Exploration du Don

En quelques instants, la flotte passa en mode de combat, tandis que tout les détecteurs ratissaient la surface visible du satellite naturel. Les résultats furent affichés sur l'écran principal.

Spoiler:

Un autre vaisseau en avait profité pour cartographier une autre lune, plus petite, de la planète tellurique.

Spoiler:

Néanmoins, aucun autre signal ne fut capté, tandis que l'origine du signal, sur la crète 7 du premier corps stellaire, n'était pas visible depuis leur positon. Le calme plat.

Invité

Ralph fronça les sourcils. Il n'aimait pas ça.

-Deux drones de reconnaissances au dessus de ce fameux point 7 qu'ils l'analysent de prêt. Envoyez quatre corvettes en voltige sur nos avant, que l'EXF 04 les appuient.

Les hommes et femmes de l'escadre réagirent vite. Enfin un peu d'activité ! Lentement mais surement, les éléments du groupe de combat s'avancèrent...

Les corvettes se détachent du groupe principal, tandis que les sondes foncent en avant afin de se placer le plus vite possible en orbite autour de la lune, et analyser le point 7.

Ce dernier se rélève être une crète tout ce qu'il y a de plus banale, exposée côté nuit, donc remplie d'un mélange de glace et de carbone gelé. Absence totale d'O². Néanmoins, au vu du fait qu'une puissante impulsion électro-radio s'en soit échappée, il faudrait poursuivre les invesigations, et placer la flotte ne orbite pour des détections plus préçises, éventuellement mener une mission au sol. Quoi qu'il en soit, il semblerait que du reste, le système stellaire soit vide. Détail pittoresque, depuis le lointain satellite aaynt émi l'onde, on voit très bien la planète tellurique autour de laquelle il orbite; la vue sur ce monde figé de glace est magnifique. et les soldats auront étés entraînés.

Rapport cartographique, sonde EKA 64-H-55:

Spoiler:

Ralph hésita un court instant avant de donner ses ordres.

-Envoyez une wing de 7 chasseurs en reconnaissance. Si rien ne se produit que l'Explorer largue 10 capsules, soit une escouade en reconnaissance. Je veux une navette prête à les évacuer au moindre problème ainsi qu'un appui feu.

Maintenez la veille sur nos arrières et vers la planète.

*Maintenant on va voir si nous avons affaire à un monde peuplé ou à une autre épave...

Les chasseurs survolent plusieurs fois la surface du satellite au dessus de l'endroit d'om avait préçisément été localisé le signal, avec un rayon d'environ 75Km, ce qui, pour cette distance, était bon, voir très bon vu les interférences. Il n'y a rien, sauf si on considère d'immenses terrains rocheux comme quelque chose. Finalement, il sondage indique la présence d'une masse considérable dans le sol, sous la surface d'un des pitons dominant la crète. L'équipe de reconnaissance est "parachutée" là om l'étrange "objet" affleure le sol, soit tout de même vingt-cinq mètres sous la surface. Le périmètre est rapidement sécurité, et il faut se rendre à l'évidence, à part de nombreux éboulis, il n'y a rien.

En parallèle, la flotte part vers la planète, relativement distante de son petit satellite froid. Il s'avère qu'elle est prise dans une puissante gangue de glace, dont l'épaisseur varie entre une dizaine de mètres et plusieurs dizaines de ilomètres aux pôles. Quelques proto-continents sont visibles, ainsi que des cônes liquides formés au-dessus des volcans. Au niveau de l'equateur, en plein été, certaines régions sont libres de glace sur quelques degrès de lattitude et longitude. Les rapports des scanners sont éloquants.

Spoiler:

Quoi qu'il en soit, on aurait dans l'immédiat rien trouvé d'intéressant.

Invité

Un renfort de troupe fut détaché sur la satellite. Quarante soldats descendirent "à terre" avec des équipes du Génie de la Navy pour déterrer l'objet suspect. Plusieurs archéologues se rendirent sur place avec les techs. À bord l'on compara le signal enregistré avec le spectre d'ondes émises par l'épave de Thalassa, surtout les signaux émis par les récepteurs aliens...

Trois frégates se détachèrent de la formation pour explorer le système plus avant...

