Base Militaire Enderasiane - Quartier des Mercenaires

Administration Nombre de messages : 1775 Date d'inscription : 18/06/2008

- Quartiers des Mercenaires - Aout 2759 -

La suite de batiment que l'on appelait le quartier des mercenaires était une succession d'installations en préfabriquées posées les unes à coté des autres en une succession de briques carrées qui donnait à la base l'allure d'un camping. Les baraquements s'étendaient sur toutes les cours centrales de la Caserne de Johanesburg, un bâtiment complexe aux formes complexes, composées de grandes barres de dortoirs, mais également d'élégants portiques. C'est ici qu'étaient parqués les Mercenaires venus assisté la défense d'Enderasia en échange d'une paye. Ils arrivaient de l'astroport, étaient transportés en camions jusqu'ici, y restaient une semaine avant de rejoindre des ordres d'affectation et de rejoindre de nouvelles zones d'affectation. Chaque semaine transitaient par New Johanesburg quelques 10 000 Mercenaires en tout genres. La situation sur Enderasia s'était donc fortement militarisée avec l'arrivée notamment de la Force Expéditionnaire Jadéo-Unionienne dont la base se trouvait à l'extérieure de la ville et les véhicules effectuaient des patrouilles régulières dans les rues. On voyait ainsi régulièrement passé devant la caserne des convois de trois ou quatre jeeps ou blindés légers Jadéens ou Unioniens, qui effectuaient leurs rondes journalières.

La base se scindaient en plusieurs quartiers ou diverses compagnies privées de sécurité avaient établis leurs quartiers. Il y avait ainsi une cour entière réservée aux quelques 2500 Hommes en transit par Johanesburg sur les 15 000 que la compagnie ErynSec avait déployé sur Enderasia, une autre pleine à craquer des 3000 combattants présents ici de la Compagnie InterSaf sur les 18 000 qu'elle déployait pour le compte du gouvernement. Le reste n'étaient que des indépendants coordonnés par les officiers de l'Armée Enderasianne : une force de conscrit mobilisée en grand nombre depuis maintenant trois ans du fait des attaques répétées des Carcars du clan Kik'Ra qui se succédaient depuis le temps.

De manière générale, les différents groupes restaient entre eux, et il semblait extrèmement difficile de les mélanger et de les faire s'entendre sur quelque point que ce soit. Leurs commandements se crêpaient déjà suffisamment le chignon comme cela. Le seul endroit ou les choses se passaient un peu mieux était la zone des indépendants, ou les commandements étaient repartis entre les combattants les plus expérimentés par un colonel Enderasian soucieux d'assurer la sécurité de son monde et donc très volontaire et professionnel.

HJ : Je laisse aux joueurs du Pacte le soin de décrire eux-même leur base. Vous pouvez continuer à acheminer des renforts sur le théatre des opérations. LEs Carcars arriveront dans un nombre de posts déjà définis. A vous de chercher à organiser tout ce joli monde pour être prêt à leur arrivée (je ne dirai pas quand). Toute intervention d'une Force non-citée ici se ferra en cours d'event selon un nombre de post la-aussi défini. A vous de débuter votre RP.

Enderasians:

ErynSec:

InterSaf:

Indépendants:

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La fin de l'Espoir, c'est le commencement de la Mort
Charles de Gaulle

Invité

Il s'avançait dans l'atmosphère chaude et poussiéreuse de la zone, descendant à peine de la navette, ses armes relativement en évidence depuis qu'il les avais récupéré. Son MEC-220 à la main, alors que les pistolet mitrailleur en bandoulière lui tappait les cuisse à chaque pas, le pistolet dans un holster reposant contre sa poitrine. Sa veste de cuir ouverte claquait au vent alors qu'il avançait d'un pas décidé vers il ne savait pas vraiment où, l'important étant d'avoir un pas décidé, le chemin s'ouvrait tout seul devant lui, il n'avait qu'à le suivre. La voie semblait tracé, et ils étaient nombreux à la suivre en arme et en armure, avec des équipement divers et des origines qui l'étaient tout autant. Étrange comme les causes désespéré attirent à elles tous les tarés et rebuts de la galaxie, il ne valait au fond guère mieux qu'eux. Traçant son chemin au milieu de cet part des plus fonctionnel, où la moindre beauté architectural était abandonné sans la moindre once de pitié, il ne s'attarda guère n'ayant aucune raison de le faire.

Il cheminait d'un pas égal vers la zone des indépendants qui au fond ne changeait guère du reste de l'architecture, cherchant des yeux un responsable qui pourrait lui fournir son assignation, il vit dans un coin un petit bureau derrière lequel un natif se tenait, l'air plutôt sérieux et portant le grade hautement reconnaissable de colonel. Un rictus naquit qur les lèvres d'Aëlingen cheminant vers lui, tout dépendrait de la manière dont il avait obtenu ses galons. Il salua rapidement l'homme, un salut que son corps plus que habitués exécuta de manière presque automatique.

