Hegemony Dans un univers troublé, l'avenir de la galaxie et de la race humaine vous appartient |
|
| [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés | |
| | Auteur | Message |
---|
Amian Ae Saster Initié
Nombre de messages : 222 Localisation (en RP) : Les genoux de Mr Benta Date d'inscription : 21/12/2010
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: 2000
| Sujet: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Dim 19 Juin 2011 - 16:20 | |
| Le boulevard des fusillés. Avenue centrale de Nouvelle Séoul, on avait gracieusement offert à l’UDEA un grand local. C’était un autre monde par rapport à celui de Nouvelle Tokyo. Un consortium public avait décidé de rassembler plusieurs antennes de la Mairie dans un grand bâtiment unique. Il avait ainsi proposé de le reprendre à différentes grandes enseignes du commerce. Au final c’était une chaine de restauration qui avait remporté la mise, vous l’avez deviné, celle de Suna. Quelques mois s’étaient écoulés depuis sa promesse de sortir l’artillerie lourde. Les opérations commençaient. Et une femme dans chaque port, pardon, un restaurant dans chaque grande ville, en était l’un des premiers pans. Le bâtiment était grand et spacieux. Si Suna s’était réservé les deux premiers étages, qui abritaient cuisine, grande salle, mais aussi quelques chambres il avait laissé le troisième – et l’ascenseur ainsi que son hall au rez de chaussé à l’UDEA.
Le déménagement était stratégique. On baissait la pression sur Nouvelle Tokyo, qui était déjà durablement acquise à divers partis, et où l’UDEA avait déjà sa place et son audience, et où Amian restait d’ailleurs. Mais on s’attaquait à la seconde ville du pays, dont la plupart des électeurs étaient des jeunes étudiants, qui changeaient donc, par définition souvent. L’ULD semblait en avance, mais c’était relativement vague. Le Parti mère étant en effet assez loin des préoccupations quotidiennes des habitants de cette cité. Bref, un cœur était à prendre. Et on sait que l’attention est primordiale. En localisant son siège officiel à Nouvelle Séoul, le message était lourd de sens.
On savait pertinemment que le statu quo serait maintenu dans la capitale, mais on savait aussi que l’ULD allait livrer un énorme combat qui épuiserait beaucoup de forces pour s’emparer de la troisième ville du pays (Himeji ?) face à son rival. Amian savait pertinemment que l’UDEA n’était pas de taille et n’avança donc pas ses pions dans ce secteur. Nouvelle Kobé par contre allait être courtisée. Il y avait moyen de capter pour longtemps une part des électeurs en y effectuant un travail de longue haleine. A vraie dire, on la sentait promise, mais il faudrait plus de légitimité, et donc de meilleures relations avec l’EKA pour s’en emparer définitivement. Les Universités de Séoul I, IV, V, VIII et IX s’était montrées intéressées pour accueillir, ou du moins créer des partenariats avec des sociétés, ou autre universités étrangère. Les autres universités étaient soient vouées à l’ULD, soit plutôt tournée vers des sciences abstraites, d’art et de littérature, qui n’avaient pas réellement d’intérêt pour des collaborations de type industriel. D’ailleurs, le manque criant de logement étudiant avait assez choqué Li Wei, qui poussa pour qu’on force sur ce sujet dans les joutes qui allaient venir avec les élections. Malheureusement, elle aussi était bloqué à Nouvelle Tokyo, dans le Nord. Suna et son groupe de restauration devraient donc trouver un nouveau cadre. Mais là était tout l’art, sur cette magnifique avenue, on pouvait enfin trouver un restaurant totalement accessible, accessible aux budgets étudiants, étudiants qui sans doute retiendraient le nom. La tactique était rodée, on savait que ça marcherait, encore fallait-il maintenant que les gens acceptent le message de l’UDEA.
Et pour Krypton, s’était aussi un problème de légitimité, on l’avait compris très tôt dans les entrailles du nouveau parti, mais ceci n’était que des négociations informelles, quant à ce qui pourrait se faire rapidement, l’UDEA pourrait jouer un rôle de trait d’union entre les universités Aunadariote et Kryptonne, quelques compétitions sur des drones spatiaux ou divers programmes ne nécessitaient pas forcément une grande légitimité politique, mais pouvait être marraine et prometteuse de nombreuses choses. Pour ce qui était des armures, on parlait bien évidemment de sous-traitantes. Il y avait des tas de pièces communes entre les Aunadariotes et celles de l’EKA, autant les standardiser, il semblait bien que de toute façon, on exporterait très difficilement, d’un côté comme de l’autre, des armes aussi importantes à d’autres nations souveraines. Pour créer des réels partenariats entre les entreprises privées, il fallait paradoxalement avoir plus de pouvoir public, c’est ce qu’Amian avait décidé d’expliquer aux entrepreneurs, sous-entendu « Envoyez moi l’ascenceur, je vous tirerai vers le haut ». Il n’avait pas le credo qu’avaient certains partis ultra souverainiste. Il fallait pour les relations avec Vands trouver une ligne directrice. Certains souhaitaient une ligne dure, mais c’était la ligne proposée, et avec quel succès par tous les partis déjà en place, dès lors Amian était plus circonspect.
