elle continua encore, jusqu'à trente mètres sous le niveau de la salle aux inscriptions, soixante-six sous le sommmet, pour arriver à une vaste pièce, toute en longueur, où le plafond avait cadé en plusieurs endroits, révélants les pierres de la construction, de la boue séchée brisée, et du sable. Le fond était presque entièrement obstrué, et, meêm avec sa taille fine, elle ne aprvint pas à se glisser dans le minuscule passage d'où l'on sentait provenir un courant d'air. Il faudrait ramener un peu de matériel pour dégager le passage: des bêches et une bonne dose de patience. A moins de tenter de descendre en rappel le profond puit.

Pour l'instant, le seul vrai remède contre les insectes était la tapette. Et dieu sait qu'il en fallait une grosse.