Aëlingen Dun Ignis, vétéran de la guerre d'erikea. Quels sont les ordres?

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Base Militaire Enderasiane - Quartier des Mercenaires The_ba10

L'officier leva les yeux sur l'humain en face de lui. Ce dernier lui adressa un salut militaire et le Sous-Lieutenant Anton Bart baissa les yeux sur son registre. L'ensemble des mercenaires qui avait répondu à l'appel des Enderasian se trouvait là, inscrit noir sur blanc, dans les registres informatiques de la base militaire. Il fit une moue dubitative en observant les références du mercenaire et lui transmis ses assignations sans mot dire. Le batiment dans lequel se trouvait Aëlingen était une large structure. Un véritable hall de gare dans lequel devait se trouver actuellement quelques deux cent personnes. Avec un "Suivant" significatif du temps depuis lequel le Sous-lieutenant Bart était derrière son bureau, il fit signe au mercenaire de passer son chemin et posa ses yeux sur les rapports qui s'amoncelaient. Il passa bientôt en revue une série de papiers puis en tendis un au mercenaire avant de poser le regard sur le type qui suivait Aëlingen et qui lui donna son nom.

En baissant ses yeux sur son bout de papier, Aëlingen put voir qu'il s'agissait d'un descriptif avec l'ensemble des réglements à respecter, ainsi que l'adresse d'un baraquement en préfabriqué. Il y trouvait l'ensemble des horaires de la cantine, son groupe de passage aux douches et le montant de son salaire contractuel, y était joint le contrat signifiant toutes les conditions de son engagement et le montant de sa paye : 35 000 Crédits. Un officier se chargerait de venir récupérer le contrat signé dans la soirée. Les documents mentionnaient d'ailleurs clairement qu'en cas de refus du contrat, il était préférable de ne pas commencer à s'installer puisque les hommes le refusant serait reconduit à l'Astroport et évacués vers Jadis par Astronef militaire.

Marchant dans l'herbe entre les habitations en plastique, Aëlingen finit par faire face à son bungalow, qui était déjà occupé par quatre type dont l'un d'eux le salua chaleureusement. Une liste était coller contre la vitre : "Section 220. Effectif : 10". Aëlingen devait la signer. Son nom était le premier, suivit de la mention "Lieutenant". Un peu en dessous un autre nom indiquait "Sergent". Ce dernier ne semblait pas avoir signé pour le moment. Sur son contrat, Aëlingen constata qu'il avait cent personnes à charge : les sections 220 à 229, étaient sous sa responsabilité, et lui-même répondait aux ordres du commandant Helena Dinao Telia, en charge du Deuxième Régiment d'Irréguliers Enderasian. Aux sonorités de son nom, Aëlingen en déduisit qu'elle devait être Bavannoise. Il posa son sac sur son lit. Une étiquette Aëlingen Dun Ignis l'indiquait clairement.

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Charles de Gaulle

Pas de repos, pas de pitié,
Pas de question.

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Drake

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Eva

S’avançant entre les divers baraquement de la caserne Eva et son insolite compagnon ne semblaient pas passer inaperçut parmi les divers soldats et mercenaires de tout horizons qui avaient été attirés par l’alléchante prime de 35.000 crédits par batailles donnés aux participants survivant de cette expédition. Autant dire que s’il y avait beaucoup de volontaire chez les mercenaires, une telle prime signifierait sans nul doute qu’il y en aurait beaucoup moins une fois la guerre finie.

Deux têtes, deux fois plus de crédits. Si elle avait tenu a ce que tout l’équipage de l’Indomptable embarque dans l’aventure, ça aurait fait dans les dix fois plus de crédits. Cependant, si le reste de l’équipage de ce petit cargo avait une certaine expérience dans le domaine du vol spatial, du maniement des diverses armes du vaisseau, de la mécanique, de la médecine et d’autres compétences de ce genre, les chances que ces derniers survivent longtemps à une confrontation au sol étaient extrêmement faible. Ces derniers les avaient donc déposé sur Enderasia mais n’avaient pas été mandaté pour s’inscrire à la campagne après : en cas de besoin, Eva avait de quoi les contacter sur elle pour qu’ils viennent les chercher en quatrième vitesse.

« Rhaaaa ! Ils ont quoi à nous reluquer comme ça tout ces idiots ?

C’était Eva qui venait de prendre la parole en cet instant, et il fallait dire qu’elle semblait plutôt irritée au ton de sa voix. Dans la réalité des faits, l’expression « pressée d’en découdre » s’appliquait parfaitement à sa personne. La tension était ici palpable, entre les soldats de la nation qui craignaient pour leur vie ou leur patrie, pensaient à leurs femmes et leurs enfants, les mercenaires qui faisaient ce qu’il fallait pour déjà tenter de gagner le plus d’argent, comme les paris sur qui survivraient et qui mourraient, et les véritable professionnel et vétérans qui vérifiaient déjà l’état de leur matériel en prévision de la première bataille à venir. Chez elle, cette tension se marquait par la tendance qu’avait sa main droite à se serrer et à se décontracter autour de la crosse de son révolver toujours attaché à son holster. Si elle ne pressait jamais la détente, cela n’était jamais loin.