Toutes les grandes villes auraient désormais droit à leur antenne de l’UDEA, les adhérents du compte AAE étaient encouragés à s’organiser, avec le soutien financier si nécessaire du parti.
On appelait les Chefs d’entreprise aussi à se regrouper pour discuter avec l’UDEA, pour voir ce qui pourrait être fait comme partenariat. Des propositions des deux partis étaient appelées.
Mais ce soir, c’était une soirée tranquille, un petit film au ciné, en compagnie de la plus sympathique des serveuses de Suna. Quatre messages de retard.. C’était trop.
| |
| | | Chronos Administration
Nombre de messages : 2775 Age : 1024 Localisation (en RP) : Dans les limbes du temps Date d'inscription : 09/12/2007
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: Infini positif
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Mer 22 Juin 2011 - 13:00 | |
| Suna avait du se battre pour trouver de quoi réaliser des emprunts et deux mois de pratique dans ses petits locaux appuyés d’un plan financier en béton avaient permis de convaincre une banque jadéenne de placer sa confiance en lui. Nouvelle Séoul et ses universités étaient une cible de choix et Suna.
Sur le plan politique, l’on nota une réorganisation des cellules jeunes de l’ULD à Nouvelle Séoul à l’arrivée même de la contradictions, le style devint une efficace, et les structures furent rénovées pour plus d’efficacité en terme de communication et de gestion des effectifs pour des manifestations, l’organisation de conférences invitant des personnalités ou non. De manière générale, tous les grands partis se remettaient en ordre de bataille, et les réorganisations au sein de l’ULD rendaient les autres plus agressifs, comme s’il s’agissait d’une preuve qu’Amian représentait une menace sérieuse.
Les sections locales, pleines de bonne volontés, se cassèrent souvent la figure dans un premier temps pour des raisons de mauvaise gestion, financière notamment. Des villes mineures connurent des cas de fraudes de leurs trésoriers.
En terme de partenariat d’entreprise, certains nouveaux du partis faisaient remarquer que c’était prêter le flanc à des critiques d’affairisme et renvoyer une image de collusion, d’autant plus que le président laissait entendre que les élites actuelles étaient corrompues et... Vendues à de grands groupes, étrangers parfois. Plusieurs moyennes entreprises en revanche étaient intéressées et appuyaient l’UDEA avec leurs moyens financiers, ou plus particulièrement des cellules proches de leurs zones industrielles. Il en allait de même pour plusieurs fermiers. Le parti était par contre mal accueillis auprès des marins pêcheurs, très favorable aux partis militaristes et à la préservation de leurs zones de pèche.
Niveau actualité un vol informatique avait eut lieu à New Tokyo. Une grande surface avait été littéralement braquée, les comptes en banques de treize clients vidés d’un seul coup en plus des caisses du supermarché. Il y en avait pour vingt-cinq millions de pertes. À l’assemblée l’on tempêtait et exigeait un renforcement immédiat des mesures de cybersécurité. D’autres critiquaient l’informatisation excessive des magasins, présumée empêcher les braquages à main armée.
Carla quant à elle n’avait rien retenu du film, qui s’avéra être un navet, et dormit sur l’épaule d’Amian pendant presque tout le long. | |
| | | Amian Ae Saster Initié
Nombre de messages : 222 Localisation (en RP) : Les genoux de Mr Benta Date d'inscription : 21/12/2010
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: 2000
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Ven 24 Juin 2011 - 16:47 | |
| Décidément, on était tranquille absolument nulle part. Enfin si, on était absolument tranquille quand on s’ennuyait, ça, ça ne manquait jamais. Mais pour peu que vous ayez des obligations, il était certains que certains autres allaient avoir besoin de vous. On appelle ça la loi de l’emm.. euh non, rien. Je m’enflamme.
