Arrivée du général Terry Alexander

PNJ : Terry Alexander

La gare sous-terraine du front Sud accueillit bientot un impressionant flot de soldats du Shields aux armures etincelantes. Ils rejoignaient rapidement les barraquements qui leurs étaient alloués, leurs armes à l'épaule. Alexander fut accueillit par deux officiers en tenues qui lui lancèrent un salut militaire. Il le leur rendit et déclara :

- Mettez en alerte toute la 101eme d'infanterie, et toutes nos forces aériennes dans cette zone. Mes hommes vont se placer à leurs tête. Convoquez également le plus vite possible l'Etat Major de la division. Preparez ensuite un conseil d'Etat Major général des forces armées du front Sud.
- Offensive majeure ?
- C'est cela. Les choses vont changer ici.
- Ce serra fait.

Terry ne poursuivit pas la discussion. Il contourna les militaires et s'engagea dans une Jeep qui le mena, sous terre, jusqu'au haut-quartier général de la Rebellion. L'officier supérieur y attendit à peine un quart d'heure avant que les plus hauts officiers de la 101eme et de l'armée de l'air.

- Messieurs, c'est la générale-Presidente Shaniatwel qui m'envoie. Elle veut qu'une vaste offensive soit lancée dans le territoire Sud, afin de forcer les impériaux à la bataille. Vous avez été assignés à cette mission. Votre travail serra simple. Vos troupes se repartiront en escouades de 20 unités. 250 de ces escouades partiront, et ceux dés qu'elles serront prêtes, en patrouille vers les lignes impériales. Depuis toujours, ces lignes sont du gruyère. L'empire n'a jamais réussi à les faire tenir correctement. Je veux qu'elles emmenent avec elle un poste radio de longue distance. Leur objectif serra de localiser à l'arrière tout les ponts, camps d'internement et bases militaires impériales. Principalement les bases aérienne : même si notre espace aérien est solidement defendu, la presidente-générale Shaniatwel craint que l'ennemi ne puisse le franchir. Une fois les positions ennemies localisées, vous resterez en territoire ennemie. Les forces du Shield qui commanderont vos sections, à raison d'un élément par section, connaissent parfaitement la classification des objectifs.

Terry marqua une pause et reprit :

- Il éxiste trois classes : un, deux et trois. Les objectifs de classe un pourront être détruit directement par les forces d'infanterie. Ils rassemblent des ponts faiblement defendues, des camps secondaires abrittant moins de 50 soldats impériaux, des patrouilles impériales, et d'autres installations de second rang dont les dégats n'auront aucune repercussions majeures sur l'armée impériale, mais des repercussions grâve au niveau local. La destruction de ces infrastructures fragilisera grandement le front de l'ennemi.
Les objectifs de classe deux regroupent toute les installations de type postes-avancés, pont secondaire et autres installation permettant le maintien continu d'une ligne de front. On sait qu'elles sont inneficaces, mais un remaniement dans le commandement impérial pourrait leur permettre de trouver une utilité. Ces objectifs serront le credo des forces aériennes. Vous allez tenir toute vos forces stratégiques en alerte. Vous bombarderez massivement les objectifs de classe deux que vous transmettront les escouades. Utilisez un hélicoptère stratégique et tout son stock de missiles téléguidés par objectifs de classe deux.
Les objectifs de classe trois rassemble les casernement majeur de l'armée impériale. Ils sont facilement localisable, mais globalement doivent être éradiqués. Vous vous contenterez de transmettre leurs positions à nos troupes et nous aviserons en temps voulu de ce qui doit être fait pour ces objectifs. N'oubliez pas que nous excluons tout affrontement direct.

Terry passa enfin au dernier point :

- Concernant vos hommes à présent. Qu'ils n'oublient jamais une chose : leur vie est plus chère à la Rebellion que la réussite d'une mission. Ils n'abandonneront jamais un cammarade, et ne se lanceront pas dans des opérations déséspérées. Quand l'objectif est trop difficile à détruire, ils battront en retraite. Qu'ils estiment correctement. Ce sont des vétérans et des soldats d'élites, je compte sur eux. Transmettez leur bien ceci : si plus de 10% de nos effectifs sont perdus dans une opération pareille, la Rebellion peut plier ses bagages et cesser tout combat. C'est une mission de reconnaissance : Furtivité, Rapidité, Efficacité.

Le général clotura là la scéance d'Etat major. Il répondit à quelques interogations avant de quitter la piece. Il lui fallait maintenant attendre les resultats de la mission de reconnaissance avant de lancer une quelquonque opération autre.

