Hegemony
Dans un univers troublé, l'avenir de la galaxie et de la race humaine vous appartient
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| | Ministère du Commerce Extérieure |  |
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Sander De Pelsemaeker
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 |  Sujet: Ministère du Commerce Extérieure  Mar 19 Mai 2009 - 19:29 | |
| Ce bâtiment moderne abrite, depuis presque 200 ans, le plus important ministère de la République d'Alganzaar. Il est l'œuvre de Ernesto Lopez, l'un des plus éminents architectes du Système Sol, qui gagna concours qu'organisa la République pour édifier un hôtel aux ambitions financières et commerciales de cette dernière. L'ancien bâtiment ayant été saccagé et incendié, par des émeutiers durant les événements sociaux Juin 2512. Après un chantier de deux ans, l'ensemble du Gouvernement participa à l'inauguration de l'édifice. Le bâtiment est situé en plein cœur des Hauts-quartiers, non loin du Palais Présidentiel et du Parlement. | |
|  | | Sander De Pelsemaeker
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| | Sujet: Re: Ministère du Commerce Extérieure Mar 19 Mai 2009 - 20:04 | |
| Dans son immense bureau, Sander fixa les derniers documents que Pelkins lui avait donné pour qu'il les signe avant la fin de la journée. La plupart concernait des demandes d'entreprises alganzaariotes pour l'obtention d'autorisation à l'exportation vers certaines zones du Pacte, notamment vers Erikea et Seranon. Ces dernières avaient "allégé" les procédures administratives pour certaines sociétés d'Alganzaar, notamment les sociétés commerciales spécialisées dans les systèmes électroniques de pointe. Il adossa sa signature sur les documents, avant de se lever de son siège et de regarder l'étendu urbain qui se présentait sous sa vue.
Cela faisait quelques années qu'il était dans cet immense bureau. Il avait fait du chemin depuis l'obtention de son diplôme. Il avait obtenu richesse et gloire, alors que le commun des mortels ne l'obtiendrait qu'après plusieurs décennies, voir après plusieurs vies! Et aujourd'hui, il n'était pas encore au sommet car il lui restait certains postes à avoir, notamment celui de Président d'Alganzaar dont il briguait depuis qu'il avait commencé la politique. Il sourit à l'idée de déposséder le "vieux sénile" de son poste. Il avait encore un bout de chemin à faire. Il lui manquait quelques appuis au sein de la majorité, notamment de certains députés. Leurs acquisitions se faisaient par le biais de l'argent, les femmes, la drogue et le chantage... Bref toutes les armes qu'avaient Sander!
Soudain, le bruit de l'holophone se fit entendre dans la pièce, avant qu'une voix n'en sorte:
- Monsieur le Ministre, votre rendez-vous de fin de journée est présente. Dois-je la faire rentrer?
- Bien... Faites la introduire, Pelkins.
Quelques secondes après, la porte coulissante du bureau s'ouvrit. Pelkins resta de l'autre côté du seuil, faisant signe la jeune femme arkillianne d'entrer. | |
| | | | Chronos
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| | Sujet: Re: Ministère du Commerce Extérieure Mar 19 Mai 2009 - 20:29 | |
| Maryna Coça entra avec un petit sourire, son habituel chignon bien serré comme d'habitude. Elle portait un classique tailleur bleu foncé, presque noir avec de fines rayures blanches au niveau des coutures, assorti avec un chemisier blanc et des collants transparents. Un minimum de bijoux. Une petite farde contenait son ordinateur portable, en fait une simple plaque assortie de poignées, et quelques documents. Remerciant Pelkins la jeune femme s'avança et salua le ministre.
-Monsieur de Pelsemaeker, bonsoir.
Bon je te laisse prendre le relais. | |
| | | | Sander De Pelsemaeker
Débutant
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| | Sujet: Re: Ministère du Commerce Extérieure Mer 20 Mai 2009 - 0:16 | |
| Attention, ce texte peut contenir des propos ou des images, littéraires, choquantes pour un certain publique. L'auteur de ce texte ne fait pas dans la pornographie, ni dans l'apologie du viol comme moyen de s'affirmer, loin de moi cette idée. Si le texte choque ou dépasse le cadre légal dans certains pays, notamment la France. Je supprimerai le texte, en vertu des règles législatives sur la protection des mineurs et la diffusion de matériel, pouvant se rapprocher de la pornographie, même si je considère, que cela n'en est pas! Edit Cassandre: Mise en spoiler. Histoire de coller aux régles du forum (bienvenue chez les juristes hein^^).Edit Sander: Aucun problème pour moi, j'avais eu l'idée mais j'ai oublié!- Spoiler:
Sans rien ajouter d'autre, Pelkins ferma la porte. Il ne pouvait oublier le sourire innocent de la jeune femme qui ignorait qu'elle se jetait elle-même dans la tanière d'un lion affamé. Il soupira et s'installa dans le meuble qui lui servait de bureau de fonction. Il regarda l'horloge et soupira. La journée n'était pas encore terminée...