« A croire que tes techniques pour passer inaperçu sont encore à peaufiner…

L’homme qui avait parlé de cette voix grave et solennelle n’était autre que Drake. Cette petite pique à peine voilée sur la tenue toujours aussi provocante de la jeune femme. Il fallait dire qu’en plus d’être provocante, elle était belle, très belle, alors forcément avec une telle attitude, on ne pouvait que se faire regarder en biais par les regardes lubrique de ceux qui astiquaient leurs armes afin de se tenir prêt à toute bataille. Mais sa voix n’était pas la seule chose à être calme en lui, son regard perçant semblait à la fois relâché et concentré, comme si il n’était pas totalement présent dans l’endroit où il était, son esprit évaluant déjà les chances qu’ils avaient à être ici, et ce qu’ils pourraient y gagner.

« Ouais, ouais, c’est ça oui, et toi t’as jamais profité de la vue une seule fois dans ta vie de vieux loup solitaire… A moins que ça soit l’âge qui te rende aussi insensible…
- …
- Hé, hé, hé…

Peu de temps après, leur cheminement vers les baraquement et les futur prime se vit stopper par une étape obligatoire, l’inscription dans un bureau d’un colonel quelconque où les deux mercenaires devaient postuler afin de pouvoir entrer dans la liste des participants aux combats à venir. Entrant dans l’encadrement de la porte de ce dernier la clope au bec, son camarade à ses coté, ce fut Eva qui s’adressa d’une manière qui se voulait plutôt neutre, mais au fond de laquelle on pouvait déceler une forme d’ironie et de cynisme mélanger, augurant ce qu’elle pensait de cette personne.

« Bonjour, Colonel, Evangeline Teïryu et Alfred Von Fried, postulant pour la petite annonce de recherche de mercenaires et de portes-flingues en tous genre pour oblitération totale de petits envahisseurs. C’est où qu’il faut signer ?

Invité

Lieutenant, la chance le poursuivant le voilà devenu officier en charge d'une centaine de personne, de quoi se farcir beaucoup de soucis les mercenaire étant de loin les unités les plus indiscipliné qu'il soit possible de trouver, enfin pour ceux qui signeraient. Négligemment il jeta son sac sur sa couchette, son nom sur une étiquette indiquant son emplacement parmi les autres de la section, puis ressortant il signa la feuille de présence et son contrat, le paraphant du traditionnel "lu et approuvé" avec la date et le lieu. Il ne lui restait plus qu'à allé rencontrer son supérieur hiérarchique, une Bavannoise qui était venu se perdre dans cette partie reculée et dangereuse du monde, décidément le monde était bien étrange, la seule chose de sûr qu'il avait apprit avec les années et l'expérience, s'est que rien n'est réellement sûr dans la galaxie. Pas même la réalité. Il se dirigea ensuite vers le groupe de mercenaire qu'il avait vu en arrivant, emmenant ses armes avec lui quitte à ressembler à une armurerie ambulante, au moins il était sûr que personne n'y toucherait.

Bonjour, je suis Aëlingen Dun Ignis, puis je savoir à quelle section vous appartenez?? Ah, y'a un truc qui ressemble de près de loin ou de loin à une armurerie dans le coin?? Et enfin, où est ce que je pourrais trouver le commandant Tilea dans tout ce bordel..

Il fallait toujours commencer par demander gentiment si on voulait une réponse et se faire respecter, ensuite des mesures drastiques pouvaient être prises en cas de refus. Mais cela donnerait une image assez noir de ses méthodes pour la suite des évènements sans parler des divers complications qui ne manquerait pas de tomber des supérieurs hiérarchique. Pour contrebalancer cela, et éviter toute rebuffade malvenu de cette bande de malotrue, Aëlingen se laissa un peu aller, sentant l'adrénaline commencer à courir dans ses veines. Il était près à se battre et cette sensation divine de puissance glacée courant dans ses veines tel un cheval au galop était plus grisant que tous ce qu'il avait put connaître... Pourquoi donc avait il arrêté??

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Ambiance ?

