Mendoza [Tychus-Aaron]

Escargil.
Seconde ville des Etats Unis de Goyas

Un sentiment étrange étreignait la cité littorale. Le port et ses quelques navires blancs, en grande majorité des pécheurs, et quelques plaisanciers. Malgré une chaleur écrasante, on était pas à l’abri d'une brise qui appellerait l'imprudent à refermer sa chemise. Dans cette atmosphère de vacances relatives, un homme sirotait son cocktail. Il voulait sans doute se donner l'air d'un local, mais les grands blonds ne courraient pas les rues. Les fausses notes s'accumulaient sur ses vêtements. Un homme le rejoint, d'une structure bien plus solide, une véritable force de la nature.

- Bonjour monsieur Tychus, asseyez vous je vous prie.

Tychus venait de faire 4 heures de route depuis le spatioport le plus proche, vétu d'une chemise, le véhicule venait de le déposer. Le conducteur descendit lui ouvrir la porte, ouvrit le coffre et tenta tant bien que de mal de soulever son sac. Tychus lui dit:

"Laisser moi faire..."

Il souleva le sac sans effort et d'une main, pour enfiler la bandoulière sur son épaule, tout en mettant ses lunettes de soleil.
L'homme tentait de lui demander de l'argent, mais il avait une certaine peur de la boule de muscle se trouvant en face de lui, Tychus sorti sont portefeuille de la poche de son pantalon. Et l'ouvrit.
Il demanda à l'homme:

"Combien je vous dois?"

L'homme un peu plus rassurer lui répondit:

"Cela fera 167, 50 crédits pour le transport, monsieur."

Tychus lui tendit 200 crédits, et lui fit signe de garder la monnaie. L'homme le remercia.

Le taxi partit tandis que Tychus rentrait dans le bar. Son imposante stature, avait laisser quelques bouches bé. Il remarqua un "faux touriste" au bar, il le reconnu quand son visage s'était retourné, Mr Aaron Eden, un véritable numéro, mais quelqu'un de confiance. Sur ces paroles il s'installa sur le tabouret près de lui tout en déposant son sac et lui dit:

"Bonjour à Vous Monsieur Eden, j'espère ne pas vous avoir trop fait attendre, vous demandiez à me voir?"

Il fit signe au barman de prendre un Whisky pur sans glace.

- Un Whisky de bon matin? Et bien monsieur Tychus, vous n'avez peur de rien, j'aime ça. D'ailleurs, vous me connaissez, appellez moi par mon prénom, ça ira très bien. Je ne fais pas très couleur locale, alors n'en rajoutons pas.
Enfin, je ne suis pas là pour parfaire mon bronzage, donc si ça ne vous dérange pas, nous allons parler du travail...

Après avoir sondé une seconde du regard le mercenaire, Aaron s'étira, puis regarda vers le ciel. Quelques prédateurs volaient, en groupe.

- Vous voyez, chaque pays, pour sa sécurité a besoin d'une aviation. Ce petit paradis pour expat' aussi. Aussi ici, je vends quelques chasseurs, ne vous formalisez pas, ils en ont besoin. Seulement j'ai un concurrent. Si vous aussi vous voulez aider ce joli pays à survivre, en lui fournissant les meilleures armes pour sa défense, je crois que nous nous entendrons. En êtes vous?

Tychus écouta attentivement Aaron et ses dires, une mission simple et pas vraiment compliqué, mais cependant il lui restait une question qui n'avait pas eut le temps d'être expliquée. Et il lui répondit:

"Bien sûr, j'accepte ce travail honnête pour le bien de ce petit pays. Mais j'aimerais aussi en apprendre d'avantage sur la mission dois-je simplement faire pression sur les autorités compétentes ou fermé la boutique définitivement ou bien faire d'abord pression puis faire disparaître les preuves?"