Au sol, on organise un petit PC pressurisé afin de pouvoir rassembler les informations et trouvailles. La comparaison des longueurs d'onde et de divers paramètres très opaques aux profanes permet de donner une ressemblance de 27% aux signaux émis par les machines de l'épave. Mais ça n'est que quand l'un des techs a l'idée géniale d'adapter cela sur un récepteur herztien relativement simple que la révélation s'opère. Sous les yeux ébahis de l'équipe, une image apparait, tandis qu'une fois forte lance:

-"...ceci ne sera pas la fin d'une époque, mais le début d'une nouvelle! Ce désordre, ce chaos qui endeuillent nos journées, ne peuvent perdurer, et l'avenir nous tend les bras, sachons prendre cette occasion unique..."

Le fait que le président de la Fédération Terrienne Unie d'il y avait de cela trois cent ans parlent sous leur yeux d'un programme de colonisation était tout à fait stupéfiant pour des données émanant d'un dispositif non-humain et non-identifié, mais apparemment, ça n'était pas tout. La vue du président et de l'hémicyle du parlement se brouilla, remplacée par un plateau, où les présentateurs, dans des habits passablement désuets, se mirent à converser au sujet de ce qui avait été dit. En bas de l'écran défilaient les températures: Vancouver -5°C, Stavanger 3°C, Le Cap 24 °C, Beijing 0°C, Melbourne 21°C, Mexico 19°C, Panama 38°C, Barcelone 18°C... c'était délirant. Finalement, la date défila à son tour. 4 Avril 2418.
Le tech coupa.

-Ils repassent un enregistrement! Souffla-t-il.

Pendant ce temps, à l'extérieur, on avait mis en place une lourde excavatrice, qui commença tout de suite à, à coup de scies laser, découper et extraire le sol racailleux et glacé de la lune, ce qui dura tout de même trois quat d'heure jusqu'à ce qu'un large trou de vingt-cinq mètres de fond soit à jour, au milieu des soldats déambulant dans ce paysage devenu encore plus lunaire. Ce qu'ils atteignirent au fond fut une sorte de longue arrête de métal blanc. Un rapide scann donna que l'objet ne pouvait pas être déterré. Du moins pas avec les moyens de l'expédition: il se perdait dans les profondeurs du scanner. On n'en voyait pas le bout sur dix kilomètres.

En orbite de la planète, la flotte croise doucement. Une corvette a laissé une navette de scientifiques descendre à la surface, au niveau de l'équateur, prendre des échantillons de glace, d'eau, et éventuellement voir s'il y avait de la vie. Les premières images sont celles d'un paysage terrifiant. Les hommes sont en combinaison spatiale pour éviter les -29°C de l'équateur (autant faire cela plutôt que de sortir les gros manteaux et fourrures synthétiques), laissant juste le visage, protégé par des lunettes, à l'air, qui était, semble-t-il, respirable, quoique donnant un peu le vertige à cause du très faible taux de CO². Ils contemplent une interminable mer de galce, s'étendant jusqu'à l'horizon, faite de crètes et de creux, comme un océan gelé, sous un soleil de plomb. A proximité, seule tache de couleur, un petit lac d'eau liquide, fumante. Manifestement, on s'était posé près de l'endroit où de la chaleur émergeait du fond des eaux depuis un volcan ou un fumeur noir.
A bord des vaisseaux, on a tout à coup détecté, après le quatrième scann, quelque chose sous les glaces. C'est très grand, et situé à deux kilomètres sous l'inlandsis, dans l'énorme continent austral.

Les trois frégates font le tours des étoiles et prennent des mesures qui intéresseront hautement les physiciens au sujet des naines brunes. Alors qu'ils s'apprêtaient à reprendre le large et jeter un coup d'oeil à la ceinture d'astéroïde, un minuscule signal accroche leur phalange. Ils le suivent jusqu'à l'orbite très proche de la naine brune, là où les radiations et la faible, mais toujours existante, lumière cachait complétement la chose. Une sorte de station-relais ou satellite, bardé d'antenne, et protégé par un immense bouclier thermique.

Elles ont envoyé un cliché à la flotte, mais leur commandant note qu'il ne peut se rapprocher à plus de vingt-huit millions de kilomètres sans risquer de griller les boucliers, et d'endommager sérieusement le système de maintient de vie. Il fallait un sacré cuirassé ou alors un astronef construit spécialement, avec un bouclier thermique de grande taille, pour s'approcher.

Exploration du Don - Page 2 Sunshineicarusiibb4

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Ce système est vraiment plein de surprises!