L'opération, qui s'etendait sur un front de plusieurs centaines de kilomètres, durerait plusieurs semaines. Les forces rebelles se ravitailleraient d'elle même dans la jungle : elles étaient rompues aux combats de guerilla et savaient comment survivre longtemps et discretement alors qu'elles étaient coupées de tout.

HJ : Rappel : les hélicoptères stratégiques rebelles peuvent tirer des missiles jusqu'à 25 ou 30 kilomètres de distance. Une fois qu'ils ont tirer, ils s'en vont, et quand le missile arrive, il est déja trop tard pour agir. De plus, ils opèrent au creux des vallées, ce qui leur accorde un couvert aux radars. Leurs missiles font de même, ce qui fait qu'il n'est possible de les voir qu'une fois qu'ils vous tombent dessus ... ou alors vu du dessus.

Ceci bien sur, dans la meilleur optique des choses ...

Forces engagées :

250 hélicoptères de combat Wolfgang
250 soldats du Shield
5000 soldats d'élites de la Rebellion

Invité

il faut un récapitulatif impérial dans la zone. Etant une opération majeure, un joueur par faction minimum est nécessaire. On fera au tour par tour comme les batailles spatiales. Une carte serait sympa aussi. Quand j'aurias les données au moment de l'attaque, je modèrerais avec des résultats de manœuvre. Si vous voulez faire un mouvement avec une finalité secrete, j'accepte les mp que je retranscrirais dans un psot administratif que les protagonistes sont priés de ne pas voisiter

HJ : La carte est irréalisable : les opérations se déroulent sur une ligne de plus de 5000 km de long et serront assurément trés longues dans le camps Rebelles. C'est une campagne en soit. Ce n'est pas une bataille : c'est une opération de Reconnaissance qui prend la forme de dizaines de mutliples petites escarmouches.

Je laisse Lucius Verrus dire quelles sont les troupes déployées dans cette zone, après quoi je m'occuperai de la gestion de la bataille pour lui laisser le temps de jouer ses autres PJs.

Dans le premier post, front de plusieurs centaines de Km, maintenant on parle de plus de 5000 Km... Faudrait savoir ce qu'on veut . Bref, l'ensemble des troupes déployées au sud postées ici en spoiler, vu le flou qui entoure la description de la ligne de front je peux pas répartir correctement, à noter que vu la vitesse des chasseurs atm, les bases sont pas à deux pas du front et hors de portée des rebelles et que les soldats de l'armée ne sont pas dans manches non plus après tant d'années de guerre, les alentours d'un avant poste sont forcément minés, je laisse donc ce topic à Caïus

Spoiler:

Le Préfet en charge de la ligne de front sud fut vite mis au courant des frappes engagées par la Rébellion. Dès les premières frappes, il mit ses troupes en alerte maximale : les unités aériennes, en particulier les MIJ-III, devaient quadriller le ciel de la région à haute altitude pour éviter les missiles sol-air mobiles (type stinger) et repérer et abattre les hélicoptères.

[J'attends plus de précisions du MJ sur la réussite ou non de l'opération Rebelle pour compléter.]

Invité

Si les rebelles pouvaient se targuer de posséder un système anti-aérien digne de ce nom, l'empire lui s'etait doté d'une concentration contre les appareils légers assez terrifiante. Même le dernier imbécile savait qu'une attaque de cette envergure nécessiterait la neutralisation d'au moins une partie de ces installations. L'attaque ciblée de ces points ouvrit un couloir à l'aviation qui s'engouffra dans la brèche en un temps record.

Les premiers objectifs furent atteints sans trop de pertes, à peine 2 hélicoptères abattus pour des résultats encourageants, mais l'ouverture du couloir n'était pas passée inaperçue et l'aviation impériale ne tarda pas à quadriller le secteur. Contre de la chasse, un hélicoptère était une cible facile et sortir du couloir équivalait à un suicide. le retrait aérien s'accompagna d'un déploiement au sol pour éviter un ciblage incendiaire. La réaction impériale serait plus difficile au sol, sachant qu'au moins 5 hélicos opéraient encore dans la zone, échappant aux radars impériaux.

Statut:

Malgré l'impressionnant score de réaction des impériaux (97), l'attaque ne peut être balayée comme ça. C'est pourquoi je prefere entamer un retrait des unités aériennes.

Rebellion: perte nulle en hommes, par contre les hélicos ont morflés avec 13 pertes face aux chasseurs

Empire: destruction de la base imépriale de premiere ligne avec les systemes anti-aeriens: 900 victimes et perte du matériel correspondant
Le front est clairement volatilisé coté impérial sur 10km de large et 30 de long laissant aux rebelles un couloir.