Pendant ce temps, Sander s'approcha de son hôte, avant de dire, l'air souriant:- Je suis heureux que vous ayez pu venir, Mademoiselle Coça. J'espère que nous pourrons finaliser rapidement le travail que l'on nous a confié.
- Je l'espère aussi, Monsieur De Pelsemeaker.
- Appelez-moi Sander! Je ne suis guère adepte de toutes ses formalités qui encombrent les relations humaines... Est-ce que je peux vous appeler Maryna?
- Si vous le voulez... Sander, dit-il le moment d'une hésitation. Mais je dois vous avouer que cela me mets mal à l'aise!- Je comprends, mais l'on s'y habitue très vite croyez-moi. Je suis quelqu'un de plutôt "accessible", contrairement à ce que certains disent. Il laissa une pause de quelques instants, avant de reprendre. Mais revenons à l'objet de notre présence ici, Maryna.
- En effet! J'ai d'ailleurs certains documents avec moi qui pourrait faciliter ces accords.
- Quelle femme prévoyante vous faites! J'adore cette qualité. Dit-il de manière enthousiaste. Puis-je les voir?
- Bien sûr! Répondit-elle, avant de s'assoir dans l'un des deux sièges présents l'immense bureau d'acajou terrien. Pendant ce temps, Sander s'assit sur le rebords du mobilier sculpté et fixant les longues jambes de la jeune femme. Ses yeux parcoururent les courbes dans son intégralité, même par dessous les différentes pièces de tissus qui constituaient le tailleur. Il était en train d'imaginer ses dessous, quand elle se releva et dit:- Tenez.Sander se releva et tendit son bras pour prendre les différents documents. Il prit quelques instants pour parcourir les premières pages des documents. Après une rapide analyse de son contenu qui donnait les différents règles de droit international applicables à leurs affaires et les différentes prérogatives que les sociétés alganzaariotes devaient pour obtenir des autorisations d'exploiter sur le territoire arkillian. Pour lui, ce n'est qu'un charabia de juriste en manque d'affection conjugale. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il détestait les juristes. Sans trahir son manque d'envie à lire les 1200 pages, il préféra répondre, en continuant à tourner les pages à la cadence de 15 pages par seconde:- Je peux dire que vous m'épatez, Maryna!- Je n'ai rien fait, Sander. Il ne s'agit que d'une base réglementaire établie par nos...- Vous voulez boire un verre? Coupa-t-il.- Boire un verre?- Oui! Je n'arrive jamais à conclure une affaire avant d'avoir bu. Et puis, c'est une tradition sur Alganzaar que de boire quand nous sommes en négociation! - Je l'ignorai... Personne ne m'avait dit qu'il existait une telle tradition chez les comemrçants d'Alganzaar!- Cela prouve que le diplôme ne donne pas le savoir universel, Maryna. Je vous offre donc? - Je prendrai une liqueur de fruits, si vous en avez, Sander.- Je dois bien avoir quelque chose qui puisse satisfaire votre palais. Sander s'éloigna de la jeune femme avant de se diriger vers une armoire électrique où il entreposait ces différents alcools. Il appuya sur le bouton d'ouverture pour faire glisser la pièce mobile dans l'axe du mur et dévoilant une impressionnant collection d'alcool, mas aussi un moniteur dont l'utilité n'était pas lié avec les alccols. Profitant de cette excuse de "tradition", il exécuta différentes commandes qui isolèrent complètement la pièce du monde extérieur. A cet instant précis, elle ne pouvait plus sortir et même si elle avait la force de hurler, personne ne pourrait l'entendre. Pour lui, le piège était terminé! Sans trahir le sentiment jubilatoire qui lui parcourait l'esprit, il prit une bouteille de vin cuit que lui avait donné un dignitaire skeïbien et versa une partie de son contenu rougeâtre dans l'un des verres à sa disposition. Par compléter son mensonge de "négociation arrosé", il se prit un whisky arkillian. Il se retourna, avant d'ajouter:- Je n'ai que du "Sancti". C'est un petit vin cuit skeïbien à base d'un alcool dont j'ai oublié le nom, mais je peux vous assurer qu'il est excellent.
- Je vous remercie, dit-elle avant de prendre le verre de ses mains et de le porter à ses lèvres. Sander but d'une traite son whisky et de dire, en s'approchant d'elle:- Bon, passons aux choses sérieuses Maryna... Qu'est-ce que vous portez comme dessous?
- Pardon... Mais je...
- Ne faites pas votre vierge effarouchée, je demande ce que vous portez comme culotte!
- Mais cela ne vous regarde pas, lança en se levant de son siège.- Si cela me regarde car j'ai envie que vous portiez l'un de ses strings qui rentre...
- Mais qu'est-ce que...
- Allons faites un effort... Je vous laisse l'initiative de vous déshabiller sans que j'use de la manière forte! L'on pourra dire que c'est mon jour de bonté.
- Mais... Je...