En tout cas, c’est ce qu’Amian avait dû ressentir en sortant du Tribunal. Il assistait au procès d’un des trésoriers verreux de l’UDEA. Le principe était simple, le mouvement, portait plainte, et affichait une liste bien visible avec les noms des membres exclus du groupe, avec le motif inscrit en vrai. Officiellement, dans une raison de transparence. Officieusement c’était censé couper les ailes des futurs potentiels petits malins qui voudraient se servir dans le pot commun. Chose d’autant plus iniques, qu’une bonne partie des fonds étaient issus des poches d’une population loin d’être aisée. L’UDEA avait d’ailleurs évité de trop s’attarder sur les petites villes, ne possédant pas assez de cadres impliqués pour pouvoir fournir une multitude d’antennes à travers le pays. Le coup de téléphone émanait d’ailleurs de l’un de ces cadres plutôt fiable, une histoire de petite fleur à la rosée, Li Wei, qui voulait une meilleure définition de la politique. Les conseillers s’écharpaient entre eux, et personne n’était conscient de ce qu’il fallait faire. Dans ce cas et dans ce cas seulement on demandait l’arbitrage du jeune Caucasien. Ici la principale cause du chaos intellectuel, était la politique vers les entreprises, ou plutôt le ressenti qu’en avait certaines personnes. La réponse ne fit pas un pli.
- On mécontentera toujours les démago ! Qui aujourd’hui peut vouloir bâtir une société moderne sans tendre la main à l’emploi réel, à l’industrie ? Alors qu’ils parlent, pendant ce temps-là, nous agissons. Et même si nous venions à perdre, « les bonnes personnes savent », donc cela ne nous reviendrait pas dessus comme une lame de fond version boomerang. Le ton n’appelait pas de réponses. Pour le premier venu ça aurait pu paraître moyen, voir méchant, mais les gens s’y habituaient. Dans son académie militaire, on avait toujours appris aux élèves à parler de cette façon, et ce sont des choses qui ne s’oublient pas. De plus, ça avait le mérite d’éviter des vains débats quand une décision était déjà prise. Alors on continuerait à travailler avec les entreprises, et eux ils continueraient à écrire.
Il profita de la pause involontaire pour consulter sa boîte mail, son NTCom, toujours aussi efficace – et fournit gracieusement au nom d’une campagne de publicité déjà oubliée par beaucoup- lui vola tout de même un soupir… Encore une fois, des antennes se cassaient les dents, encore une fois on lui demandait d’agir.. Et comme inlassablement, il répondait « Ecoutez, ce ne sont jamais les mêmes qui font les erreurs, c’est une façon d’apprendre. Nous sommes un mouvement jeune, et ce n’est pas en bridant nos membres les plus motivés que nous ferons la différence. » passé ce message, il envoyait divers appels aux cadres réputés comme sages dans les villes concernée, et demandait des explications. On avait décidé de recruter quelques vieux singes pour éviter les erreurs primaires. Il était encore trop tôt pour déterminer si oui ou non le plan avait été efficace. Nonobstant ceci, un autre message fit monter l’adrénaline d’Amian. Non, on ne l’invitait pas à s’engager dans les troupes de choc, où à passer une nuit avec Joy Lamera, une superbe Kryptonienne, mais on l’avertissait que l’ULD battait le rappel. Intérieurement, il pensa qu’ils battraient bientôt la retraite. C’était là la drogue de l’Ingénieur d’Affaire, les joutes politiques, pour peu qu’elles soient un minimum loyale. Il était conscient de sa supériorité oratoire sur la plupart de ce que pouvait lui confronter l’ULD, et prenait donc d’autant plus de plaisir à préparer longtemps à l’avance un combat qui semblait primordial autant qu’inévitable. Lui aussi décida de battre les rappels pour toutes les sections d’importances de l’UDEA. On cherchait des orateurs charismatiques, ou plus globalement des encartés motivés, pour préparer une guerre totale à Nouvelle Séoul. On se battrait pour chaque maison, on se battrait pour chaque âme. Les rafales, bien plus meurtrières que celles de morts étaient ici de mots. Nouvelle Séoul serait une arêne de plus, « regardez bien, y en aura pas pour tout le monde ».
Cela lui rappela la phrase clef du film qu’il avait vu avec Carla. Un navet en effet, qui racontait l’épopée quasi mystique d’un guerrier déchu, protégeant son impératrice sur un radeau que la Frégate « La Méduse » n’aurait pas renié comme son fils, contre divers vils dangers, au premier rang desquels, lui-même. Une horreur pseudo intellectuelle. Ca ne valait pas le superbe match qui avait opposé les Phoenix de Nouvelle Séoul aux Bushido Beliefin de la petite ville de Karu, en coupe d’Aunadar. Les Bushidistes avaient vaincus, après avoir été dominé dans tous les aspects du jeu, sauf un, l’âme.