Pas fini

Ayant appris que les hélicoptères Rebelles battaient en retraite, le Préfet ordonna que 50 000 soldats, sans jeeps, se disposassent en arc de cercle autour du couloir ouvert par les Rebelles, à raison d'environ un groupe de 10 tous les 8 mètres : ils devaient ensuite avancer lentement mais surement en établissant un no man's land, coupant toute végétation. Les occupants d'éventuelles habitations seraient nourris par l'armée. Une fois le front reformé, ils avaient obligation de s'établir comme précédemment. Du reste, sur l'ensemble de la ligne de front, ordre fut donné de transformer également la ligne en no man's land, sur une bande de vingt kilomètres de large, en usant d'explosifs et d'incendiaires dans les zones inhabitées et plus traditionnellement ailleurs.

Du reste, les parachutistes devaient être homogénéiquement répartis le long de la ligne de front par groupes de deux cohortes (j'ai 36 cohortes sous mes ordres), accompagnées à chaque fois de deux porteurs quadrimoteurs, dont quatre manipules (480 hommes/manipule) par cohorte seraient en alerte constante pour pouvoir être projetées partout où des Rebelles étaient repérés.

Enfin, des patrouilles permanentes devaient être effectuées le long de la ligne de front, d'abord par l'infanterie seule, puis accompagnée des tous terrains et de décuries blindées dès lors que la ligne de front serait dégagée.

Alexander observait la console de commandement holographique depuis son bunker. L'empire avait été vaincu durant la première phase de l'affrontement. Ne pouvant éradiquer la Rebellion elle-même, il s'attaquait à présent au terrain dans lequel étaient abrittée les forces Rebelles. Il observa pendant une dizaine de minute les bois qui séparaient les deux camps. Ceux-ci étaient brulés et bombardés en vue de créer un No'Man's Land. Si cette opération réussissait, l'Empire pourrait sans aucun soucis localiser les forces de la Rebellion qui tenteraient des attaques, et donc, dégarnir son front pour transférer des troupes ailleurs. Par exemple sur l'arrière de ses lignes, là ou opérait le Shield et les guerrilleros éxtérieurs. Mais Alexander n'avait pas l'intention de laisser l'empire opérer. Il observait la scène avec attention. Cependant, ses troupes étaient toujours déployées au coeur des lignes impériales. Ceux-ci n'avaient en effet pas put éradiquer les forces Rebelles abrittées dans les bois environnants ses bases. C'était à Terry d'utiliser cet avantage. Les troupes impériales devaient former un front continu pour ravager ainsi les bois, Terry savait comment les vaincre.

- Déployez les chars d'infanterie Komarova.
- Vous êtes sûr ? C'est un atout à ne pas révéler !
- Ils ont clairement l'avantage dans ce type de terrain. La forêt est trop dense, les UL-2 et Marauders impériaux sont trops imposant pour évoluer sur ce type de terrain et les fantassins impériaux ne pourront pas affronter des tanks aussi rapides.
- Général, oui Général. Combien d'unités devont nous déployer ?
- Tous. Un par Kilomètre du trou dans la ligne de front trouée. Ils avanceront par des itinéraires détournés pour frapper les troupes impériales dés qu'elles seront à portée. Les autres effectueront des patrouilles permanente dans les autres points de la ligne pour attaquer les forces de demolition impériale.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Les chars Komarova s'élancent, flottant silencieusement dans les airs, au dessus du difficile terrain forestier, à hauteur des frondaisons. Ils les frolent, et leurs filets de camouflages les rendent invisibles à moins de voler à 30 mètres du sol. C'est la mort silencieuse de la Rebellion. Un de ses plus efficaces atout aprés le Shield. Ces tanks polyvalents, rapides et silencieux s'empressent de foncer sous la ligne des arbres lorsqu'ils approchent des forces de déboisements impériales : clairement localisable de part le tumulte qu'elles provoquent dans les sous-bois. Ils se trouvent alors à un kilomètre des lignes impériales et commencent le terrible ménage : leurs 5 mitrailleuses lourdes et leur canons lasers crachent les feu de l'enfer pendant une longue minute avant que le char ne fuit à travers les sous-bois, rejoignant les routes forestières sur lesquelles les patrouilles de l'empire sont alors inexistantes : ceux-ci voulant éviter de tuer leurs propres fantassins.

Les chars s'éloignent ainsi, ayant frapper loin au dela de la portée des fusils d'assaut Graam 4 de l'empire, et trop rapidement pour que l'empire ne les localise. Ils se dirigent vers d'autres cibles, pour répandre la mort dans les rangs de l'empire avant de rejoindre les lignes Rebelles, leur sinistre besogne accomplie.