Il était vrai que la vue était magnifique un petit bout de paradis ce monde, Tychus s'y verrait bien pour une retraite complète ici. Même s'il savait qu'il ne vivrait pas jusque là. Aider Aaron était deux bonne chose à la fois, un bon allié en cas de pépin et aussi une forme d'extension pour Freigtech tentant d'étendre leur marché. Par contre pour Tychus c'est surtout un ami sur lequel il pouvait compter. Il regarda une nouvelle fois le paysage sifflant son verre d'une traite tout en levant le bras pour en commander un autre.

Il regarda Aaron et continua:

"Je tiens aussi à préciser que je suis équipé à toute éventualités." lui dit-il en montrant son sac.

Aaron ne pouvait pas voir ce que ce dernier contenait, mais il pouvait avoir une petite idée sur l'armement qu'il y avait dedans. En tout il y avait un fusil de précision, un fusil d'assaut deux pistolets, 4 grenades, du C4 et de l'équipement de commando léger (pare-balle, protège tibia, mitaines en cuir, corde, grappin, etc...)

Aaron savait bien que Tychus était un soldat d'excellence. Par décence, jamais il ne lui avait parlé de son passé, car jamais l'énorme masse de muscle n'avait souhaité aborder le sujet. Dans ce monde pourri, les hommes souffraient beaucoup, et parfois, il valait mieux ignorer les anecdotes morbides. Au final, on jouait tous un rôle.

- Tu n'es pas pilote de formation je pense, néanmoins, tu connais peut être nos petits oiseaux. Les Ballons Noir sont des chasseurs d'excellence, c'est un fait. Ils sont mieux connus que les M1, autre arme que nous produisons, moins chère cependant. Vois tu, un M1, plus rustique est plus adapté à ce milieu. Enfin, je te passe les détails technique. Le fait est qu'en face, ils proposent un appareil moyen, ayant une grande partie de sa qualité dans le spatial. Pas réellement nécessaire quand on a pas de réelle flotte spatiale tu le reconnaitras.
Bref, trois experts donnent leurs avis, l'un est acquis à notre cause, et il nous faut l'avis d'un des deux autres pour gagner le marché.

Il savait pertinnement que Tychus comprenait la notion d'expert. Quelques hommes étaient honnêtes, mais la plupart étaient des vendus, notamment dans ces petits pays. Aussi, il laissa poursuivre Aaron.

- Parmi les deux autres, l'un n'a jamais hésité à se faire des ennemis, jamais. Il est père d'une famille nombreuse, ex- soldat émérite. Bref, un homme admirable. Je ne sais pas s'il votera pour les M1, mais je sais qu'on ne peut pas faire pression sur ce soldat tout à fait admirable.
Le second par contre; un corrompu notable, et un ami de mes ennemis. Il est marié avec une étrangère... Bref, c'est lui notre but. Son nom est Zakuya.
Tu as le choix des armes si j'ose dire. Une seule consigne. Ils doivent voter pour nous. Une seule option, ils ne doivent jamais pouvoir nous accuser de quoique ce soit.

Il tendit un acte de propriété à Tychus, pour une belle villa locale. Dans le dossier, il y avait quelques données glissées la par le plus grand des hasards traitant de Zakuya. Avait il des questions?

Tychus récupéra l'enveloppe écoutant attentivement ce que Aaron avait à lui proposer, il l'ouvrit puis regarda les photo une admirable villa composé essentiellement de bois, et de pierres, une vieille maison qui savait garder son charme dans les environs plutôt sympathique. Le proprio avait du goût dommage qu'il soit pourrit. Il regarda les autre photos celles d'un homme qui semblait être un peu trop bien habillé, suivit de la photo d'une femme magnifique étrangère. Elle n'était pas typée du coin. Tychus compris très vite les exigences de Aaron, il compris que le contrat devrait être silencieux. Sur la photo, il avait pu remarquer que sa femme était enceinte. Tychus demanda:

"Dis moi, ces photos ont été prises quand exactement? Car la femme est enceinte sur la photo je pense."

Il réfléchit buvant d'une traite son deuxième verre de Whisky. Il regarda autour de lui personne ne pouvait l'entendre, il tenta tout de même de baisser une peu le ton:

"Sinon je verrais le plan comme ceci je prend sa femme, pour l'amener dans un endroit sur afin que son mari opère en ta faveur. Puis une fois le contrat achever notre petite famille vient à avoir ... un accident domestique ou bien un crime passionnel à toi de voir."