Aëlingen :

Il évoluait sur les pistes de terre du vaste baraquement, le long desquels il croisait parfois l'une ou l'autre jeep, traversant au pas le campement pour convoyer des officiers ou des munitions vers d'autres positions. L'activité qui régnait restait assez distante de ce qu'on aurait put appeler une situation d'alerte. En fait, la plupart des mercenaires se détendait, fusils mitrailleurs contre les murs ou sur le sol, ils étaient installés au table devant les portes de leurs baraquements et jouaient aux cartes. Certains avaient lancé des feu de camp, et faisaient griller des steaks sur le brasier. D'autres fumaient simplement une cigarette entre copains (et certains ne fumaient pas que des cigarettes ... Certains ... Beaucoup !). La plupart n'avaient pas revêtus leurs équipements de combat. Seuls quelques hommes, que l'on identifiaient facilement comme étant la Police Militaire de l'Armée Enderasianne faisaient leurs rondes autour des baraquements, fusils au poing.

Quand à Aël, il croisait régulièrement des mercenaires nouvellement arrivés qui rejoignaient leurs assignations, visiblement peu pressés. C'était les derniers arrivages. Ce soir, le camp serait plein. Et demain, il recommencerait à se vider, les divers régiments hâtivement composés rejoindraient progressivement leurs affectations, et la belle vie cesserait. Aêl eut donc beaucoup de mal à trouver une seule personne qui puisse le renseigner. Mais au bout d'un certain temps, il croisa une demi-douzaine de lascars qui fumaient sur de (très) gros joints, et s'échangeaient des canettes de bière en parlant bruyamment.

[A. Dun Ignis] Bonjour, je suis Aëlingen Dun Ignis, puis je savoir à quelle section vous appartenez?? Ah, y'a un truc qui ressemble de près de loin ou de loin à une armurerie dans le coin?? Et enfin, où est ce que je pourrais trouver le commandant Tilea dans tout ce bordel.

[Mercs] Cool Mec ! Ca va bien ? La Famille, les enfants ? J'te d'mande pas pour le travail, vu qu'il semblerait qu'on soit collègues pour un certain temps ... Moi c'est Willy, là c'est Zack et lui c'est Joao, Désolé pour ton armurerie. Les Enderasians nous refilent que dalle, va falloir que tu fasses avec tes sous. Et pour Telia, euh ... Alors d'ici ...

Le type avait l'air salement éméché, aussi chercha-t-il ses mots pendant quelques minutes sous les quolibets de ses camarades. Mais bientôt, un autre poursuivit :

[Merc] Tu devrais chercher du coté du Mess des Officiers. C'est au bout du camp, la troisième. Mais de ce que je sais, Telia est le genre de gonzesse qui se balade partout pour bien vérifier que tout est en ordre chez ses gars. Tu dois être du 22eme je me trompes ? Eh ben mon pauvre, tu vas pas rigoler.

Et ils poursuivirent leur route en reprenant de plus belle et en soutenant leur comparse qui semblait décidément très mal en point. Encore heureux, la plupart des chefs de section faisait preuve de laxisme lors des premiers jours. Question de laisser l'esprit de groupe se créer principalement. Mais par la suite, les Enderasians risquaient de demander une discipline de fer à ceux qu'ils payaient. C'est dans une guerre que l'on s'engageait !

Eva :

Le Colonel qui parlait habituellement très peu sortit de sa réserve en voyant les deux larons débarquer. Il posa un regard éteint et totalement neutre sur Eva avant de lever les yeux en direction de Drake :

[C. Mikerton] Elle est à vous ?

Les deux lieutenants derrière lui se gaussèrent quelques instants mais se retournèrent et reprirent rapidement leurs activités lorsque le Colonel leur lança un regard noir. Il se retourna dans la direction des deux mercenaires et déclara :

[C. Mikerton] Prenez un papier ici. Et signez-le. Rapportez-ça à vos chefs de régiments. Et toi la gamine, va voir le service du matériel et demande leur une jolie Armure Delta-3 (Voir Armures de l'Union). Je retire 6 200 Crédits de ta première paye. Et j'veux pas t'entendre moufeter ou t'auras directement affaire à moi. Bienvenue dans l'Armée Enderasienne bandes de zouaves. Allez Dégagez.

Et sans prêter d'avantage attention aux deux mercenaires, il se retourna pour flanquer deux coups sur le crâne aux deux lieutenants hilares. D'une voix puissante, et imposant le respect, il lança :

[C. Mikerton] SUIVANTS !