Derrière eux, jaillissent alors les soldats Rebelles des vagues d'éclaireurs, qui au mieux de leur forme, achevent le travail par de petits raids de harcelement sporadique. Si ce plan fonctionnait comme sur des roulettes, la Rebellion aurait une fois de plus mis en déroute les forces de l'empire.

Troupes déployés :

150 Chars légers Komarova

MJ, pour précisions sur le tank komarova, regarde l'encyclo Rebelle, dans l'onglet véhicule. Tant que le char ne tire pas, il n'est pas localisable du tout (a moins de savoir qu'il est déja là Smile

)

Invité

Les impériaux se déploient le long de la ligne de front. Devant eux un spectacle d'enfer se dessine, sur des kilomètres, l'artillerie et l'aviation impériale transforment chaque centimètre carré de forêt en un brasier dont la fumé se voit sur une très longue distance, rendant les satellites aveugles. Derrière, à perte de vue s'étalent les légions en ligne de l'empire soutenues par les véhicules qui désormais ont le champs libre.

Le première tentative d'approche rebelle est annulée. Les chars, même s'ils passaient le brasiers qui les séparent de l'infanterie, seraient alors à découvert devant un amas de troupes. Un suicide quoi. La solution est de contourner par les flancs. 2 groupes de 15 chars passent au dessus des lignes anti-aériennes intactes pour prendre en tenaille les impériaux déployés. L'alerte n'est donnée que trop tard. Déjà la mort s'abat comme de la grêle sur les groupes impériaux. Le carnage n'a pas de nom: les chars remontent la ligne jusqu'à ce qu'ils tombent a court de munitions, ils sont alors abattus joyeusement par les UL-2. Mais les autres chars passent ensuite à l'attaque causant encore plus de pertes coté impérial. A tel point d'ailleurs qu'un replis stratégique est demandé au QG. Les données sur les pertes sont catastrophiques.

Statut:

L'archétype même de l'attaque surprise combinée a de bons jets de dés d'attaque (13 en def bad). J'arrête a ce moment car les impériaux doivent pouvoir répondre a ce massacre. C'est a yuki de parler en premier cette fois. J'ajoute qu'un tel carnage va décupler le moral des rebelles.

Impériaux: 25000 victimes, 40 UL-2, une boucherie. Le centre est intact mais les flanc de la formation sont décimés des deux cotés. Les para déployés après coup réduisent les pertes mais 200 d'entre eux ont touchés le sol en plein milieu du barrage incendiaire (traduction ils ont brulés).

Rebelles: 57 chars abattus par les UL-2, 12 autres endommagés devant etre réparés (les UL-2 font mal), pas de combats d'infanterie donc pas de pertes.

hrp : j'ai oublié de faire les Majs de troupes, donc faut que je fasse ça d'urgence (j'aurais put déployer 200 chars de plus)

Alexander observe le massacre sur l'écran holographique. L'empire a décidemment donné un sérieux avantage à la Rebellion. En observant le brasier, et les hautes colonnes de fummée qui brouillent la vue des impériaux, il lui vient une exellente idée qui permettra de protéger Kurolvik et Dabrimoï des bombardements orbitaux :

- Terry Alexander, je demande une comunication d'urgence avec Sarah Warshal et Alienor Danton.
- Communication activée.

Terry envoie alors la simple image dsu brasier à Alienor et Sarah. Il leur adresse un grand sourire en déclarant :

- Ces impériaux ont toujours de bonnes idées.

Il coupe ensuite la communication. "Alienor et Sarah auront compris" Pense-t-il. Enfin, il se retourne vers l'Etat Major Rebelle de la ligne Sud qui observe l'immense Victoire qu'il vient de remporter. En une attaque, ils ont infligé à l'empire des pertes qui équivalent à un dixieme de leurs effectifs actuels, la victoire est saisissante.