Invité

Ralph afficha un air plutôt surpris, sur la passerelle, plusieurs hommes du pont étaient sidérés.

-Cablez-ça au QG et plantez le drapeau ! Ce système est, jusqu'à preuve du contraire à nous à moins qu'on trouve quelque chose de pensant là dedans. Mais ça m'étonnerais. Placez une balise de surveillance le plus près possible de ces "stations spatiales"

Poursuivez la fouille du système et lancez quelques sondes dans les systèmes alentours.

*Maintenant on va voir ce qu'ils vont faire au secrétariat...*

Les demandes ne tardèrent pas à arriver de la métropole. La puissance du rayonnement était bien entendu nécessaire afin qu'un bouclier efficient puisse être mis au point. L'amiral Pien fut informé que l'on préparait un vaisseau de classe Voyager de la troisième flotte de transport afin que ses forces puissent voir ça de plus près. En attendant ses consignes étaient de mener quelques reconnaissances le long du courant et de l'échangeur atteint si on en croyait les rapports et avec ses techs, de mener diverses reconnaissances sur la structure emprisonnée des glaces (représentation par rayon X et un éventuel découpage au laser pour faire passer une sonde. Le haut commandement pensait notamment au laser à impulsion des frégates....

Le système fut réclamé au Nom de l'Empereur et de l'Empire, tandis qu'une frégate lachait, à tout hasards, une balise. Elle s'approcha jusqu'à douze millions de kilomètres de l'étoile, puis la température sur la coque extérieure devint tellement forte que tout les systèmes grillèrent. On en lança une deuxième, qui se stabilisa à quatorze millions de kilomètres. On distinguait grâce aux filtres qu'il s'agissait d'un double module spatial, fabriqué dans un alliage qui n'était pas reconnaissable (durane? titane?), long de quatre kilomètres, large de cent mètres, et protégé de la lumière dévorante par deux énormes disques garni d'un revêtement thermique extrêmement résistant. La station émettait deux signaux réguliers; le premier était simple "bip", tandis que le deuxième était ce qu'un mélomane identifia comme du Chostakhovitch.

Sur la lune, on avait dégagé l'arrête étrange sur soixante-dix mètres, tandis que le programme holovisuel terran continuait, expliquant comment les vaillants colons amménagaient la planète Ephesus, de temps en temps entrecoupé par des publicités pour des yaourts Danone comme on en voyait au musée de la décoration de Krypton. Rien de très concluant, juste du métal, blanc et lisse.

Sur la planète, on avait ammené une frégate à quelques mètres de la surface, et fait découper la glace au laser. Néanmoins, par -110°C, celle-ci se reformait presque aussitôt que le point de focalisation du rayon calorique l'avait quittée. On eut donc recours à des méthodes assez extrêmes avec plusieurs lasers, et à des explosifs, juste pour creuser un trou de vingt-cinq mètres, où ils abbritèrent des terribles blizzards les machines, beaucoup trop exposés sur l'interminable plaine neigeuse - ici, on était sur le continent, et non "sur" la mer -, car le vent atteignait chaque heure les 250 km/h, rendant la stabilité même de la frégate difficile.

La première représentation était relativement floue. On avait, à 2 km 451 m de profondeur une superstrucutre de 17 kilomètres de long et 4 de large, apperemment en métal, et les relevé de la sonde, ayant réussi à descendre jusqu'à -1km 400 m, située dans la zone qui a gelé il y avait de cela environ de 450 millions d'années. Cette planète connaissait une période géologique cryogénienne extraordinairement longue d'après les rapports.

Les sondes rapports que le système où ils se trouvait semble être le dernier de la veine d'étoiles; en effet, après, on entre dans un secteur, le long de la tempête, qui est très vide. Le ciel est presque sans étoiles, d'un noir total, et le système stellaire le plus proche dans ce sens se située à 88 années lumières, soit probablement sur tout le reste de la tempête qu'ils longeaient encore, ainsi que quelques années lumières encore...beaucoup en somme.

Invité

Les artificiers de la Navy creusèrent tant bien que mal des trous au marteau piqueur électromagnétique et placèrent des détonateurs soniques afin d'élargir le trou.

Plusieurs sondes sous marines furent envoyées par les trous d'eau formés par l'activité volcanique afin d'y prendre des mesures. À bord des trois vaisseaux labos, une équipe de scientifiques kryptons (des terraformeurs) se lancèrent dans une projection de réadaptation de la planète à la vie humaine par stimulation des volcans et accélération des cycles glaciers...