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Charles de Gaulle

Invité

Il serra les dents, son regard brillant d'un éclat glaciale derrière ses lunettes de soleil. Le temps n'était pas à s'enivrer mais à se préparer car bientôt l'aube sanglante se lèverait avec son cortège de douleur et de mort, l'ennemi viendrait inlassable pour tuer ou mourir comme il ne l'a jamais fait. Celui qui avait la plus faible volonté s'effriterait, s'envolant dans le souffle sans pitié du vent brulant de la guerre, s'éparpillant tel la chaume à travers les terres lors de la moisson, une moisson de vie. Il fit un effort immense pour ne pas les rouer de coup sur l'heure, ses muscles se tendant et se gonflant sous l'afflux de sang alors que ses articulations vieillissante hurlaient leur indignation à chacun de ses mouvements alors qu'il poursuivait sa route à travers le campement poussiéreux, se dirigeant d'un pas décidé en direction du mess des officiers alors qu'enfin il rentrait chez lui, là où la vie et la mort danse dans une valse endiablé de tous les instant, un lieu où le moindre faux pas se paye au prix fort, un jeu où seul la vie est une victoire. Les bâtiments en préfabriqués se suivaient et se ressemblaient de même que les loques immondes, spectre d'être humain mort en devenir. Il pouvait le voir, un peu plus grand que les autres, et à peine plus confortable comme il le sied à des quartier d'officier, un garde Enderasiens à côtés de la porte montait une garde des plus laxiste malgrfé le danger imminent. D'un pas décidés Aëlingen s'approcha évitant la foule et les jeep passant sur la route, croisant parfois des membres de la Sécurité Enderasienne également armée.

Soldat, où puis trouver la commandante Tilea dans tous ce foutoir??

Droit, la voie froide mais pas agressive, tel était il devenu. Il nb'était plus Aëlingen Dun Ignis, mercenaire et camarade venu se battre pour un cause qui n'était pas la sienne, mais il était le Lieutenant Dun Ignis chargé de la vie de ses hommes, de leurs vie mais aussi de leur victoire et l'extermination des lézards. Il devait rapidement en apprendre plus à la fois sur ses homme,s mais aussi sur son affectation et la puissance de feu dont il pouvait disposé. Que l'armée Enderasienne fournisse d'ailleurs ou non un soutien à cette force de frappe, qui après tous n 'existait que pour les défendre. Il devait d'ailleurs également allez faire un tour au plus vite, ce serait la prochaine étape...

Certaines bombes sont à base de butane…
D’autres sont humaines.

On dit que lorsqu’un homme perd toute sa chance, le moindre accident devient mortel…

En cet instant, trois personnes avaient leur taux de chance au plus bas, et sans l’intervention d’une personne discrète jusque là, ces derniers seraient sans doutes mort à l’heure actuelle des choses. Se moquer d’une femme comme Eva aussi ouvertement n’était pas une chose recommandable pour sa propre santé et celle de son entourage. En passant par là, et en connaissant son caractère explosif pouvant friser de très près le suicidaire, elle pourrait montrer aux deux hommes que leurs histoires populaires de Rambo, Terminator et autres « super-soldats » avaient bien une base solide au moins sur le domaine de la violence : elle.

Le premier signe visible de cela fut la crispation de ses dents sur sa clope. Mais avant qu’elle n’eut le temps de répondre une pique cinglante au colonel, ce fut Drake qui lui intima silencieusement de se taire, prenant la cigarette de la bouche de la jeune femme, lui posant doucement le doigt sur les lèvres pour lui rappeler où elle se trouvait. Amenant la cigarette à ses lèvres, il en happa une longue buffer avant de la souffler dans la pièce dans un halo grisatre au milieu desquels son regard de glace semblait briller d’une aura menaçante. Cela n’était pas le genre de choses que l’on comprenait, mais que l’on ressentait, une chose que l’on pourrait qualifier de « primale » dormait en cet homme…

Ramenant négligeament la cigarette à la bouche d’Eva, il ne souffla pas un mot et n’émit aucun signe concernant la pique du colonel. Sa neutralité plus que parfaite rappela ainsi à Eva deux choses : de une que ce n’était pas bon pour les affaires que de flinguer son employeur sans une bonne raison, et de deux qu’il n’y avait pas que eux cinq ici… Ils signèrent alors les papiers avant de sortir de la pièce, l’injectant au passage d’une nouvelle couche de fumée pour se diriger d’un pas non-chalent vers l’armurerie.

« Putain, un peu plus et je lui faisait une aération pour ses neurones à ce connard…
- Et un peu plus et ça aurait été tout ton corps qui aurait finit aéré.
- Au moins je me serais bien marrée…

Arrivant à l’armurerie, les deux individus prirent la dite armure à bon prix : elle pourrait toujours être revendue plus cher un autre jour tout comme être utile lorsque le combat viendrait. Cela prit quelque temps aux individus à se retrouver au milieu de cette masse d’équipement militaire mis à la vente comme un vieux stock de l’armée pour finalement en sortir avec la dite commission, bien que le terme de relique désignait sans doute mieux ce qu’était vraiment cette armure comparé aux standards militaires actuel.

Sortant de là ils se mirent à la recherche de plusieurs choses : le mess, leur dortoir (où le coli fut déposé), et diverses choses utiles durant l’attente qui devrait les occuper sans doute quelques temps désormais. Finalement, une fois ce repérage de fortune effectué, les deux personnes s’inquiétèrent enfin de savoir dans quelle compagnie ils étaient et qui serait donc logiquement leur supérieur hiérarchique ainsi que leurs rôle et leurs camarade de mission, aussi pour la plupart sans doute qualifiable de « pré-mort ».