- Ca n'est pas tout messieurs. Lorsque les flammes arriveront ici, elle risqueront de détruire nos propres structures. Mais j'ai prévu un petit quelque chose pour les impériaux. Ordonnez à nos hommes de construire des ventilateurs artisannaux : du carton, des groupes élétrogênes ou des batteries, ce que vous voulez, et un petit moteur devrait suffir. Et envoyez les ordres suivants aux usines de Kurolvik. Qu'ils me construisent chaques mois 200 funnytanks à partir des chassis des chars Sarkin : j'en veux 50 équipés de ventilateurs, 50 équipés de chaines à mines, 50 équipés de hauts-parleurs, et 50 équipés de projecteurs de fumigênes.
- Je crains de ne pas comprendre.
- Moi je me comprend. Prevoyez ces troupes en reserve. En attendant, ne diminuez pas la pression sur les impériaux. Envoyez en premier lieu une troupe de deboisement à la limite de nos lignes. Passez avec des chars Sarkins au bas de nos lignes dans les sous-bois pour créer une zone franche de 200 mètres de large. Les nuages générés par la fumée de nos amis impériaux devrait les couvrir. Qu'ils agissent rapidement.
- On ne va pas beaucoup géné les impériaux avec ça.
- Mais laissez-moi terminé, s'indigna (faussement) Alexander. Lorsque les ventilos serront prêts, montez-les sur des jeeps Maravedor et des chars Sarkin. L'empire ne peut pas nous attaquer : ses flammes constituent un véritable barrage. Faites tourner les ventilateurs à pleine puissance. Nous allons retourner le feu impérial contre lui même.
- C'est risqué !
- Trois hommes par Jeep et 500 jeep ? Les risques sont minimes.
- Ce serra fait.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Les rebelles foncent dans leurs véhicules avec des cargaisons de petit ventilateurs aux palmes humidifées. Ils avancent furtivement et les fixent dans les bois. Ils les activent à pleine puissance et laissent leur vent artificiel ainsi crée faire le reste. Le feu allumé par les impériaux ne tardera pas à se répandre de leur coté de la ligne de front. Bléssés et survivants connaitront bientôt les affres des flammes.

HJ : La constructions des ventilos ne devrait rien me couter. Les chars Sarkin modifiés non plus : il ne sagit que d'un vieux concept datant de la WW II aprés tout.

Autre question : on est à quel période de l'année ? Mousson ? Saison seche. C'est important : propagation du feu et action aérienne. Le temps n'est pas toujours beau et ensoleillé.

[Je note que, très vraisemblablement, le feu a pris sur plusieurs kilomètres de large, en tous les cas plusieurs centaines de metres, alors je voudrais bien voir la taille des ventilos... Puis les impériaux ne sont pas stupides, j'ose espérer que les hommes savent à peu près ce qu'ils font et qu'ils ont prévu des contre-feux et une limite déboisée pour éviter que l'incendie ne se répande jusqu'à eux. De toute façon, là on va avoir besoin d'une carte parce que très honnêtement je ne visualise plus rien du tout : la taille du front varie d'un post à l'autre, bref c'est incompréhensible. Une carte n'a pas besoin d'être ultra détaillée et peut même être schématisée mais histoire qu'on puisse à peu près comprendre où est qui.]

HJ : Laisse au MJ le soin de modérer Caïus. J'ose éspérer que les impériaux ne sont pas stupides.

Maintenant pour te guider un peu (je peux pas faire de carte là, j'en ferai une ce soir), la region Sud se compose globalement du coté rebelle d'un territoire de haute montagne, et du coté impérial de plaines un peu bosselée.

Entre les deux s'étendent des vallées glacières (dans lesquelles le vent souffle fort, les ventilos ne sont pas seuls Smile

). Globalement, l'empire s'y est avancé tout comme la Rebellion. Quand au front qui nous occupe, je lui donnai la largeur d'une vallée.

J'ai pas relut le topic qui décrivait le front physiquement dans l'encyclos Rebelle (ou celui qui décrivait les territoires occupés je sais plus). Mais globalement, je crois que mon souvenir est juste (pas certain).

Edit : Me suis trompé, ma description est vague dans le topic concerné ... Bref c'est comme ça que je la voyait (et que ça me semble logique ... Des mesas dans la jungle c'est byzarre ...)

Au MJ d'en décider.

Le repli stratégique est accordé immédiatement. Le Préfet demande une description rapide de l'arme ennemie :

- Léger, rapide, très discret, Préfet.

- Et combien sont-ils pour massacrer 25 000 soldats avant qu'on ait le temps de réagir ?

- On en a abattus une soixantaine, endommagés une dizaine de plus, Préfet. Ils doivent encore en avoir autant, voire le double.

- Envoyez un groupe d'hélicoptères de combat couvrir la retraite. Après, laissez brûler, assurez-vous que le feu ne peut pas se propager jusqu'à nos lignes, et laissez de l'infanterie en alerte, protégée par des blindés, au cas où ils tenteraient un mouvement massif. Pour l'instant, nous nous retranchons, restons en alerte, et sommes prêts à réagir au moindre mouvement de leur part. Je veux attendre les résultats du déboisement. Ah, et envoyez de quoi remplacer les hommes perdus sur cette zone, plus des UL-2 et des Maraudeurs. Et que les troupes engagées reprennent jeeps et l'ensemble de leur matériel.