- Un crime passionnel suivi d'un suicide... C'est si triste. Cette femme a perdu malheureusement pour elle son enfant. Enfin, malheureusement, tant mieux pour eux peut être. Pour ce qui est de la maison, regarde bien, il y a celle du client, et puis il y en a une qui appartient à la station, je serais ravi de t'en faire profiter si tu le souhaites. En tant qu’acompte en fait.
Enfin, je te laisse choisir ce que tu veux faire, tu sais comment me contacter discrètement, et tu sais comment lui expliquer ce qu'il aura à faire.

Aaron termina son verre d'une traite, et s'apprêtait à régler l'addition, faisant signe à une serveuse qui s'approchait. Il regarda la plage et le port.
Il n'avait pas réellement de doute quant à ce qu'il faisait. Faire du mal à un pourri, était ce bien un crime?

Tychus continua et siffla un autre verre de Whisky, il regardait la vue magnifique un nouvelle fois, se leva tout en soulevant son sac. Il dit à Aaron:

"Cela me ferais mal au cœur de détruire une si belle maison, et puis l'enfant nous fera toujours un mobile, pour la police. M'enfin on verra d'ici là, mais je pense que les hangars du port ferais un très bon endroit de location pour notre convive. J'espère que vous passerais une bonne journée, et que vous pourrez dormir la tête bien reposée."

Tychus sorti du bar pendant que Aaron payait l'addition. Il pris la route en direction de la villa, il allait directement dans la maison, nous étions un Mardi, ce bougre travaillait et sa femme devait être à la maison.

Il y avait plus qu'un élément à mettre en place: Kidnappé la femme. Machinalement Tychus avançait dans les rues de la ville, la chaleur était omniprésente il faisait un peu touriste. Donc les marchant tentait de lui vendre des babioles. Rien de bien intéressant, il s'arrêta néanmoins en chemin. Pour essayer de gagner une voiture, et tenta inexorablement de jouer au jeu et pris deux ticket à 5 crédits chacun. Il regarda puis ses numéro n'était pas sorti, pas vraiment de chance aujourd'hui. Mais bon il savait que perdre allait être dans son lot, il continua à avancer il devait être midi. il s'arrêta pour prendre un morceau, il pris un simple sandwich a base de poisson, une spécialité locale.

Puis repris la route jusqu'à arriver à la villa, il pouvait voir la jeune femme étendre le linge à l'extérieur, il regarda autour de lui s'il n'y avait pas de gardes. Il y avait aussi, ce qu'on pouvait appeler, un véhicule local une sorte de petit pick-up un modèle dépasser, mais très présent localement.

Il alla en direction de la grille. s'il n'avait pas vu de garde armée ou autre, le rapport n'en mentionnait pas.

Le champ était apparemment libre, la jeune femme étendait le linge tranquillement, chantonnant une sonatine. Rien ne semblait contrecarrer les plans de Tychus.
Or un instant après un garde apparu derrière une baie vitrée de la villa. Pas d’arme létale, mais un pistolet électrique.

Tychus regarda et ne préféra pas hésiter un instant, il sorti une carte du coin de son sac. Et avança, au portail extérieur, il sonna à la porte attendant que quelqu'un réponde. A ses avance, le garde repéra Tychus au portail, un touriste vu de loin. Le garde étant le seul à avoir entendu la sonnette, il sorti et s'approcha, et fit:

"C'est une propriété privée ici, dégagez!"

"Excuser moi monsieur, je me suis perdu et j'aimerais retrouver ma route si vous avez un numéro de téléphone une itinéraire sur la carte à me montrer."

Le garde s'approcha du portail et lui dit: "Vous voulez aller où?"

"J'aimerais aller à l'hôtel, le plus proche à moins que vous en ayez un à me conseiller, les mioches du coins m'ont dis de venir dans le coin, mais j'ai pas trouver d'hôtel."