Après quelques explosions bien placées, et un déblayage, on avait dégagé l'arrête sur deux cent mètres de long et quarante de profondeur. Au delà, en effet, on risquait de déstabiliser la structure d'ensemble de la crète. Mais toujours auun signe d'une quelconque ouverture.

Les sondes donnèrent des résultats intéressants concernant les taux de souffres, et rapportèrent des échantillons d'algues et de bactéries uni- et pluracellulaires, la plupart autotrophes, mais également des petits hétérotrophes nécrophages, ainsi que des minuscules crustacés prédateurs. L'académie d'exobiologie d'Arkilia serait ravie, à peine remise de la découverte des Aliens.

Les premières études de terraformation donnaient que en relançant massivement l'expulsion de carbone dans l'atmosphère à travers l'activité volcanique, et d'autres moyens plus divers, on pourrait d'ici cent à cent-cinquante ans avoir dégagé une bande équatoriale libre des glaces de vingt kilomètres, mais les perspectives pour le continent étaient relativement sombre. Néanmoins, les ressources en uranium localisées sur le continent le plus proche de l'equateur pourraient être exploitables sous dix ans si les eforts se concentraient de ce côté là.

Invité

Tandis que lentement et avec les moyens du bord les équipes de techs creusaient dans le sol glacé du satellite, les techs en surface retentèrent un scan au rayon X et autres de la structure se trouvant en dessous...

Le vaisseau modifié pour l'approche de l'étoile s'annonça, il serait là dans deux jours...

Des ordres arrivèrent subitement de métropole : cette mission d'exploration s'arrêtait là pour l'instant, deux frégates EXF étaient rappelées. La mission des vaisseaux apiens s'arrêtait là également : leur mandat accordé par le secrétariat ne concernait que cette expédition.

Sujet: Re: Exploration du Don Dim 1 Mar 2009 - 17:45

On confirma, tout en demandant si les opérations en cours dans le dernier système découvert (dénomination non encore attribuée) devait être poursuivies.

Invité

L'amiral donna à ce système la dénomination temporaire et ridicule de Pérousie.

Le vaisseau modifié arriva enfin dans le système avec à son bord, cinq pelleteuses du Génie de la Navy. elles furent transbordées à bord d'une frégate et amenées jusqu'au satellite afin de creuser un peu plus vers cette structure enfouie... des groupes d'Infanterie Mobile furent détachés aux alentours. La structure avait peut-être une ouverture...

On monta également le démagnétiseur à l'Explorer qui fournit l'énergie. Une fois prêt et chargé d'équipes d'abordage, le cargo Voyager modifié s'avança prudemment vers les structures en orbite stellaire...

Sujet: Re: Exploration du Don Mar 3 Mar 2009 - 17:31

Le vaisseau spécial entre dans la zone thermique dangereux de l'étoile, qui, maglré le fait qu'elle soit relativement froide par rapport à d'autres, comme Rigel ou Deneb, ou encore Alpha Norilsk, la plus chaude de l'espace peuplé, n'en reste pas moins mortelle pour les astronefs ordinaires. Rapidement, d'après les quelques senseurs cachés dans les replis du bouclier thermique, la température sur le métal blindé atteint les 9.000 Kelvins, tandis que par communication avec les astronefs en orbite haute, on détermine les tempêtes solaires les plus proches pour en cas d'urgence les éviter, mais normalement il n'y aura pas de problème. Après dix minutes de descente prudente, et une température de 12.000 K à leur altitude plafond, doublée d'un bobmardement intensif de rayons cosmiques et divers radiations ultra-nocives, l'unité arrive à proximité directe de la station. Celle-ci s'avère être bien plus grande qu'on le croyait, la vision ayant probablement été déformée par la distance. Le premier relevé arriva au vaisseau-amiral.

Spoiler:

A terre, l'extraction continue, ainsi que de profonds sondages. Néanmoins, force est de constater que l'on n'en voit, dans tout les sens du terme, pas encore le bout.

Invité

Des robots connectent rapidement un sas spécial au sas déjà existant, des SSA se penchent sur le système d'ouverture de la porte. Si cela s'avère trop compliqué, il reste les lasers de découpage intégrés au sas d'abordage...

Sur le satellite on se lance dans plusieurs scans soniques et à rayonnement sur la portion dégagée, il s'agit de voir si on peut entrer sauvagement ou pas.