Le capitaine, un inconnu, même mené de trois buts à zéro, contre un club jouant huit divisions au-dessus, rameutait toujours ses troupes, et le miracle c’était produit. Chaque balle, chaque centimètre, chaque duel joué était devenu un calvaire pour les Phoenix qui avaient vu leur belle avance brûler, brûler jusqu’à ne pas renaître. Les prolongations avaient été terribles, notamment pour les amateurs dont le niveau d’entrainement physique moindre ne leur épargna pas des crampes. Les tirs au but, toujours aussi fantastiques de grandeur et de profonde humilité avaient délivrés leur verdict, quand le fantastique latéral droit des Phoenix avait vu sa Panenka s’écraser sur la barre. Amian, comme de nombreux spectateurs du film, n’avait rien raté de cette prolongation et de cette séance magnifique de tir aux buts. Il s’aperçut d’ailleurs que le film était terminé, et qu’ils n’étaient plus qu’une grosse trentaine clairsemés dans la salle, relevant tous les yeux d’un petit écran qu’ils portaient, qui à la taille, qui au poignet. On vivait un rêve éveillé.. Et l’UDEA devrait faire de même, Amian en donna les consignes et en donnait déjà les consignes dès qu’il le pouvait. On avait moins d’argent, moins de compétence même. Mais jamais au grand jamais on ne pourrait enlever la motivation et l’envie à des hommes qui croyaient en leurs idéaux. Dans l’histoire de l’humanité, ces personnes avaient soulevées des montagnes face à des forces souvent bien plus puissantes. En guerrier magnanime, il faudrait retenir les coups, pour épargner ces tristes victimes, à regret s’armant contre l’UDEA.
| |
| | | Chronos Administration
Nombre de messages : 2775 Age : 1024 Localisation (en RP) : Dans les limbes du temps Date d'inscription : 09/12/2007
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: Infini positif
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Mar 28 Juin 2011 - 13:17 | |
| Lentement, l’illusion prenait chez beaucoup. Les gens qui savent sont au courant, l’on agit quand bien même que l’on ne gouverne pas. Et certains finissent par croire dur comme fer que c’est possible, même quand ça ne l’est pas.
Dans plusieurs villes, des chefs d’entreprises et des notables avaient ouverts leurs propres sections de l’UDEA et géraient la chose plus ou moins efficacement, mais généralement mieux que les jeunes motivés. Ces entrepreneurs et petits industriels étaient également.
Le recrutement de vieux singes fit son effet, même si pas mal d’entre eux étaient trop vieux et n’amenaient rien de bon, d’autres étaient des espions. Li Wei en congédia plusieurs et en intoxique certains, elle décida d’envoyer ses propres éclaireurs à l’ULD histoire d’obtenir des transfuges mais rien ne vint, et Benta San n’avait semblait-il pas l’intention de bouger d’un iota tant qu’il n’était pas certain d’obtenir le plus possible et encore, cela n’était pas assuré.
Par contre si l’on s’armait contre l’UDEA, ce n’était certainement pas à regret, beaucoup de prébendes et de commissions étaient en jeu et à ce niveau là c’était pas de quartier. Et il s’agissait de la même chose sur le plan des idéaux.
Devait venir un temps mort de cinq semaines, avant le début effectif de la campagne pour les communes. L’on fourbissait ses armes, et... L’on avait un peu de temps devant soi, histoire de recharger les accus et de se concentrer sur le travail parlementaire, si on en avait vraiment envie... | |
| | | Amian Ae Saster Initié
Nombre de messages : 222 Localisation (en RP) : Les genoux de Mr Benta Date d'inscription : 21/12/2010
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: 2000
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Lun 11 Juil 2011 - 17:39 | |
| Au final Suna avait su être très convainquant ; et on avait lancé une nouvelle rencontre avec les adhérents, dans son restaurant. L’audience était jeune, comme toujours à Nouvelle Séoul en fait, quelques invités étaient des cadres d’entreprises, mais l’immense majorité était composée d’étudiants ou de jeunes travailleurs. L’atmosphère était détendue, et le premier intervenant, issu du sérail, avait surtout eu à tirer à boulet rouge sur le malaise entre la génération montante et celle déjà en place, Amian eu à faire à un auditoire visiblement d’accord, et hochant vigoureusement la tête à chaque bordée envoyée par le premier orateur. « - J’ai bien aimé ce discours, il me rassure quant à vous, j’ai l’impression de voir des gens qui ont envie, j’ai l’impression aussi de voir des gens qui croient en un message. Et bien je suis fier de vous parler alors. Parce que si je suis ici aujourd’hui, ce n’est pas spécialement pour parler d’éducation ou quoi que ce soit. C’est pour vous parler d’un constat que je fais. De nombreuses personnes pensent qu’il y a peu ou pas d’évolution possible dans l’état où nous sommes. Qu’il n’y a plus que de petites réformes à faire. Mais quel est ce projet, quel est cet avis, qui sont ces gens ? Du scepticisme, voilà ce que l’on nous propose, au petit déjeuner, au midi et le soir. Je n’y crois