Le garde était à coté du portail Tychus lui passa la carte à travers les barreaux. Vérifiant au préalable que personne ne l'observait. En lui tendant la carte, il lui agrippa la bras puis la tête, qu'il fit percuter contre le pilier près du portail.

C'est gardes du corps vraiment, ils vont les chercher n'importe où. Le garde était assommé pour au moins 4 bonne heures. Il fallait bien un témoin pour dire ce qu'il s'était passer. Tychus récupéra les clés sur le garde et ouvrit le portail. Il regarda une dernière fois dans la rue et ferma. Il déplaça le corps du garde, il pouvait encore entendre la voix de la femme en train d'étendre son linge.

Il planqua le corps inanimé du garde dans la maison l'attacha à une chaise et déposa un mot:

"Si toi ou le garde vous parler de cela. Ta femme en payera les frais. Personnellement je me débarrasserais du garde toi même ça évitera qu'il y ait une fuite inutile. Tu auras la suite des instructions quand elle te seront donnés. Appliques les et ta femme n'aura rien. Ne t'en fait pas tu nous ait plus utile vivant que mort d'autant qu'on assurera ta protection dans l'ombre."

Il alla dans le jardin et embarqua mis la main devant la bouche de la femme pour qu'elle ne puisse pas crier. Elle se laissa faire au vu de l'arme.Tychus lui dit :

"Si tu crie tu va mourir. Comme ton garde du corps."

Il lui dit de monter dans le véhicule et il allait conduire en direction du port. Tychus avait le pistolet électrique pointer vers elle, il ne voulait pas lui faire de mal pour l'instant.

Le garde émergea de l’inconscience vers la fin de soirée. Reprenant ses esprits mollement, il observa les environs et vit le portail défoncé, aucune trace de violence à l’intérieure, mais la jeune femme était disparu…Avec vigueur il parvint à défaire ses liens et put lire le message qui avait été déposé sur ses genoux.
Tremblotant il lit la feuille et appela son patron. En lui faisant apprendre la nouvelle, il n’eut aucune réaction de la part de son interlocuteur. A l’autre bout du fil, l’homme, Zakuya était effondré…

La situation était mal, très mal…

Tychus descendit les ruelles de la ville en voiture, accompagné de la femme sous la pointe d'un tazer. Elle tenta de frapper Tychus, mais la boule de muscle ne répliqua pas, fallait bien qu'elle passe ses nerfs la petite. Elle tenta d'avoir des explications, mais Tychus ne broncha pas. Il était rester silencieux et n'avait pas voulu parler à la femme. Elle tenta plusieurs fois de sortir de force, mais Tychus lui rappela le Tazer.

Il alla dans le port durant la nuit, et loua un hangars sous un faux nom. En même temps quand on vous propose le double, vous demandez pas forcement le nom du gars. Le local était loué pour une semaine, plus longtemps que le temps des négociations pour ne pas avoir de lien avec les négociation d'armement. Tychus lui dit de jouait les gentilles filles sinon il allait devoir tuer tout les témoin devant elle, et tout ceci serait de sa faute. Si elle jouait le Jeu elle n'aurait aucun problème et personne n'en aurait.
Arriver au hangars, elle fut installer dans une pièce entièrement fermée, la pièce était autonome, frigo et tout ce qui s'en suit, avec un lit. Rien de bien haut de gamme, juste quoi faire vivre deux-trois marin et d'accueillir un véhicule et un bateau.

Tychus passa un coup de fil quand elle s'endormit tant bien que mal.

"Allo, désolé de vous appeler si tard, mais notre hôte aurait bien besoin qu'on lui rappelle quel type de protection il faudrais pour ce beau pays. Passer une bonne nuit Monsieur, vous savez où me contacter."

Le conseil avait lieu demain vers 21 heures, juste le temps d'attendre, puis il récupèrerais sa femme à son retour.