Sujet: Re: Exploration du Don Jeu 5 Mar 2009 - 17:33

Le sas du module s'avère avoir ses unités électroniques unutilisables, totalement grillées par la surconcentration de rayonnements divers, mais le système générale étant mécanique, comme sur Thalassa, injecter de l'énergie dans les circuits permit de rattacher tant bien que mal les deux. Après quelques sollicitations, l'iris s'ouvre, révélant une trou noir béant.

Sur la lune, on a beua sonder et resonder, on est obligé de constater que sur plusieurs centaines de mètres de profondeurs, l'énorme bout de féraille est totalement rempli. En fait, on est en train de se poser des questions sur son utilité. Quel interêt d'enterrer une sorte de lingot titantesque ici?

Invité

Une paire de SSA épaulèrent leurs fusils d'assaut et tandis que deux autres activaient des brilleurs qu'ils lançaient dans la structure afin d'avoir une idée de l'intérieur un test de l'air de la station fut également effectué...

en orbite de la planète plusieurs vaisseaux se positiionnèrent pour un Scan par rayonnement. Les possibilités qu'il s'agisse là d'une structure artificielle étaient devenues très importantes. En faisant des scan ont cherchait une hypothétique entrée à l'intérieur de la chose...

Sujet: Re: Exploration du Don Dim 8 Mar 2009 - 17:32

L'air à l'intérieur s'avère être légèrement empoisonné au dioxyde de carbone, mais de simple respirateurs devraient résoudre cela. La température intérieure est de -18°C.

On avait beau étudier la lune sous toutes les coutures, rien ne clochait. Silicum, glace, signes habituels qui laissaient croire qu'il s'agissait d'un planétoïde de classe B capturé par la planète et satellisé. Finalement, grâce à de minuscules variations des signaux de retour, on arrive à dégager que l'énorme lingot comme on l'appelle déjà représente 4% de la masse totale de la lune, et est encastré sous la chaîne de montagnes principales. Ensuite, il faudrait voir celle-cide plus près...

Invité

Les SSA conservèrent leurs combinaisons et s'avancèrent dans la structure, détecteurs fonctionnait à plein régime. Lampes et brilleurs perçait un noir total qui empêchait l'infrarouge d'être efficace.

Sur la lune trois compagnie de Fantassins Mobiles furent déployés pour aider à examiner la chaîne de montagne. On avait le temps...

Sujet: Re: Exploration du Don Mer 11 Mar 2009 - 17:46

Dans l'intérieur obscur du module, on avançait avec précautions. Rien de bien particulier pour l'instant; un large espace, dans lequel étaient renversés quelques objets à l'utilité inconnu. Les couloirs étaient longs et carrés, comme dans n'importe quel astronef humain. Après une cinquantaine de mètres dans le silence obsolu, on arrivait à un premier croisement. Deux coursives partaient à gauche et à droite, une continuait devant, et enfin, une montait et decendait. Des échelons y étaient installés. Un peu plus espacé que d'usage, mais très humains. RAS.

Les prospections commencent autour de la chaîne de montagnes; c'est grand, c'est profond et c'est troué comme un gruyère. Les scientifiques soutiennent la possibilité d'un bouleversement thermique ou géologique ayant fait fondre les couches extérieures du lingot par endroits, probablement à cause de l'exposition momentannée et très proche à une chaleur intense. L'étoile?

Invité

Plusieurs compagnies de SSA pénétrèrent dans la structure accopagnés de techs qui devaient examiner tout ça et déterminer si oui ou non il s'agissait de foyers solaires comme l'on pouvait en trouver du côté de l'Union...

Sur la lune on tente toujours de cherché une éventuelle entrée au "lingot" d'en déterminer sa composition et surtout de savoir ce qu'il faisait là et comment bien sûr l'astre avait pu s'approcher si près de l'étoile et en revenir.

Invité

[i]Alors que les recherches se poursuivaient à bord de la station et sur le satellite, les ordres tombèrent pour l'Aérospatiale : trois frégates reçurent pour consigne de poursuivre l'exloration du courant jusqu'à la fin de la tempête ou jusqu'à ce que le courant soit obturé par celle-ci...

On annonça également aux équipages qu'un vaisseau de ravitaillement serait-là dans deux mois avec les derniers holofilms d'action jadéen en date. [i]

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