Troupes engagées (comprenant celles précédemment mises)

2 légions d'infanterie motorisée :
46 080 hommes et 11 520 jeeps
4 légions de Maraudeurs :
2 400 chars
8 légions d'UL-2 :
4 800 chars
2 Légions de Long-Tom :
1 200 artilleries
1 groupe d'hélicos de combat :
48 appareils
tous les parachutistes, tous les porteurs quadrimoteurs, les MIJ-III continuent de patrouiller

Invité

Climat:
pluies faibles sur toute la région
vent important sud-nord mesuré a plus de 90km/h impliquant une très forte progression du feu vers les lignes rebelles. Augmentation de 23km/h par rapport aux derniers relevés.

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Le déploiement rebelle se fait sous couvert d'une épaisse fumée. De ce coté, aucun appareil ne peut plus voler à cause des particules dans l'air. Ce dernier devient même difficilement respirable et légèrement toxique. Malgré tout les jeeps équipées de ventilateurs se mettent en place et commencent leur travail. Derrière, les impériaux ne voient rien.

Pourtant, vers 15h, la situation s'envenime. Le vent forcit et les ventilateurs ne sont plus à même d'influencer la progression des flammes. Le terrain accidenté empêche une retraite des éléments motorisés contre un feu faisant des bonds de plus de 100m. Plusieurs équipages sont pris dans les flammes et périssent dans des cris atroces. Plus dévastatrices que les impériaux eux-mêmes, les flammes avancent sur plus de 15km, passant les pare-feu et détruisant les appareils sur leur route.

Statut:

Le feu est à 2km de la ligne de front historique. La moitié des troupes rebelles dans la maquis a brulé. Ceux qui ont traversé le feu se sont fait accueillir par les para. Progression rapide des flammes dans la vallée.

Impériaux: rien pas de changement

Rebelles: 225 jeeps brulées, 550 morts autour. Les hélicos rebelles encore dans la zone sont détruits. 5% de pertes coté troupes régulières, rattrapées par le feu.

Pour le temps: Pour ne pas avantager un camp ou un autre, j'ai tout fait avec le générateur aléatoire. Donc le bilan est un vent impériaux-rebelles, fort et ayant bcp forci ces dernières heures empêchant donc l'anticipation. La pluie est trop faible pour faire quoi que ce soit. Prochaine point météo a mon prochain poste.

Les impériaux reçurent l'ordre de nettoyer totalement la zone que le feu avait laissé derrière lui, afin d'empecher ce dernier de revenir en arrière si le vent tournait.

HJ : Y'a aucun hélicos en vol : quand mes hélicos interviennent, ils décollent et se posent en l'espace d'un tour : c'est le principe du harcelement et c'est le même pour toute mes unités.

Les forces Rebelles déployées (premières vagues) sont normalement déja au coeur des lignes impériales. Vu qu'elles n'ont pas été sollicitées, m'étonnerait qu'elles aient bougé ...

PNJ : Terry alexander

Alexander observait le front de flamme qui avançait rapidement vers ses troupes. Le vent s'était levé beaucoup trop rapidement. Terry n'osait pas imaginé le nombre d'hommes qui avaient perit dans cette incendie. Il n'osa pas immaginé les souffrances dans lesquelles ils s'étaient trouvés. Il comprit maintenant toute l'ampleur de l'adversaire qu'il avait en face de lui. Ils n'étaient pas mieux que Vénator, ils ne lui étaient pas égal. Ils étaient pire : les officiers de l'empire savaient pertinemment que la Rebellion n'avait pas de forces d'extinction d'incendie dans cette région. Ils savaient pertinement qu'il y avait, à moins de douze kilomètres derrières les premières lignes Rebelles, des civils, qui étaient plus victimes qu'acteurs de cette guerre, bien que fortement fidèles à la Rebellion. Malgré ces informations, ils avaient pris le risque délibérer d'incendier des hectares de jungles, ils avaient pris le risque délibéré de massacrer des innocents. La légère pluie qui tombait à présent en presageait une nouvelle, plus forte. Mais Terry savait qu'il ne pourrait pas compter la dessus uniquement.

Il ne fallait pas se laisser abattre. Une solution, trouver une solution. La Rebellion aurait bien assez de temps pour dénoncer ces attaques barbares, visant délibérement civils et vies innocentes plus tard. Pour le moment, il fallait sauver un maximum de ces vies. Terry reflechissait, le feu avançait. Il fini par se tourner vers son opérateur Radio et lui annonça :

- Envoyez tout nos Chars Sarkin sur l'arrière, qu'ils évacuent les civils. Requisitionnez tout véhicules capables d'accueillir ces réfugiés.
- Ou est-ce qu'on emmène tout ce beau monde ?
- Kurolvik ou Dabrimoï, mais loin d'ici.
- A vos ordres.