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Aël :

C'est lorsqu'il reprit le chemin de son dortoir qu'Aëlingen croisa une grande femme aux cheveux noirs, courts, fixés dans son dos en une queue de cheval sans aucune prétention. Elle portait un équipement qui ne laissait en rien douter de son expérience. La plupart de son armement et de ses protections était dernier cri. Ne serait-ce que le pistolet Terrien de Type Renegade à sa ceinture, et l'Armure de protection Mk III Seranienne sur son torse, on sentait qu'elle avait déjà vu la plupart des champs de bataille de la galaxie, et qu'elle méritait amplement sa place. Elle était encadrée de six hommes et femmes équipés en tout point comme elle, sauf que eux portaient leurs casques et tenaient, au poing, un Fusil automatique FAM 3 de l'Union. Le petit groupe s'arrêta à hauteur d'Aël, et la femme qui le dirigeait demanda d'un ton impérieux :

[H. Telia] C'est toi Dun Ignis ?

Son regard vert semblait jauger le mercenaire, pour évaluer sa valeur. Il était perçant, profond, et faisait l'effet à Aëlingen d'être passé aux rayons X.

Eva.

La lecture du contrat donna les informations qui leur manquait à Eva et Drake. Le Mercenaire aurait le grade de Lieutenant, et les sections 230 à 239 à sa charge, soit 100 personnes. Eva commanderait la section 231 avec le grave de Sergent. Leur responsable était une mercenaire Bavannoise du nom d'Helena Dinao Telia. Et si on en croyait ses références, elle faisait partie de la petite élite des combattants des zones neutres et s'était déjà engagée sur de nombreux terrains, au service de nombreux employeurs, dans des conflits du genre de celui de Scipio V. Elle avait d'ailleurs abandonné Scipio V il y a deux mois au profit d'Enderasia, ou la paye était moins bonne, mais ou au moins, on ne perdait pas son temps.

Eva et Drake ne logeaient pas aux mêmes endroits. Et alors que la section d'Eva était déjà complète, celle de Drake ne comptait que six personnes pour le moment. Les quatre prochains la rejoindrait probablement durant les prochaines minutes.

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Charles de Gaulle

You’ve made a mess,
For Christ sake, this rotten world.

Dans leurs barraquements respectifs, les deux personnes faisait le listing de ce qu’ils auraient à faire pour se préparer au mieux au combat qui s’annonçait pour le moins « inévitable ». En d’autre terme la première chose à faire était le listing des différente personne présente dans la totalité des sections, de leur matériel et spécialité afin de déterminer les spécificité de chaque section sous le contrôle de Drake. Et à cet commande, Eva ne couperait pas.

Une fois que les deux personnes furent misent en accord sur le fait qu’il s’agissait là de l’une de leur priorité, la seconde était de trouver la colonel Helena Dinao Telia. Pour cela les deux individus partirent à sa recherche, leurs cigarette c’étant depuis longtemps consumés à leur bouche maussade. L’ambiance ne prêtait pas encore à la joie de la victoire ni à l’excitation de la bataille. En fait on pouvait dire que seul l’attente prédominait par ici, sous différente forme, que ce soit l’alcolémie ou la drogue ou toute autre formes de débauches.

Demandant leur chemin aux mercenaires qu’il rencontraient, les deux individus recherchaient désormait où trouver cette personne…

Invité

La meute, créé par les faible pour se couvrir par leur nombre et compenser leur force déclinante, des prédateurs vorace et intelligents mais dont la puissance esseulé n'est guère significative. S'est donc cela qu'ils avaient pris comme commandante, une leader capable de mener un groupe mais qui aurait bien des difficultés à rassembler les solitaire sous sa bannière. Il la jaugea légèrement du regard, dangereuse comme ceux qui l'accompagnaient mais pourtant au plus profond de lui même il ne put empêcher la flamme du mépris de s'allumer pour celle qui combattait sans âme ni sens de la justice, mais juste pour son plaisir et sa satisfaction personnel. Même si au fond il n'était pas très différend il s'était toujours tenu à une ligne de conduite ancienne qui lui avait été enseigné par un vieil homme respectueux de tradition qui déjà se perdait et dont il ne comprenais point le sens profond. Mais il les respectais.

Oui, s'est bien moi... Je suppose que vous êtes Tilea?

Il venait de perdre l'envi de faire le moindre effort, il serait comme il avait été et le serais encore sans doute demain. Après tous on ne change pas facilement, surtout après avoir passé plus de la moitié de sa vie à se battre pour sa survie et pour des idéaux qui semblaient toujours s'éloigner. La volonté ne peut naître de l'argent, s'estc e que tous ces mercenaires oubliaient, la majorité craqueraient et fuiraient devant l'ennemi, les autres continueraient à se battre tant que la victoire serait possible mais toujours en pensant à son argent, son salaire qui viendrait et non à ses familles qu'ils protégeaient. ua fond, il était devenu haïssable et méprisable, mais au moins il n'était plus naïf... Pauvre vieil homme...