Aaron reçut le message et le lendemain la réunion pour la démonstration des balons noirs eut lieu. L'un des observateurs et décideurs semblait avoir peu dormi et était à cran. Il regardait tour à tour tous les entrepreneurs restant sans pour autant les fixer dans les yeux. Lorsque son regard plongea dans celui d'Aaron il baissa immédiatement les yeux, fixant ses pieds, rouge de fatigue.

Le soleil venait de se lever, Tychus était toujours dans la chambre avec la jeune femme. Elle dormait encore, une vrai masse peut être qu'elle ne voulait pas se réveiller et qu'elle pensait vivre un cauchemar. Tychus prépara un petit déjeuner, rien de bien spéciale des tartines, d'un produit local avec un jus de fruit. Pendant la préparation, la jeune femme tenta sa chance, mais elle n'était pas vraiment, Tychus sans un mot la laissa faire. Quand elle arriva à la porte, Tychus lui dit:

"Si j'étais toi, je ne tenterais pas ma chance."

Elle se mit à crier à en vouloir à Tychus. Elle tenta de s'attaquer à lui en vain. Puis alla s'asseoir, Tychus lui posa le plateau du petit déjeuner devant elle. Cette dernière rechigna. Tychus lui dit:

"Bon si tu veux pas, je le mange. Mais bon tu risque d'avoir faim."

Elle repris le plat et mangea. Elle se remis sur son lit, grimaçant. Quelques heures plus tard, Tychus prépara le déjeuner. Dans l'après midi lors de la conférence. Tychus passa un coup de téléphone sur un canal crypté, il dit au mari:

"Je pense que tu saisis l'importance de ton choix durant la conférence, le Bulkarien doit être vainqueur. S'il ne l'est pas ta femme en payera le prix. Si tu veux une explication disons que le concurrent du Bulkarien à entuber mon boss. Si tout ce passe bien, tu retrouvera ta femme ce soir chez toi en rentrant."


Il raccrocha attendant que Aaron l'appelle pour confirmer sa victoire, pendant ce temps attendit 19h pour remonter dans la voiture avec la jeune femme pour la ramener chez elle.

Le contrat était entré dans le marbre.
Les Etats Unis de Guyas, signaient un contrat complet, prévoyant l'achat de 100 chasseurs bombardiers M1. La Station Bulkar devrait les produire en trente mois, et l'acheteur s’acquittera d'un paiement de 3.2 milliards par an, soit, huit milliards en tout. Chaque année pourra avoir lieu une renégociation à condition que les deux parties l'acceptent.

Aaron fut prévenu immédiatement du résultat heureux, au final tout le travail de Monsieur Tychus avait été inutile car deux sages avaient votés pour le M1, en plus de celui qu'on avait aidé. C'était malheureux pour ce dernier, qui paierait cher sa faiblesse. Tant pis. Sa femme était belle.
L'union des ingénieurs de Bulkar se fendit d'un communiqué.

"L'Union des Ingénieurs Bulkarriote salue le peuple des Etats Unis de Guyas.
L'Union s'incline devant une nation qui a su faire fi des pressions de grands et puissants états, pour préférer une solution sur mesure. Pour préférer sa sécurité et son indépendance vis à vis d'intérêts moins honorables.
L'Armée Aérienne des Etats Unis de Guyas sera doté d'Aéronefs M1, extrêmement moderne et polyvalents. Elle rejoint le club de moins en moins restreint des utilisateurs du Matériel Bulkarriote."



Ce qui n'était pas dit dans le communiqué, c'est que d'après les conseils avisés de certains spécialistes de l'Armée Aérienne désormais cliente, on proposa à la République de Veracruz d'ouvrir des négociations pour la récupération d'armements modernes. En effet, certaines nations de Mendoza ayant des vues sur le petit pays, les Etats Unis de Guyas, n'en faisant pas partie, voyaient avec plaisir la possibilité de les déranger. Mais ceci est une autre histoire...

[Qu'un MJ permet?]