pas personnellement. Nous devons tous nous lever, nous devons tous ensemble dire « stop » à ces sceptiques ; et travailler ensemble. Non pas pour gagner notre petite vie, non pas pour se préparer une belle retraite, mais comme nous l’avons toujours fais dans notre culture, pour faire progresser notre civilisation car elle en a besoin. Il est faux de penser qu’Aunadar est arrivé au bout du chemin. La seule chose qui nous manque c’est un peu de motivation. Nous avons la capacité industrielle et scientifique de faire plus, mais certains ici, que j’appellerais les « statukyste » prônent le statu quo, et sont comme un kyste pour l’évolution de la civilisation. Une infection parasitée. Je ne vous promets pas que cela sera facile, je ne vous promets pas non plus le succès, mais je vous promets que je n’arrêterais pas tant que nous n’aurons pas réussis, vous, nous, Aunadariote, à hisser plus haut notre pays. Nous avons besoin d’être indépendant politiquement, nous avons besoin de donner du rêve, un objectif commun à notre population, nous avons aussi besoin d’éviter les mises sous pression des autres états.Par quoi passent ces objectifs ? Par l’éducation du peuple, en premier lieu, lui donner l’envie d’agir pour son prochain, pour son état et pour sa patrie. Il faut qu’il se sente redevable vis-à-vis de la patrie, c’est-à-dire, en premier lieu qu’il y ai équité entre tous les citoyens. Alors en effet, les frais d’inscription des universités devront être sois compensés par des bourses, réellement, pas par copinage, ou sinon il faudra plus se lier à nos entreprises, pour qu’elles prennent en charge le financement de certaines choses que nos étudiants financent aujourd’hui. Ca passe aussi par une certaine forme de patriotisme économique, par le fait de conserver nos meilleures têtes sur Aunadar, et d’attirer les étrangers, d’expliquer au peuple pourquoi parfois nos productions sont plus chères que celles des étrangers. Nous devons bâtir notre avenir, main dans la main avec tout le monde. Et ce n’est pas en nous cachant dans notre tranchée, car nous avons peur que le voisin nous attaque, que nous ferons rêver notre peuple. Alors nous devons aussi tendre la main aux Vandsiens, s’en faire des alliés fidèle sur lesquels nous pouvons compter pour grandir, et pas des gens dont on se méfie. Ça passe aussi par une ouverture intellectuelle à tous les acteurs qui se présenteraient à nous, sans rester dans ces clivages politiques qui n’ont au fond qu’une réalité d’intérêt pour certains dirigeants de certains conglomérats industriels dans des pays qui ne sont même pas les notre.
Alors aujourd’hui je dirais aux sceptiques, aux cyniques, et à tous ces gens que nous pourrions qualifier en –ique, que moi j’y crois. Ils me traiteront de rêveur, de démago, de tout ce que vous voulez, mais j’ai la foi, et j’ai la motivation, donnez-moi les outils, je ferais le travail. Que dis-je, nous avons les outils, alors faisons le travail. Et ne croyez pas que nous ayons besoin d’être élu pour agir. Tous les jours il suffit de s’investir totalement dans nos tâches, d’améliorer notre travail. Nous parlons de qualité, oui, de travaux, oui, mais surtout de volonté. L’UDEA est actuellement uniquement un fondement idéologique, nous tendons la main à tout le monde, nous ne sommes pas là pour gagner de l’argent, nous sommes là pour faire progresser l’état." | |
| | | Chronos Administration
Nombre de messages : 2775 Age : 1024 Localisation (en RP) : Dans les limbes du temps Date d'inscription : 09/12/2007
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: Infini positif
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Mer 13 Juil 2011 - 21:44 | |
| De nombreuses grandes entreprises approuvèrent les remarques d’Amian sur l’appui privé aux formations professionnelles. Suna, connaissant les avantages, jubilait à l’idée du futur qui s’annonçait en cas de victoire de son ami. Une main d’oeuvre de jeunes devant dix ans de travail à leur bon patron et qui à l’échéance, pourraient être remplacés par de nouveaux jeunes diplômés. Sur un plan strictement personnel, il ne dit rien et son silence était lourd de sens.
La réponse arriva par des canaux indirects, dans une tribune d’une journal politique jeune de l’agence Nouvelle Vague, le tout amicalement soutenu par NT-Com.
- Citation :
- Hier, le Robin des bois de la république, héros des opprimés et pseudo laissés pour comptes, donnait un de ces débats collectifs que nous lui savons gré d’organiser dans notre ville universitaire très active de Nouvelle Séoul. Ils ont le mérite d’apporter le débat politique dans les universités à un niveau encore jamais atteint. En cela l’UDEA, en bon parti d’opposition, est parvenue à un excellent résultat là où de nombreux avaient échoués, en jouant essentiellement sur la popularité de son président et sur un discours généralement simple mais efficace. Mais le petit kyste, méprisable asiatique que je suis, souhaiterait malgré tout discuter du contenu de toutes ses fameuses “propositions”.