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Aëlingen :

Telia jaugea plus sévèrement le type en face d'elle. Elle lui lança un regard noir lorsqu'il écorcha son nom et répondit sur un ton, cette fois, très froid :

[H. Telia] On dit Telia. Tilea, c'est une planète. Et pour toi ce serra Commandant Telia. Et les premiers et derniers mots que je veux entendre sortir de ta bouche à partir de maintenant seront "Chef". C'est clair ? Ceci étant dit, j'ai deux ou trois choses à te dire, choses que tu devras faire passer à tes hommes. Tu rejoindras mon baraquement dans les dix minutes qui suivent avec les gens inscrits sur cette liste. Tous avec quelque chose qui ressemble à un treillis vert et une armure sur le bide. Et uniquement les gens de cette liste. Aller ! Grouilles-toi, j'ai autre chose à foutre de ma journée.

Et elle passa son chemin en poursuivant son inspection. Bizarrement, derrière elle, l'alcool et les cigarettes disparaissaient, les fusils étaient montés, et les hommes avaient revêtus ce fameux treillis vert que demandait Telia. Ils ressemblaient un peu plus à une armée, et un peu moins à des campeurs. Sans même se retourner ni répondre à une question, Telia bifurqua pour pousser sa gueulante à la porte du baraquement suivant. Il y eut même un coup de feu, et l'instant d'après une remontrance sérieuse du commandant Telia et un bruit de choc, et un type qui poussa un cri de douleur. Quelques secondes plus tard, le Commandant en question quittait le baraquement et se tournait vers la suite de son inspection. Si Aëlingen se risquait à regarder, il verrait une demi-douzaine de types en état de choc en train de ranger leur baraquement, et un type allongé par terre, sur le dos, et saignant assez sérieusement du nez.

Aëlingen baissa les yeux sur sa liste. Il y figurait une demi-douzaine de nom de personnes qu'il avait déjà croisé pendant sa recherche du commandant, et un nom qu'il n'avait pas encore vu : un certain "Alfred Von Fried".

Eva :

Rien à signaler.

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La fin de l'Espoir, c'est le commencement de la Mort
Charles de Gaulle

La descente dans l'atmosphère de la planète s'était difficilement réalisé, La rencontre fortuite avec quelques vaisseaux carcar avait amorcé une situation de stress générale... Dans la barge de transport se côtoyaient un nombre incalculables de personnes toutes différentes, de tout sexe, de toutes couleurs de peau, de toutes provenance...
Parmi cet attroupement, un certain nombre de groupes s'étaient formés, rassemblés par ethnies principalement, mais aussi par origine planétaire... Là des jadéens, là des européens. Chacun essuyait son arme, dépoussiérait ses habits... tous différents.
Pourtant, dans cet imbroglio de soldats amateurs une seule chose était partagé... la tristesse. Douleur d'aller au front, douleur de la crainte de mourir, douleur tout court...
Parmi cette foule informe, un homme se détachait, car chacun essayait de prendre le plus de distance possible. Cet homme était torse nu et portait la marque de torture récente. De même un magnifique aigle érikéan était tatoué sur son torse. Pourtant, chacun le fuyait pour l'appareil greffé sur sa colonne vertébrale, une machine étrange dont les reflets bleutés étaient projetés sur les parois alentours de la salle.

Les haut-parleurs grésillaient et crachotaient l'annonce d'un proche atterrissage sur Enderasia, Un probable futur champ de bataille selon la GNN.
Tremblements...
Bruits de pistons hydrauliques...
Silence totale....
La lumière s'éteignit, plongeant la salle dans le noir complet, cela dura quelques secondes. Puis la porte de la soute s'ouvrit, enveloppant la soute d'une puissante lumière. Chacun des passagers se couvrit les yeux.
Quelques minutes passèrent puis un ordre circula dans les rang. L'homme à l'aigle fut l'un des premiers à sortir, s'étant positionner très près de la porte de la barge.
A sa grande stupéfaction, l'astroport était entouré de campement s'étendant à perte de vue. Des bannières flottaient au vent, arborant mille et un insigne. Le jeune homme stoppa net devant cette vision grandiose.
Il fut bousculé pour lui intimer d'avancer.
Après être descendant un com-link lui indiqua de se diriger vers le camp qui avait été approprié aux passagers de la barge.
Tout en marchant, le jeune homme sentit la brise fraîche lui courir le long de l'échine, le faisant frissonner. Un homme l'alpagua.

"Eh toi! L'érikéan, tu descend de la barge 32043? ... Quelle provenance."

Le jeune homme se retourna, présentant sa mine fatiguée au fonctionnaire.

"Jadis, service des légions pénales, je suis en service d'utilité publique pour une durée de... 25 jours si je me souviens bien."