- Il n'y a pas de mais Maryna, dit-il en continuant de s'approcher alors que la jeune femme reculait pour lui échapper, Je suis assez calme pour le moment, mais je risque d'être très méchant si vous ne m'écoutez pas!Au bout de quelques secondes de poursuite, elle était dos au mur et lui bloquait tout échappatoire. Il était assez fort pour la bloquer d'un geste et elle le savait. Elle ne se doutait pas qu'il pouvait agir de la sorte en un quart de seconde. Ce n'était plus un homme civilisé, mais un fauve...- Si je me déshabille... Vous me laissez partir? Dit-elle, aux limites des larmes.- Bien sûr, je suis quelqu'un de raisonnable, Maryna. Vous devriez le savoir depuis le temps que l'on se connait!Même si elle ne croyait aucun mot des paroles qu'il venant de prononcer à son égard, la jeune femme s'exécuta, comme si elle savait que sa survie en dépendait. A un à un, elle ôta ses vêtements devant le regard malicieux de l'homme qui se présentait à elle. Elle avait honte. Cette honte lui dévorait les entrailles. Elle ne se sentait plus le courage de se regarder dans un miroir, ni de soutenir le regard de la personne qui la dévisageait avec envie. Elle ne souhaite que son cauchemar ne cesse, qu'une personne vienne à son aide! Quand elle fut entière nue, les mains jointes devant son intimité comme pour protéger sa dernière once de dignité, Sander fit quelques pas. Maryna recula, mais arriva rapidement contre le mur. A sa hauteur, Sander admira les formes dénudées de l'arkillian et ne regretta pas qu'elle soit présente ce soir. D'un simple geste, il voulu écarte les mains qui lui cachait le point culminant de son observation. Mais il rencontra un résistance. A début, il s'en accommoda. Mais au bout de quelques secondes d'insistances de sa part, la colère prit le pas sur le plaisir et sans autre forme de procès, il leva sa man droite. Puis frappa Maryna du plat de sa main. Cette dernière tomba sur le sol, avant que son bourreau ne lui donne deux coups de pied alors qu'elle était au sol. Son visage s'était transformé sous l'effet de la douleur. Quand à Sander, la colère l'avait envahi et il lui lança:- Je te demande pas grand chose, espèce de salope! Je vais te montrer comme je traite les salopes de son espèce!Le ministre l'agrippa par les cheveux pour la l'extraire du sol, avant de la lancer contre son bureau. Sous l'impact, elle cria de douleur et resta affalé contre le bois froid. Elle ne pouvait plus bouger, ses jambes l'avaient lâché. Derrière elle, Sander commença à se dévêtir. Elle pleura en suppliant qu'il s'arrête. C'était le début du cauchemar!_________ Trois heures après avoir fait entrer l'attachée commerciale, Sander sortit du bureau comme si rien n s'était passé. Non loin, Pelkins s'était levé devant la vision de son supérieur. Quand il vit ce dernier, Sander s'en approcha et ajouta:- Je voudrais que vous vous occupiez de Mademoiselle Coça, Pelkins.
- Bien, Monsieur. Est-ce que je dois prendre des dispositions?
- Oui... Ramenez-la à son ambassade, après qu'elle se soit "recoiffer", Pelkins.
- Oui, Monsieur. Mais vous ne risquez pas que... Avec une ressortissante d'Arkillia
- Pelkins... Je fais cela qu'avec des femmes consentantes, vous le savez bien!
- Je... Le sais, Monsieur.
- Bien, alors faites votre besogne, Pelkins. J'ai d'autres affaires qui m'attendent.Et sans attendre, il s'empressa de le quitter. Quand il disparut de son champs de vision immédiat, le secrétaire soupira. Il détestait ce travail, mais il n'avait pas d'autres choix. il ne savait trop et partir ne pouvait signifier que sa mort administrative. Sans se presser, Pelkins entra dans le bureau pour réparer les dégâts causés. Sous ses yeux, la jeune femme n'était plus que l'ombre d'elle-même. Elle était dos contre le bureau, les jambes flottant dans le vide. Du fluide corporel s'écoulait des principales ouvertures qu'une femme normalement constituée pouvait avoir. Son visage tumifié était recouvert d'un peu de sang, mélangé à du maquillage et d'autres substances que Pelkins ne voulait pas s'imaginer. Malgré sa présence, la jeune femme ne bougea pas. Elle était détuite physiquement et moralement. Pelkins eut pitié d'elle, comme des autres qui étaient passés sous les mains "expertes" de son ministre. Comme voulant transporter un objet fragile, il la prit dans ses bras, avant d'ajouter à son égard:- Je vous prie de me pardonner, Mademoiselle... Pardonnez ma lâcheté et celles d'autres qui ne veulent affronter ce fou...A ces mots, elle versa quelques larmes mais aucun mot ne sortit de sa bouche ensanglantée. Dans les heures qui suivront, elle serait devant l'ambassade où elle sera pris en charge par les équipes médicales. Ainsi se termina ce cauchemar.... Et ainsi commança un nouveau...
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