Le reste de la société en général et le gouvernement en particulier, bref, tout ce qui n’adule pas Amian Ae Saster serait donc sceptique et opposé à toute forme d’évolution ? Mais que fait alors le gouvernement depuis quatre ans dans l’étude et la planification d’un accès facilité aux implants cyborgologiques à moindre coût pour la population et sans danger médical pour celle-ci ? Que fait le gouvernement lorsqu’il promulgue la loi sur les chambres de commerce destinées à appuyer la création d’entreprises par nos provinces ? Que fait le gouvernement lorsqu’il protège nos entreprises stratégiques et appuie les progrès de toutes dans le cadre du commerce international pour le plus grand profit de la République ?
Monsieur Saster appelle une plus grande indépendance politique ? Peut-être pour cela devrions-nous déserter les assemblées internationales que nous fréquentons pour nous donner l’illusion que rien ne s’y déroule ? Peut-être devrions-nous rejeter nos alliés de toujours au profit de gens se prétendant si bien nos alliés que l’expression diplomatique la plus amène dont ils soient capables soit l’inspection radar agressive d’astronefs diplomatiques en notre orbite ? Lorsqu’il ne s’agit pas de l’envoi de pilotes suicides sur des civils innocents ou encore la spoliation de nos possessions spatiales au sein du système de Bavandar ? Amian Ae Saster veut rêver ? Soit, d’autres le lui permettent tous les jours par leur travail et leur abnégation et accomplissent près de 80% de ce qu’il réclame à corps et à cris. Soyez cigale rêvez de Cocagne, nous serons fourmi et bâtirons ce qui doit l’être. Signé Wei-Ling Sooong. Après recherche. Cyborg, étudiante en dernière année de sciences économiques, diplôme en sociologie politique.
Après des recherches personnelles de Li Wei, madame Sooong avait vingt-sept ans et était en passe d’obtenir un second diplôme et était conseillère communale suppléante. L’homme qu’elle était supposée suppléer étant actuellement gouverneur provincial, Sooong était donc de facto conseillère communale faisant fonction. Elle avait un frère officier dans la flotte spatiale. | |
| | | Amian Ae Saster Initié
Nombre de messages : 222 Localisation (en RP) : Les genoux de Mr Benta Date d'inscription : 21/12/2010
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: 2000
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Mer 13 Juil 2011 - 23:08 | |
| Enfin, on sortait du bois, ça faisait bien longtemps qu’Amian attendait ça. Lui qui ne se sentait pas dans la peau froide et calculatrice d’un politique, on lui donnait enfin de quoi nourrir sa méchante faim de débat, mais aussi peut être de quoi murir son projet, on apprend toujours de la critique, c’est un fait, même si ce n’est jamais agréable. Il utilisa la même veine, reconnaissant simplement là un nouveau coup de la NTCom qui se cherchait une nouvelle égérie, ou peut-être une petite manipulation politique. Après tout, ça signifiait juste qu’il était enfin reconnu. Le même journal publia donc une petite réponse. Avec force photos et analyse de bas étage, Amian Ae Saster faisait vendre, c’était un fait. La forme en fait se déroulait dans une petite salle, où deux fauteuils se faisaient face, avec un journaliste qui lui lisait les passages et Amian qui les commentait. - Citation :
Hier, le Robin des bois de la république, héros des opprimés et pseudo laissés pour comptes, donnait un de ces débats collectifs que nous lui savons gré d’organiser dans notre ville universitaire très active de Nouvelle Séoul. Ils ont le mérite d’apporter le débat politique dans les universités à un niveau encore jamais atteint. En cela l’UDEA, en bon parti d’opposition, est parvenue à un excellent résultat là où de nombreux avaient échoués, en jouant essentiellement sur la popularité de son président et sur un discours généralement simple mais efficace. Mais le petit kyste, méprisable asiatique que je suis, souhaiterait malgré tout discuter du contenu de toutes ses fameuses “propositions”. Ca, c’est l’habituelle de la personne qui veut s’intégrer dans une conversation à laquelle elle n’a pas voix au chapitre. On remarque en premier lieu la flatterie, histoire d’être admise, puis une petite attaque pour se différencier, et enfin, la victimisation. Rien que de très ordinaire pour une personne qui se targue de ne pas avoir un discours « simple » vous ne trouvez pas ? Un clin d’œil entendu avec le journaliste, un peu de dédain affiché et assumé, pour bien montrer qu’on n’avait pas à faire de cas, d’une personne qui était visiblement téléguidé. Vous le voyez bien d’ailleurs, le même réseau que moi, on cherche juste à donner l’illusion d’une « fabrique à vedette », tout est simulé. Bref, en parlant d’elle, je parle d’une mouture de l’ULD ou autre. Disons que j’exerce mon droit de réponse non ? Son parcours scolaire est tout à fait respectable, elle recherche probablement une petite notoriété en tapant sur le petit nouveau. C’est d’ailleurs très amusant de noter qu’elle insiste sur le mot « asiatique » et qu’elle le met en état d’infériorité. On voit donc ici une connotation raciste, et une volonté de pourrir le débat. Comment voulez-vous après ça respecter un tant soit peu les arguments d’une personne qui est prête à tout pour arriver à ses fins ? - Citation :
- Le reste de la société en général et le gouvernement en particulier, bref, tout ce qui n’adule pas Amian Ae Saster serait donc sceptique et opposé à toute forme d’évolution ? Mais que fait alors le gouvernement depuis quatre ans dans l’étude et la planification d’un accès facilité aux implants cyborgologiques à moindre coût pour la population et sans danger médical pour celle-ci ?
