Le Gouvernement skeïbien, malgré son envie de vendre des Sokol pour soutenir l'industrie aérospatiale, émit certaines réserves à fournir dans une "zone à risque" des appareils "modernes". Au cours des jours à cette demande, plusieurs lobby industriels firent pression auprès du Secrétariat à la Défense et du Secrétariat aux Relations Extérieures pour obtenir une autorisation d'exportation d'armes, selon les règles en vigueur. En attendant, cette autorisation, la Direction rédigea un premier jet de devis. Ce dernier était établi selon le coût préétabli de la version export du Sokol, le MEF-01 E. Son armement était composé d'un canon bi-tube de 30mm Sekorski-Baumn et de sections nécessaires pour accueillir les râteliers-missiles, mais PZL n'émit aucune garantie quant à la livraison des missiles adaptés (Notamment les missiles anti-aériens multi-environnements basé sur des modules anti-G locaux, copies miniaturisés et modifiés, dans sa conception du moteur arkillian Anti-G 488 K)
Quant à l'électronique, il était aussi modifié par rapport aux appareils skeïbiens et n'avaient pas la totalité des équipements, comme le transpodeur skeïbien et du Pacte, les attaches pour les Pod radars Argus ou de reconnaissance Démeter, le radar multi-rôle, etc. Cela ramenait le prix de l'appareil à 35,7 Millions de Crédits Standards. Le total du devis est de 1,42 Milliards de Crédits.