Le fonctionnaire émit un "Ah", mélangeant dégoût et surprise à l'attention du "prisonnier" jadéen. Il s'éloignant sans un mot.
Le jeune homme reprit sa route, se dirigeant vers les services de l'astroport, il se présenta à un guichet.

"Bonjour, je souhaiterai savoir si la navette 34561-PX100 était arrivée, c'est la mienne et elle a été transportée par barge.
-Désolé, le statut de la barge de transport de la légion pénale jadéenne, la LGJ n'a pas été actualisé, nous vous enverrons un message lorsqu'il le sera... un numéro d'identifiant pour vous joindre...
-Eh...134:234:5678:WZ... Je crois..."

La guichetière lui sourit et appela l'une des personnes suivantes. Le jeune homme continua vers un baraquement, c'est alors qu'il se rappela d'un fait et sorti de son jeans déchiré un ticket en papier, un nom et un ordre y été inscrit.
Il changea de route.
Le jeune homme se massa les omoplates, la brise froide l'indisposait. Être torse nu avec un aigle érikéan tatoué attirait l'attention, mais l'interface projetait une aura encore plus étrange sur le jeune homme. Du coin de l'œil il vit plusieurs soldats s'entraîner à viser en direction de sa tête.
Il parvint à un baraquement, un cri... Et une femme marchant à grand pas. Les indications informatiques qui se superposaient de temps à autre à sa vue lui indiquèrent qu'ils s'agissait de la personne que le jeune homme recherchait. Aussi naturel qu'il pouvait paraître, il se dirigea vers la femme et l'interpela.

"Mademoiselle Télia... Eh Commandante... Bonjour, je suis "le représentant" de la barge 32043, je viens vous informer que la LGJ est parvenue à l'Astroport de la base, et que la barge de transport des fournitures militaires de la légion n'est pas encore arrivé. En tout et pour tout, deux mille hommes sans équipements et rations avec juste leurs armes personnels..."

Le ton de sa voix s'évanouit peu à peu en remarquant que plusieurs soldats lui faisaient le signe de se barrer en courant... Le jeune homme perdit quelques peu son enthousiasme.

"Au faite, je ne me suis pas présenter... je m'appelle James Smith, mais on préfère m'appeler Quarante et Un."

James montra de l'un des trois doigts de son bras mécanique le code-barre imprimé sur sa main droite organique, répétant le chiffre "41".

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Base Militaire Enderasiane - Quartier des Mercenaires Jamesban

James Smith, un MJ qui vous veut du bien.

N'oubliez pas: Ω = 1

Invité

Aussi détestable qu'elle en a l'air et en plus totalement à la masse, avec le monde qu'il y'a une dizaine de minute pour rassembler toute les personnes de la liste. Enfin la première étape serait de retrouver les premiers de la liste et qu'il avait déjà rencontré, en espérant que ces derniers avaient déjà décuvée pour permettre de faire face à l'espèce de folle qui se trouvait être leur commandante. Mais un nom lui était inconnu, une personne qu'il n'avait pas encore rencontré pour l'instant et qui portait un nom pour le moins étrange, il regarda un instant le gars étalé dans le baraquement et les autres soldat, il en désigna deux de la mains...

[A. Dun Ignis]

Vous deux, emmenez moi cet abruti à l'infirmerie qu'ils voient comment nous le rafistoler assez pour qu'il puisse se battre, j'en veux aussi deux autres pour me chercher un certain Alfied Von Fried dites lui de me rejoindre à l'armurerie ou au baraquement de la Tilea sans quoi on aura tous des emmerdes.. Exécution.

Ensuite, il commença à faire demi tour se dirigeant en direction de l'armurerie chacun des hommes qu'il rencontrait et qu'il connaissait recevait un ordre. Le premier dut se diriger en direction des baraquements de sa sections pour rassembler ses hommes et leur préciser que ces derniers devaient être impeccable et que les hommes de la liste (qu'il fit apprendre par cœur au messager) devait le rejoindre à l'armurerie ou au baraquement de Tilea dans les plus bref délai. Les autres reçurent un ordre similaire mais leur priorité était la recherche de Von Fried. Pour sa part il continuait son chemin d'un pas rapide en direction de l'armurerie dont il poussa la porte avec une certain violence.

[A. Dun Ignis]

Je suis attendu par une commandante folle alors je vais devoir faire vite, désolé pour la politesse mon gars. Qu'est ce que t'as en armure, en grenade et en munitions pour Q30 et en batterie jadéenne?? Vite, j'ai pas que ça à faire non plus....

Pour des raisons techniques purement indépendante de notre volonté, et par une crise de flémingite aigüe du narrateur, le passage suivant de l'histoire de Evangeline Teïryu ne vous sera pas narré pour la cause suivante : elles continuent de faire la même chose qu'avant.

Cependant, pour vous faire patienter, nous vous offrons ce petit interlude :