Voyez-vous, sa seconde erreur, après le rappel ethnique se situe ici. En premier lieu elle tente de me diaboliser personnellement et de me séparer de l’UDEA, qui comprend pourtant des cadres de premier ordre, dont Li Wei, mais là encore, Li Wei a le défaut d’être Asiatique, ce qui n’arrange pas la thêse raciste de notre amie. Et donc, son erreur… Hum, celle de considérer de façon binaire le raisonnement, il est bien évident que ceux qui ne veulent pas un changement réel de la politique Aunadariote, dont la gratuité de l’enseignement, sont des sceptiques au mieux, des exploitants des défavorisés au pire. Après, elle tente de vulgariser, peut être par démagogie, ce qui semble crédible, vu son mépris affiché pour les citoyens lambda, quand elle ose utiliser la thèse ethnique. Je reviens dessus mais ça me dégoute, et je pèse mes mots, particulièrement. Rappelez vous ce qui c’est passé après les dernières insinuations ethniques sur le débat politique de Bavandar. Et le fait de considérer les implants « cyborgologiques » comme forcément bon est tellement risible. Bah oui pensez donc monsieur, cette dame a fait ces implants, donc c’est forcément bien pour le peuple, forcément comparable à la volonté de permettre à tout le monde d’être éduqué, permettre à tout le monde d’être éduqué en revenant sur le travail de la nature. Excusez les gens madame, de ne pas rechercher la facilité, comme certains, et de vouloir être les seuls maîtres et aides de leurs destins. Pas besoin de puce pour moi, c’est gentil. Le libre arbitre, cette personne ne semble pas bien l’aimer. - Citation :
Que fait le gouvernement lorsqu’il promulgue la loi sur les chambres de commerce destinées à appuyer la création d’entreprises par nos provinces ? Que fait le gouvernement lorsqu’il protège nos entreprises stratégiques et appuie les progrès de toutes dans le cadre du commerce international pour le plus grand profit de la République ? Ici on trouve une autre faille. Pourquoi ? Car la création des entreprises dans nos provinces sont un projet datant de bien avant le dernier gouvernement, et surtout, quel beau jeu j’ai de rappeler que c’est moi en personne qui ai insisté très lourdement pour que l’état protège les entreprises stratégique… Et que ça nous a dû un pugilat à l’Assemblée, car ces messieurs n’aimaient pas que l’on s’attaque à leurs protégés. Depuis les rapports indépendants qui ont signifiés qu’en effet, je cite, « les entreprises nouvellement inscrites sur la liste semblent plus stratégique pour l’avenir d’Aunadar que celles l’étant précédemment ». Donc… Que dois-je déduire ? Que cette dame n’était pas au courant ? Ou qu’elle tente encore un bluff démagogique visant à leurrer des électeurs qui n’ont pas forcément le temps de s’instruire des derniers débats à l’Assemblée ? En fait, vu l’infondé de l’argumentation, je me demanderais presque si ce n’est pas un indépendant de l’UDEA qui a fait faire cette interview pour que je puisse revenir dessus avec facilité. Ca ne serait pas très fair play reconnaissez le ! - Citation :
- Monsieur Saster appelle une plus grande indépendance politique ? Peut-être pour cela devrions-nous déserter les assemblées internationales que nous fréquentons pour nous donner l’illusion que rien ne s’y déroule ? Peut-être devrions-nous rejeter nos alliés de toujours au profit de gens se prétendant si bien nos alliés que l’expression diplomatique la plus amène dont ils soient capables soit l’inspection radar agressive d’astronefs diplomatiques en notre orbite ?