Alexander se retourna vers l'hologramme de mission. Un vent Sud-Nord. Il avait fallut qu'il ai une poisse pareille. Il observa les reliefs : deux crêtes encore avant que le feu ne se trouve sur les premiers avant-postes Rebelles. Pouvait-il utiliser cette donnée topographiques ? Il se creusa les méninges. Inflencer le vent ? Impossible. Détournez le fleuve le plus proche ? Pas dans un laps de temps aussi court. Mais oui ! C'était bien sur !

- Soldats, je veux que tout les hommes disponibles me placent des charges explosives le long de la deuxieme ligne de crêtes. Celle juste avant les hauteurs sur lesquelles se trouvent nos avant-postes. Provoquez des glissements de terrain pour étouffer le feu dés qu'il se trouvera dans la vallée entre les deux hauteurs.
- Aye Aye Sir.

Invité

Climat:
la pluie s'arrête
vent fabile sud-nord mesuré à 12km/h, la progression a flanc de montagne reste cependant importante à cause des ventsmontant
Baisse de 78km/h par rapport aux derniers relevés.

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Alors que les commandos rebelles minent la montagne, le vent se met a faiblir donnant ainsi le répits supplémentaire pour parfaire le travail. Pas moins de 300 tonnes d'explosifs lourds sont dispersés le long de la crête quand la détonation survient. Même derrière le nuage noir de fumé, les impériaux peuvent admirer le spectacle d'une montagne qui s'effondre. Des kilometres cubes de roches dévalent de la montagne étouffant tout bonnement le feu en contrebas et arrachant toute ce qui restait de vie sur un demi kilometre. Cependant les troupes loyalistes ne sont pas affectées, trop occupées à circonscrire les nouveaux départ. Les paras, eux, plus proche sont localement ensevelis.

Lorsque la poussière se dissipe, le mont Regent a perdu la moitié de sa taille et toute sa superficie est désormais à découvert, un no man's land naturel. Pourtant, l'éboulement a bouché la rivière en aval formant un barrage naturel. La formation d'un lac empêche la progression des impériaux, mais avec un débit de 200m cube/sec, le barrage ne tiendra pas longtemps et lorsqu'il cèdera, le mégatsunami qui s'en suivra sera dévastateur.

Statut:

Feu stoppé a 1.5km de la ligne de front historique. No man's land naturel sur 1km de part et d'autre et coupure de la rivière dans le sens impérial=>rebelle (tiré aux dés ainsi que le débit).

Rebelles: pas de perte: coupe critique l'objectif est rempli

Impériaux: 200 paras sont protés disparus

Le Préfet, recevant les divers rapports de la situation et observant une partie des opérations lui-même, ordonna la retraite organisée, aux limites du no man's land, des troupes encore sur place susceptibles d'être touchées par la vague lorsque le barrage cèdera. Il demande aux ingénieurs une estimation rapide des dégats qu'occasionera la vague dans chacun des camps, et surtout une approximation du temps dans lequel le barrage cèdera. Pendant ce temps, l'artillerie doit pilloner les positions ennemies au hasard : les Rebelles mettent un point d'honneur à ne pas établir de camps qui seraient trop facilement attaquables, ils se dispèrsent, ainsi doc il doit y en avoir un peu partout...

Invité

la vague deferlerait dans la vallée coté rebelle sur plusieurs kilometres. La distance exacte depend de plusieurs facteurs

PS: ce serai bien que je puisse supprimer des message ou les editer

Alexander observe le barrage. La vague qui deferlerait dans la vallée ne semble pas dangeureuse pour ses troupes : les camps Rebelles, installés au sommet des montagnes ne sont pas menacés par la vague. En revanche, les populations civiles pourraient être atteinte. Alexander ordonne de poursuivre l'évacuation des villages situés au plus proche de la vague. Il défini plusieurs zones de priorité et ordonne le décollage de tout les hélicos de transport de la zone. Les gunships Shaniatwel sont également mis à profit. On déplace les civils vers la vallée voisine ou un train de surface les conduit prestemment jusqu'à Kurolvik. La-bas de nombreux controles sont éfféctués avant que les villageois ne soient installés dans les nombreux logements déja prévus pour ce genre de situation.

L'évacuation est légérement génée par les bombardements impériaux, qui prennent parfois des villages pour cible, croyant avoir affaire à des bases Rebelles, mais les pertes ne serront que minimes d'aprés Alexander : les rebelles sont enterrés sous la surface et encore protégés par des casernements en bétons. Il faudrait plusieurs journées de bombardements concentrés, en théories pour percer ces protections. L'empire bombarde de manière dispérsée, imprécise. Même aprés un mois de bombardement, les pertes resteraient totalement négligeables dans ces conditions.