[Hrp] Edit des prix[Hrp]

La transaction faites, l’un des observateurs quitta précipitamment le lieu de vente et fila chez lui en attente d’un appel, espérant retrouver saine et sauve sa femme.
De l’autre côté, les Etats-Unis de Guyas étaient heureux de la transaction et espéraient beaucoup des ingénieurs bulkariotes. Les Etats-Unis par ailleurs dans leur relation avec la République de Veracrux renvoyèrent l’état-major de l’état voisin aux ingénieurs bulkarr pour voir s’ils étaient intéressés postérieurement par une commande, ou une démonstration.

Le mari faisait des ronds dans son appartement, libérant par ailleurs le garde en fort état d’hypoglycémie et de déshydration, le malin avait cru bon d’allumer le chauffage en plein été.

Tychus était devant la porte, d'entrée avec la jeune femme. Tychus reçu l'appel, juste avant d'arriver, il disposait de 20minutes avant que le mari rentre. Il dit à la femme:

"Tu va pouvoir rentrer tranquillement. Il faut juste que je récupère quelque chose à l'intérieur et tu ne me verra plus jamais."

La femme sonna à la porte, elle pleurait de joie. Le garde ouvrit le portail. Tychus se trouvait derrière la femme, menaçant le garde du corps de baisser son arme, avec son pistolet braqué sur la tête de la femme. Le garda préféra céder, Tychus s'approcha et assomma le garde. Il demanda à la femme qui semblait avoir peur, de l'aider à le monter sur le lit en haut. Il précisa qu'il était suelement amoché et que d'ici quelques minutes il reprendrait ses esprits. La femme n'aida pas vraiment. Tychus mit le garde dans le lit. Puis demanda à la femme de rester près de lui. Ce qu'elle fit. Tychus l'assomma elle aussi en pinçant un nerf.

"Trop naïve..."

Il décida de déshabiller les deux, démontant le lit comme un jeune couple ayant fait ça tout ça toute la journée, envoyant quelques affaires dans le couloir. Tychus déposa la fille sur le garde doucement. La mettant de manière à croire à une folle journées d'amour qui s'est bien déroulé. Tychus descendit par la fenêtre entandant la porte d'en bas s'ouvrir avec un:

"Chérie tu es là?"

Le garde et la femme étaient en train de se réveiller. Tychus s'éclipsa. Il longea la maison pour enfin arriver sur la route. Ou il parti retrouver Aaron au bar où ils s'étaient rencontré. Tychus entendit des hurlement venant de la maison tandis qu'il sautait par dessus le mur. Puis des coups de feu... il semblerait que Mr n'aimait pas la vue de sa femme. Tychus resta un moment dans le secteur pour vérifié, un coup de fil anonyme à la police faisant état de coups de feu. Quelques instants plus tard, la police débarque. L'homme fut arrêté, il était en train de se débarrasser du corps du garde dans le jardin. Le corps du garde et de sa femme furent emmené. Une chance que Tychus savais dans son rapport que son mari avait des excès de violence et que l'amour puisse détruire un homme facilement.

Tychus parti et pris un taxi direction le bar pour rendre sa dernière visite à Aaron.

Au bar un Whisky bien sec l'attendait. Aaron apprenait vite, et se délectait de ce défaut qu'est l'alcool. Il se délectait aussi de voir qu'il était partagé.
Qu'en est il au fond des autres? Surement le même avis, dynamiquement statiques.
Bon...
Bon, voila Monsieur Tychus. Les nouvelles courent plus vite que les hommes, et le grand manitou de Bulkar était déjà au courant de tout. A vraie dire, il était même surpris de l'excellence du résultat.


-Monsieur Tychus. Nous allons d'imprévu en imprévu. Ne vous génez pas, ce verre est pour vous. Vous serez payés en liquide - en plus de la maison que nous vous avons offertes - quand nous rentrerons en terrain sécurisé, vous comprendrez bien pourquoi j'imagine. Bref, je pars pour la République de Veracruz, à quelques milliers de kilomètres. Vous venez avec nous? J'aurais peut être besoin d'une escorte.
Sachez cependant que je vais conseiller vos services à toutes mes connaissances, je suis plus qu'agréablement surpris par vos résultats. Et regardez, quelle belle vue pour sceller notre amitié.