Et là on arrive dans le bash intellectuel massif. Où ai-je dis qu’il fallait nous séparer de nos alliés du PdJ ? Où ai-je dis qu’il fallait donner notre état à Vands ? Nulle part. J’ai juste appelé à un débat d’égal à égal avec tout le monde, le Pacte, comme Vands, comme Séranon. Mais cette dame semble apprécier qu’on traine son pays dans la boue, que certains pays puissent nous mépriser et nous parler de haut. Oui, de grands alliés de toujours comme madame les apprécie. Là encore on sent comme son raisonnement est binaire, et comme elle est démago dans sa déformation du propos. Je crois de plus en plus au plastron lancé par l’UDEA Leo tu le sais, tu veux vraiment qu’on continue l’interview ? Ça ne va pas être bon pour Nouvelles Vagues si les gens croient à une manipulation, surtout par un petit parti comme le nôtre ! Bon si t’insistes, on finit. - Citation :
Lorsqu’il ne s’agit pas de l’envoi de pilotes suicides sur des civils innocents ou encore la spoliation de nos possessions spatiales au sein du système de Bavandar ? Amian Ae Saster veut rêver ? Soit, d’autres le lui permettent tous les jours par leur travail et leur abnégation et accomplissent près de 80% de ce qu’il réclame à corps et à cris. Soyez cigale rêvez de Cocagne, nous serons fourmi et bâtirons ce qui doit l’être. Alors là, c’est ma partie préférée. Après avoir légitimité la dissociation ethnique plus haut, elle reproche à Vands d’en avoir fait son fonds de commerce. Je n’aurais pas aimé être le voisin de cette dame à l’époque, croyez-moi bien. Et pour finir, le bon coup de démagogie, chantons l’hymne national, Aunadar est déjà au plus haut, grâce à son peuple merveilleux auquel on ne peut rien reprocher, et qui ne peut pas évoluer car déjà à son summum. C’est bien une StatuKyste, « on reste où on en est, on est très beau, on est très fort, ne bousculons rien, on sait jamais, on risquerait de changer de gouvernement et de nous mettre dehors ». Risible. Et bien écoutez, merci d’avoir accepté de publier ma réponse, et d’adresser un message à vos lecteurs pour les remercier de s’intéresser au débat politique, car c’est grâce à la médiatisation du débat, et des nouveaux arguments qu’Aunadar progressera, et ne sera plus un pays sur lequel les grands s’essuient les pieds, et sont remerciés en ça par notre classe dirigeante actuelle. | |
| | | Chronos Administration
Nombre de messages : 2775 Age : 1024 Localisation (en RP) : Dans les limbes du temps Date d'inscription : 09/12/2007
Feuille de personnage Blessures: (10/10) Crédits: Infini positif
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés Mar 19 Juil 2011 - 21:23 | |
| De nombreuses critiques cinglèrent la sphère médiatique aunadariote. Apparemment les « les entreprises nouvellement inscrites sur la liste semblent plus stratégique pour l’avenir d’Aunadar que celles l’étant précédemment ». Ainsi, aux dires d’Amians Ae Saster, la Nishibi Spacecraft Corporation, industriel spatial dont l’indépendance technologique et technique va croissant au fur et à mesure que les industriels aunadarais parviennent à se passer des jadéens, notamment en matière moteur, n’était pas une entreprise stratégique. De même la Kimichi Corporation, première productrice de glutersteam brut ou raffiné devant quelques entreprises enderasiannes, seules autres productrices, était moins stratégique que les sociétés nouvelles admises. Il en allait naturellement de même pour la Komodo Corporation, septième entreprises universelle en matière de bio-électronique ainsi que pour le Chaebol Wang-Feng, producteur aunadariote de génériques pour médicaments de base. L’affaire, manifestement mobilisait de nombreux acteurs du monde politique et de nombreux chefs d’entreprises, surtout ceux considérés comme “moins stratégiques” et qui ne désiraient pas voir une des bases de leur compétitivité au sein du pacte de Jadis et du secteur Centuri remise en cause.
Plus fondamentalement, en dépit de beaux discours et d’une oreille positive des cercles étudiants. Des générations d’élitisme et de sacrifice avaient tronquées la notion même de méritocratie. Il était, de manière générale, considérée que des études gratuites cela n’existait pas et qu’il n’existait de repas gratuit et l’on se demandait le contrecoup. Des entreprises finançaient déjà des études mais si elles devaient le faire davantage ? Apparemment personne dans la jeunesse ne souhaitait se retrouver enferré vingt ans au même patron pour rembourser ses dettes. Quant à un programme gouvernemental de financement beaucoup en venaient à se demander jusqu’à combien la population serait soumise à l’impôt...
La question cyborgologique, comme d’habitude, partagea l’opinion même si elle laissait toujours une majorité de sans avis. Encore une fois les partis plus à gauche furent dominés sur la question et certains responsables de la Komodo Corporation reprirent par périphrases la notion de statukyste à leur profit.
| |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés | |
| |
| | | | [NEW SEOUL]- 8 Boulevard des Fusillés | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|