Pour Alexander, l'empire accorde un répit dont il a besoin. Bien que de part et d'autre de la vallée, cette vague provoque une coupure dans la ligne, il est toujours possible de la contourner grâce aux tunnels reliant les cinq camps de la zone : le campement en bout de vallée (coté Rebelle) devient ainsi le fer de lance de la défense Rebelle dans cette région ... C'est là qu'Alexander établie son Quartier Général.

- Tant que nous n'aurrons pas de force aérienne valable, il ne serra plus possible de passer dans cette région. Appelez les installation du CARS à Omicron. Qu'ils débutent la production de chasseurs Ballon Noir d'aprés les plans de la flotte. On en aura fortement besoin.

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Alexander fut interrompu dans son bureau pendant qu'il examinait plusieurs vieilles cartes d'égout qui datait bien avant le règne de Vénator. C'était sa secrétaire particulier, Irania Falins, une jeune recrue qui a vu ses parents se faire exécuter devant ses yeux lors d'une des nombreuses purges quand Venator dirigeait ses terres, quelqu'un d'énergétique, qui apprend vite et digne de confiance même si elle se relève assez inexpérimentée, vu que relativement jeune avec ses 19 ans.

"Général, le front Sud nous signale qu'une opération Impérial est en tout, environ une trentaine d'appareil ont passé le front Sud et se dirige actuellement vers Kurkovik. Nous ignorons leurs objectifs actuellement."

- Transmettez à Kurolvik l'ordre de faire décoller nos appareils depuis Omicron. Interceptez les impériaux dans le ciel de la ville. Mettez notre DCA en batterie à Kurolvik, Dabrimoï et Omicron. Continuez de poursuivre ces appareils au radars. Nos chasseurs les intercepteront avant les bombardements.

Depuis la base Omicron, les 12 chasseurs MIJ I et les 12 chasseurs MIJ III que le CARS à copié et produit décollent en trombe. Leurs pilotes sont exellents : il sagit de contrebandiers payés pour cette mission en attendant l'arrivée des véritables officiers de chasse de la Rebellion.

Ils évoluent au creux des vallées, prés du sol, pour éviter que les radars ennemis ne les localisent. Lorsqu'enfin ils rejoingnent la position des appareils ennemis, que les Rebelles n'ont pas lacher, ils remontent en chandelle et envoient une salve de missiles Air-Air Tête chercheuse contre les impériaux. La bataille aérienne commence.

Hj : bien fait de les construire ceux-là.

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La secretaire ne donne pas l'ordre immédiatement et semble regarder son général en deux fois. Après un léger moment d'hésitation, elle finit par répondre.

"Euh... Oui, Général... Tout de suite Général. J'ai peur néanmoins qu'il tente de nouveau gagner du temps, on a vu ce que cela à donner sur la ligne de front."

Irania ressort de la pièce pour donner l'ordre à Omicron et il faudra quelques minutes pour qu'Alexander rentre en contact avec Omicron à partir de son bureau pour voir la situation des opérations. La secrétaire finira par le rejoindre peu après. Sur son écran, Alexander se rend vite compte qu'il lui faudra un peu de temps pour que ses appareils aillent au combats et le fait que les impériaux apparaissent rarement l'écran de radar ne facilite pas les choses ne facilite pas la connaissance de l'objectif.

"Général, l'un de nos appareils, vient de détecter l'ennemi, contact dans 3 minutes."

(Suite arrive selon la réponse de Julius)

Invité

Une paire bleu qu'ils ont dû avoir ces pilotes, les rapports sur l'écran tactile est alarmant mais aussi instructif. Cinq appareils abattus bien avant le contact et la plupart on eu un reflexe bien assez tardif, croyant qu'il comptait bombarder un petit village non loin, où le seul objectif digne d'intérêt est une gare qui sert pour le ravitaillement à la surface. Le restant est une manœuvre dont Alexander ne connait pas le nom mais à une idée du principe. Une tonne de leurre, ils éteignent leurs radars et ils disparaissent pour jouer à un simple cache-cache.

Maintenant, il sait ce qu'il a affaire en face. Sur les 47 appareils, car tel est leur nombre, il est facile de deviner qu'au moins 36 appareils sont équipé de missile de croisière. Leur objectif est de détruire une infrastructure d'importance, reste à savoir laquel. Les deux seuls bons côté des choses, ils ne pourront pas se cacher indéfiniment, les réserves de carburants n'étant pas infini, sans parler que si jamais il y a contact avec l'ennemi, l'adversaire ne pourra pas résister longtemps. Des appareils équipés de missiles de croisières ne valent rien dans les combats rapprochés.

Le plus dur maintenant, c'est de mettre la main sur la main et avec la couverture satellite habituel de l'armée impérial, cela ne va pas être une mince affaire.

(3 appareils MJ I et 2 appareils MJ III d'abattu)